21e année —— décembre 2019
Né à Paris le 4 août 1604, mort à Nemours la 25 juillet 1676.
Ecclésiastique, abbé d'Aubignac, avocat, romancier,
dramaturge, poète, théoricien du théâtre, aumônier et prédicateur de Louis
XIV.
Son père, Claude Hédelin est avocat au Parlement de Paris et Conseiller
au Trésor. Sa mère est Catherine Paré, la fille du chirurgien Ambroise
Paré.
Après ses études, il est avocat à Nemours, puis il prend l'habit...
De 1798, l’opus 11 en si bémol majeur, « Gassenhauer-Trio », qui se joue indifféremment dans sa version primitive avec clarinette ou dans sa version avec violon, ne comporte que trois mouvements et ne saurait prétendre aux places d’honneur dans l’œuvre de chambre de Beethoven. Essentiellement virtuose, l’allegro con brio initial ne brille pas par une grande inspiration. Bien que marqué con espressione, l’adagio ne se départit guère d’un cantabile excluant toute émotion et toute introspection. C’est finalement le dernier mouvement qui paraît le plus intéressant. Il s’agit d’un Tema con variazioni comportant neuf courtes variations sur un air particulièrement guilleret tiré de l’opéra le.. ...
Né à Strasbourg en 1737, mort à Londres en 1819. Harpiste et pédagogue.
l étudie d'abord la théologie mais se consacre rapidement à la harpe. Il est l'élève de Christian Hochbrucker à Paris.
Il apparaît pour la première fois comme soliste au au Concert Spirituel en 1761 et s'y produit encore pendant trois ans, souvent dans ses propres compositions.
Il s'établit comme professeur, publie une méthode de harpe en 1763, Essai sur la vraie manière de jouer... ...
◆L'Opéra de Düsseldorf sauvé des eaux
◆Berlin : des croix gammées pour les Mendelssohn
◆(Centre presse) Poitiers : Le transfert de l'école de musique fait grincer des élus
◆(Le Parisien) Paris : dans les coulisses du nouveau conservatoire
◆(Futurs composés) Centre Na-tional de la Musique – Tribune
Jean-Marc Warszawski —— Cette année 2019 est une année commémorative en Pologne pour le deux-cent-trentième anniversaire de la pianiste et compositrice Maria Szymanowska. Mais il semble que c’est en France qui les choses se passent : colloque, concerts, conférences, salons musicaux. Il est vrai que la répression du soulèvement de 1830 a poussé une partie de l’intelligentsia polonaise vers Paris, notamment le prince Adam Jerzy Czartoryski qui a acheté le fameux hôtel Lambert...
Michel Rusquet —— Écrits en 1808 et dédiés à la comtesse Erdödy, ces deux trios sont, eux, à marquer d’une pierre blanche. Jean Witold, qui leur accordait une place privilégiée au sein de la production beethovénienne, écrivait à leur propos : « Ils dépassent de loin, en substance, les aimables assauts d’éloquence ou de virtuosité d’œuvres similaires… » Il est vrai que, comme le suivant (trio « à l’Archiduc »), ce sont des œuvres de la pleine maturité, dans lesquelles le compositeur atteint un rare point d’équilibre et d’expression poétique.
Composé de trois mouvements de grande ampleur, l’opus 70 no 1 en ré majeur, souvent nommé Geister-Trio, « Trio des esprits » ou « des
◆Appel à candidatures pour compositions musicales 2020-2021
◆(Libération) Centre national de la musique : dernières touches et fausses notes
◆(FR3) Les meilleurs jeunes musiciens d’orchestre de France en concert à Compiègne
◆(France musique) Le chef d'orchestre Mariss Jansons est mort
Frédéric Norac —— Ballet bouffon : tel est le sous-titre original de Platée, comédie-ballet créée en 1745 à Versailles pour les fêtes du mariage du Dauphin et qui met en scène une nymphe des marais, laide et ridicule, voire quelque peu batracienne, dont l’Olympe se sert pour calmer la jalousie de Junon, excédée par les infidélités de Jupiter. Rameau en a fait le plus brillant et le plus ironique pastiche de l’opéra français du xviiie siècle, de ses tics et de ses travers. Autrement dit de son propre style. On retiendra cette version de concert proposée par les Ambassadeurs, autant, sinon plus, pour l’orchestre que pour les chanteurs. Alexis Kossenko a pris très au sérieux le pastiche et s'ingénie à faire briller cette géniale partition...
◆Cecilia Bartoli nommée à la tête de l’Opéra de Monte-Carlo
◆Des compositeurs soutiennent la grève à Radio-France
◆(France Info) Pete Townshend, The Who : « Nous avons tracé une ligne entre les générations »
Jean-Marc Warszawski —— Le festival Pau Casals de Prades soufflera l’été prochain ses soixante-dix bougies. Créé en 1950 à l’occasion du bicentenaire de la mort de Johann Sebastian Bach, dans des conditions assez épiques sur fond d’humanisme et de pacifisme, ce festival s’est maintenu, malgré le départ de Casals, puis son décès, et le fait que les célébrités mondiales qui s’y produisaient étaient motivées par la présence du violoncelliste, pas par la beauté du lieu. Mais des personnalités y tenaient et les élus locaux
Alain Lambert —— Du piano sur trois galettes, Cuba Cuba de Manuel Anoyvega Mora, Bach up de Dimitri Naïditch et Ni d'Eve ni d'Adam du trio normand Black Pantone. Et pour entrelacer d'autres paysages musicaux, One Kenechi Dream du duo expérimental Sélénites et l'Eklektik Band très électric du batteur Xavier Roumagnac.
Cuba Cuba (Foléo productions/Caroline International 2019) est le premier cédé du superbe pianiste Manuel Anoyvega Mora installé à
Michel Rusquet —— Comme chacun sait, Beethoven a, dans le genre, presque tout donné au violon et au violoncelle. Toutefois, les cornistes lui seront éternellement reconnaissants de leur avoir laissé un petit chef-d’œuvre avec la Sonate pour cor et piano en fa majeur opus 17, qu’il écrivit à la hâte en avril 1800, à l’occasion d’un passage à Vienne du célèbre corniste Punto. Dans cette œuvre en trois mouvements, que les violoncellistes furent également autorisés à s’approprier, Beethoven... ...
◆(France musique) Sir John Barbirolli, chef d’orchestre
◆(France info) Grève du 5 décembre : la moitié des théâtres parisiens seront fermés jeudi
◆(La Croix) Christophe Rousset, à la poursuite de Lully
◆(France musique) Sur Face-book, le coup de gueule du compositeur Alexandros Markeas
Jean-Marc Warszawski —— Nous ne savons pas trop dans quel cycle s’insère le concert du 3 décembre, programmé par le musée des Armées, dans la cathédrale Saint-Louis des invalides, on s’y perd un peu. Mais le surtitre « Légendes du piano » convient fort bien, à plusieurs titres, pour Ivo Pogorelich.
Né à Belgrade en 1958, dans un milieu musicien, il commence l’étude du piano à l’âge de sept ans, et se produit en public trois ans plus tard. Nous sommes en 1968. Deux ans plus tard, il étudie à Moscou.....
Michel Rusquet —— Composé vers 1796 pour un ensemble comprenant hautbois, clarinette, cor et basson, le quintette opus 16 en mi bémol majeur adopte la même tonalité et la même formation instrumentale que le quintette K 452 de Mozart. Dans cette œuvre en trois grands mouvements, dont le premier prend appui sur une introduction grave et le deuxième emprunte son thème à un air de Zerlina de Don Giovanni, le jeune Beethoven « reproduit les formes de Mozart en s’appuyant sur l’aspect extérieur du modèle, sur les résultats de l’impulsion classique sans jouir de l’impulsion elle-même. Mais il ne faut pas méconnaître la beauté du quintette opus 16 : la fraîcheur et la sérénité de cette œuvre.....
◆Alain Altinoglu futur directeur musical de l'Orchestre sym-phonique de la Radio de Francfort dès août 2021.
◆L’opéra Confluence à Avignon, entièrement démontable, mis en vente 1,3 M. €.
◆(Sud-Ouest) Opéra de Bordeaux : Menace sur le ballet de fin d’année
◆(Télérama) Réforme des régi-mes spéciaux de retraite : que risquent la Comédie-Française et l’Opéra de Paris ?
Jean-Marc Warszawski —— Dans l’Antiquité, les lupercales sont une fête qui a lieu le 13 février à Rome, réunissant des jeunes gens. Ils se seraient réunis au lupercal, la grotte au pied du Palatin où la louve selon la légende à nourri Rémus et Romulus, puis après le sacrifice d’un bouc ou d’un agneau ( ?), auraient dansé à moitié nus en flagellant au passage les spectateurs, pour renforcer leur fécondité.
Là, Luperca est un duo piano et violoncelle formé en 2011 par Lorène....
Michel Rusquet —— Connaissant le penchant de Beethoven pour l’art de varier un thème, on ne s’étonnera pas qu’il ait livré quelques cahiers de variations associant le piano et un ou deux autres instruments. Mais, en général, il ne faut pas s’attendre à trouver de réalisations majeures dans des partitions qui sont avant tout des exercices ou des œuvres de circonstance. C’est notamment le cas des douze variations sur l’air « Se vuol ballare » des Noces de Figaro de Mozart (WoO 40), écrites pour violon et piano, et dans une large mesure, de trois séries destinées au violoncelle et au piano : les douze variations sur un thème de Judas Macchabée de Haendel (WoO 45), les sept.....
◆La SPEDIDAM perd le procès qu'elle avait intenté à son ancien dirigeant
◆Frédéric Roels, nouveau directeur de l'Opéra d'Avignon
◆(La Presse, Québec) Le premier opéra d'une compositrice bouscule les genres
◆(France musique) La vie de musicien sous l’Ancien-Régime : une base de données signée CMBV
◆(20 minutes) Emmener la musique symphonique en banlieue, le combat de Zahia Ziouani
◆(France musique) Radio France veut supprimer un tiers des postes de son Chœur
Né à Oberscheden (Göttingen) en Basse-Saxe, le 30 janvier 1697 ; mort à Potsdam, le
12 juillet 1773.
Quantz a écrit son autobiographie, publiée en 1754-1755 dans le Historisch-kritische Beyträge de Marpurg.
Fils de forgeron, il commence ses études musicales en 1708 avec son oncle Justus Quantz, musicien de l'orchestre municipal de Merseburg. Quand ce dernier décède, son gendre J. A. Fleischhack, lui succède à.....
Né à Chioggia (Venise) vers 1555, mort à Rome le 16 novembre 1628.
Organiste et compositeur.
Il est issu d'une riche famille aristocratique. On ne connaît rien de sa jeunesse et de sa formation musicale. Il semble avoir étudié et avoir les premiers échelons de la prêtrise. Il gagne Rome en 1574. En 1579 il se dit organiste.
En 1858 il publie un recueil de musique sacrée, en 1588 2 volumes de musique profane.
Il est le deuxième enfant et l'aîné des garçons de Johann Sebastian et Maria Barbara Bach. Baptisé le 24 novembre,
ses parrains sont le chambellan du duc de Weimar, Wilhelm Ferdinand Baron von
Lynker, Anna Dorothea Hagedorn, fille du pasteur Eilmar de Mülhausen, et
Friedemann Meckbach, juge à Mülhausen.
Il reçoit sa première formation musicale de son père, ce qui est attesté par le Clavier-Büchlein für Wilhelm Friedemann Bach, qui commence.....
Né peut-être à Old Radnor dans le Radnorshire (Pays de Galle), en
1562-1563 — mort à Anvers le 12 ou 13 mars 1628.
Un document du 31 aout 1573, atteste sa présence à à la maîtrise de la cathédrale d'Hereford, sous la direction de l'organiste John Hodges. Un autre document du 8 février 1574 indique une vacance à la maîtrise d'Hereford, on pense que c'est la date où il intègre le chœur d'enfants de la chapelle royale. Il a comme professeur de musique John Blitheman, et comme maître de chœur... ...
◆(Journal francophone de Budapest) Opéra de Budapest : une saison 2020-2021 placée sous le signe de la France
◆(Radio Prague) Découverte du répertoire de chants de Noël des XVIe et XVIIe siècles
◆Bonaventura da Brescia (v. 1452-v. 1517)
◆Bacchini Benedetto (1651-1721)
◆Pietro Giacomo Bacci(1643-v. 1708)
◆Bachofen Johann Caspar (1695-1755)
Frédéric Norac —— Les chefs-d’œuvre, c’est bien connu, se portent tout seuls. Tant mieux pour James Gray qui sans doute l’a bien compris et a laissé la musique de Mozart prendre en charge la Folle Journée de Beaumarchais, génialement relue par Da Ponte. À tout prendre, c’est un moindre mal. Un décor construit « réaliste », fonctionnel mais pas très esthétique, comme on n'en fait plus chez nous depuis vingt ans (quatre en fait dont celui du troisième acte dans un style... ...
Jean-Marc Warszawski —— Solenne Païdassi a étudié aux Conservatoires de Nice, et de Genève, à la Royal Academy de Londres, au Curtis Institute of Music de Philadelphie, enfin à la Hochschule für Musik, Theater und Medien Hannover, soit 13 480 kilomètres à vol d’oiseau d’un institut à l’autre. Elle a remporté des concours pas des moindres, en Allemagne (Concours international de Hanovre) en Suisse (Concours Sion-Valais) en Corée du Sud...
Frédéric Norac —— Il est toujours un peu risqué de mettre des enfants sur la scène, car leur goût du paraître peut vite conduire au cabotinage ou à la mièvrerie. Rien de tout cela dans ce spectacle délicat où Olivier Dhénin a réuni treize jeunes comédiens (sept garçons et six....
Frédéric Norac —— Le public parisien n’aime guère les actualisations. Après Les Indes galantes, c’est au tour de Prince Igor vu par Barrie Kosky d’en faire les frais. Hué à la première, le spectacle continuait à partager le public à la troisième représentation, singulièrement la chorégraphie des célèbres Danses polovstiennes dont Otto Pichler propose une vision dérangeante et morbide, avec ces squelettes pourrissants qui entrent en scène sur un mode....
Michel Rusquet —— uvre de très vastes proportions, le septuor en mi bémol majeur (opus 20), qui réunit trois instruments à vent (clarinette, cor et basson) et un quatuor à cordes (avec violon, alto, violoncelle et contrebasse), et dont Beethoven disait plus tard : « Il y a là-dedans beaucoup d’imagination, mais peu d’art… », fut composé en 1799-1800 pour l’impératrice Marie-Thérèse. « Il obtint d’emblée un immense succès ; sa popularité était devenue si embarrassante qu’à la fin de sa vie, Beethoven faisait la grimace dès qu’on mentionnait cette œuvre. Comme le Quintette pour piano et vents opus 16, le septuor opus 20 est beaucoup plus classicisant que véritablement classique. Epousant la forme ancienne du....
◆(France info) Les danseurs de l'Opéra de Paris sont aussi dans la rue pour défendre leur retraite
◆(France bleu) Transmusicales de Rennes : légère baisse de participation dans un contexte social agité
Jean-Marc Warszawski —— Personnellement nous ne sommes pas friand des intégrales, nous n’en voyons pas l’intérêt. Nous ne pensons pas que Beethoven a composé ses neuf symphonies pour en faire une sorte de fresque sonore, ou une suite feuilletonnée. Je pense que l’intérêt, de l’une à l’autre, est plus la rupture que la continuité, ce qui dans la suivante ne se trouve pas dans la précédente, les nouvelles idées... ...
Alain Lambert —— Break dance et beatbox sont deux des nombreuses dimensions de la culture populaire américaine devenue universelle. L'Orchestre régional de Normandie a invité sur un répertoire classique trois danseurs hip-hop et un beatboxer, ce qui pourrait sembler étrange sinon paradoxal.
Quand le noir s'éclaire de bleu, les archets de l'orchestre sont sagement assis et débutent l'aria des variations « Goldberg » de Bach. Puis un premier danseur, Caesar Souamy vient esquisser quelques pas de menuet, bientôt rejoint par Cault N'Zelo qui l'observe ironiquement avant de le mimer, dans un style plus saccadé et swingué aussi, jusqu'à ce que le duo s'affranchisse ensemble des.. ...
◆L'octuor pour vents opus 103, de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆Ambronay recrute une nouvelle direction pour son Centre culturel de rencontre en 2020
◆SNAM CGT : Pour une autre réforme des retraites
◆( RFI) L'Opéra Royal de Versailles fête ses 250 ans
Jean-Marc Warszawski —— Né en 1979, dans une famille de musiciens, un père pianiste, une mère altiste, Jean Muller suit ses études musicales au Conservatoire du Luxembourg dans la classe de Marie-José Hengesch, puis se perfectionne auprès de maîtres tels Gerhard Opptiz, Eugen Indjic, ou encore Anne Queffélec et Leon Fleisher.
Il est aujourd’hui un pianiste renommé et étonnant, boulimique de... ...
◆Equales pour quatre trombones, WoO 30, de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆Musique de chambre avec flûte, de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆Trio pour deux hautbois et cor anglais, opus 87, de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆Les projets hiver printemps 2020 du pianiste Daniel Propper
◆Création au Théâtre de la ville de Paris : La consagración de la primavera
◆Les œuvres de Sigismund Neukomm aux Invalides
◆La guerre à 6 voix : récital de l'Ensemble Clément Janequin aux Invalides
◆(France musique) Palmarès du 10e Concours International de chant-piano Nadia et Lili Boulanger
Alain Lambert —— Le Sylvain Rifflet nouveau s'inspire du moyen âge occitan pour faire revivre, en quartet, le souvenir des troubadours et des trobairitz (Béatrice de Die et Azalaîs de Porcairague), y mêlant la monodie médiévale profane aux motifs répétitifs sur une base de bourdon plutôt indien de shruti-box, programmée par le saxophoniste et clarinettiste à chaque nouveau morceau. Ses trois complices sont le Finlandais Verneri Pohjola à la trompette, Benjamin Flament au « flamentophone »
Michel Rusquet —— D'une puissance étonnante pour une œuvre encore juvénile (mais peut-on qualifier de « juvénile » une œuvre terminée alors que Beethoven atteignait les vingt-huit ans ?), le premier concerto porte déjà la marque de la forte personnalité du compositeur, même si on y reconnaît la double influence stylistique de Haydn et de Mozart. Cette puissance, qui va de pair avec une belle impétuosité et une instrumentation solide, est particulièrement de mise dans l’imposant mouvement initial, si imposant d’ailleurs — avec sa grande introduction orchestrale — qu’on pourrait presque lui reprocher une excessive longueur. Mais l’œuvre montre une incontestable sûreté d’écriture, et son vaste Largo central, où le piano.. .... ..
Il étudie la composition avec Yasuji Kiyose. A partir de 1960 il donne des conférences avec John Cage. En 1970, il est membre honoraire de l'Académie des arts d'Allemagne démocratique. En 1981 il est conférencier à l'Université de Californie à San Diego et compositeur en résidence au Festival
Il fait ses études à l'Université des Arts de Tokyo. En 1966 il se fixe à Paris où il suit les cours d'André Jolivet, d'Henri Dutilleux et d'Olivier Messiaen au Conservatoire nationale de musique.
En 1971, il obtient le Premier Prix Lily Boulanger, en 1974 le Grand Prix de Composition de la SACEM.
En 1982, il est primé à la Tribune Internationale des Compositeurs de l'UNESCO....
◆Autour de la cartophonie le 14 décembre 2019, au DOC de Saint-Germain d'Ectot
◆L'œuvre concertante de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆Les concertos pour piano de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆(France musique) Mariage de haut-vol entre Richard Dubugnon et l'Orchestre de la Suisse Romande
◆(France bleu) Le festival trans-sibérien fait sa première étape européenne à Lille
◆Tafuri Giovanni Bernardino (1695-1760)
◆Petrus Tallanderius (v. 1345-v. 1410)
◆Nasir al-Din al-Tusi (1201-1274)
◆Al-Turtushi (1049-1131)
Alain Lambert —— Le Sylvain Rifflet nouveau s'inspire du moyen âge occitan pour faire revivre, en quartet, le souvenir des troubadours et des trobairitz (Béatrice de Die et Azalaîs de Porcairague), y mêlant la monodie médiévale profane aux motifs répétitifs sur une base de bourdon plutôt indien de shruti-box, programmée par le saxophoniste et clarinettiste à chaque nouveau morceau. Ses trois complices sont le Finlandais Verneri Pohjola à la trompette, Benjamin Flament au.. ...
◆(RTBF) L'Allemagne célèbre Beethoven, «pop star de 250 ans»
◆Keinspeck Michael (v. 1451-v. 1516)
◆Kamal al-Din (v. 1406-v. 1471)
Michel Rusquet —— Des années 1800-1802, le troisième concerto, écrit dans cette tonalité d’ut mineur si chère au compositeur, serait pour certains le plus faible des cinq du point de vue de la construction et de l’économie structurelle. Mais pour beaucoup, et pour le public, c’est assurément le premier « grand » concerto de Beethoven, par sa vigueur, par son ton très personnel, par une éloquence typique du Beethoven de la maturité, et par les nets progrès dont il témoigne dans... ..
Jean-Marc Warszawski —— Même s’il n’est pas tant médiatisé en France et que bien des mélomanes ne connaissent plus son nom, Philippe Entremont est une légende vivante, comme pianiste et comme chef d’orchestre. Âgé de quatre-vingt-cinq ans depuis le 7 juin 2019, il n’a pas raccroché les gants des tournées et des enregistrements, dont il détient quantitativement des records, il est certainement le pianiste et chef d’orchestre le plus connu hors de France.... ..
◆La musique instrumentale de Giovanni Gabrieli (1557-1612), par Michel Rusquet
◆La musique instrumentale de Claudio Merulo (1533-1604), par Michel Rusquet
◆(Ouest France) Émilie Delorme, première femme à la tête du Conservatoire de Paris
◆(Le Dauphiné) Le festival Berlioz 2020 met le cap sur la Méditerranée avec Sir John Eliot Gardiner et Hervé Niquet
Frédéric Norac —— Créé en 1907 à l’Opéra-Comique sous la direction du compositeur lui-même qui s’apprêtait à le quitter pour aller diriger l’Opéra de Paris, Fortunio fait partie des œuvres les plus réussies d'André Messager. Sans doute, au-delà du métier éblouissant du compositeur, brillant orchestrateur, mélodiste inspiré, faut-il y voir la patte des librettistes — les fameux Flers et Caillavet — qui ont su adapter le scénario que leur offrait Le Chandelier d’Alfred de Musset au registre du vaudeville...
Jean-Luc Vannier —— C'est dans un Auditorium Rainier III loin d’être bondé en raison des grèves que l’opéra de Monte-Carlo proposait dimanche 15 décembre La damnation de Faust, légende dramatique en quatre parties d’Hector Berlioz. Oratorio pour certains, opéra pour d’autres, nous pourrions tout aussi bien y déceler un poème symphonique tant certains passages orchestraux visualisent à l’excès tout comme La Symphonie fantastique créée une quinzaine... ..
Michel Rusquet —— est « l’autre » très grand concerto de Beethoven, et certainement le plus célèbre des cinq concertos pour piano. « Grand », voire grandiose, il l’est assurément. Ici, « l’écriture orchestrale et pianistique vise la puissance, l’éclat ; le piano, traité symphoniquement, rivalise avec l’orchestre. Le premier mouvement débute par une cadence du soliste, c’est encore une introduction beethovénienne, étonnante d’audace. Symphonique est non seulement la facture pianistique de l’œuvre, mais ses dimensions : presque 600 mesures pour l’allegro dont le développement, dominé par le second thème, parcourt un immense cycle harmonique. »
René Dumesnil (1938) —— Il n’est donné qu’à de rares artistes d’auréoler leur nom d’une gloire dont tous les rayons soient faits de notre ferveur. À mesure que les détails précis de leur biographie s’estompent dans le recul des ans, leur souvenir, doucement, devient légende et le visage spirituel du mort qui ne doit point mourir...
◆La musique instrumentale de Dario Castello (1re moitié du xviie siècle), par Michel Rusquet
Jean-Marc Warszawswski —— Formé au violoncelle et à la composition en Suisse puis aux États-Unis, Fabian Müller a un catalogue considérable, en musique de chambre, symphonique, pour la scène ou le cinéma. Ses œuvres sont jouées par de nombreux orchestres dans le monde. Il s’est passionné pour les musiques populaires de son pays, a même dix années durant supervisé une édition monumentale d’œuvres collectées du xixe siècle. Une partie de ses compositions est gravée en une...
Alain Lambert —— Quinze chansons pour le quinzième album de Magène (magène!), le tout en trente ans puisque Calitchumbelet, le premier en vinyle date de 1989. Quinze chansons dont six sont des poèmes du grand poète de la Hague et du Cotentin, Côtis Capel (Albert Lohier 1915-1986). Une bonne introduction à sa langue lumineuse et lyrique.
Les histoires, les chansons, les complaintes et les légendes de la mer... ..
Michel Rusquet —— L'unique, l’irremplaçable, celui que les violonistes tiennent pour le plus parfait dans tout le répertoire. Il voit le jour, en un temps limité semble-t-il, en 1806, l’année de la quatrième symphonie et des quatuors « Razumowsky ».
Ce concerto, qui est presque un chant d’amour, est le reflet d’une des périodes les plus heureuses de la vie de Beethoven, et on est fondé à penser qu’un événement privé en a influencé l’inspiration : les fiançailles secrètes du musicien avec Thérèse de... ..
Instrument cordophone (luth) à
long manche. La caisse est très arrondie, ovale
(Égypte, Espagne, Afrique du Nord) ou piriforme
(Asie centrale). Les cordes, de six à neuf, sont
pincées.
Il s'agit en fait d'un terme assez générique désigant une grande diversité de factures d'instruments de deux cordes à six et plus, qui ont divers noms, y compris selon les lieux.
François-René Tranchefort a tenté d'en faire un classement
I. Le tanbûr à deux cordes, ou dotâr (appellation persane : do = deux
Michel Rusquet —— Dans les pièces pour orgue de Bach, les œuvres profanes, du moins si l'on entend par là celles qui se situent ouvertement en dehors de tout contexte spirituel, se limitent à deux séries de pièces : les cinq concertos pour orgue et les six sonates en trio. C'est peu, mais ce sont là des œuvres d'un intérêt majeur, dont le caractère avenant ne peut que séduire le simple amateur, et où les oreilles plus expertes trouveront encore beaucoup de...
◆Licenciements : pas de concert de Noël de la Maîtrise de Notre-Dame de Paris
◆(Le Parisien) Grève du 17 décembre : la «Marseillaise» de l’Opéra National de Paris sur les marches de Bastille
◆(France info) Les méthodes de l'Académie de ballet de Vienne mettent en danger le bien-être de ses élèves, selon un rapport
Michel Rusquet —— « Il a le mérite d’exister ! », disait férocement un ami mélomane de ce concerto pour violon, violoncelle et piano des années 1803-1804 qui n’est pas, c’est vrai, du meilleur Beethoven, même si on peut y être sensible à une certaine éloquence chantant l’aube d’un monde heureux. Le vaste premier mouvement, bien que non dénué de charme, se montre un peu bavard et finalement peu inspiré. Le largo, qui donne une voix prépondérante au violoncelle, touche davantage l’auditeur, mais c’est sans doute le finale, un brillant rondo alla polacca, plein de caractère, qui sauve l’ouvrage.
En vérité, « l’œuvre représente une tentative intéressante pour concilier dans un nouveau cadre formel le style, très en honneur dans... ...
Style de musique populaire d'Éypte du Haut-Nil. Elle se caractérise par l'emploi en général d'un tambour à deux faces, le tabl baladi qui se joue avec deux bâtons, un gros (les « poum ») et un plus fin (les « tak ), et 3 mizmars (hautbois).
◆ Le chanteur Alain Barrière est décédé à l'âge de 84 ans
Jean-Marc Warszawski —— Si do ré mi si la, la si do ré ré ré la sol, mais les sœurs Lafitte, Florence et Isabelle, sont nées sous le signe du piano que toute la famille pratiquait (avec les arts plastiques). Elles l’ont étudié à Paris, à Aix-en-Provence, au Conservatoire national supérieur de Lyon, boursières : à l’Académie Franz Liszt de Budapest et à la Manhattan School de New York. Elles ont opté pour une carrière de duettistes qui les a menées dans le monde entier. Elles ont exploré une bonne partie de l’immense
Michel Rusquet ——
Mentionnons pour terminer les deux romances pour violon et orchestre que Beethoven composa bien avant son concerto pour violon, peut-être comme mouvements lents de concertos restés à l’état de projets. La première (opus 40 en sol majeur) se signale par une atmosphère qui évoque la symphonie « pastorale ». La seconde (opus 50 en fa majeur), qui est la plus connue des deux, est un bel adagio cantabile, avec un thème principal d’un grand lyrisme. Ludwig van Beethoven, Romance no 2 en fa majeur opus 50 ...Né à Florence le 1er février 1690, mort à Florence le 31 octobre 1768.
Fils de Agostino Veracini et de Maria Elisabetta
Rossi, il étudie avec son oncle, Antonio Veracini
(1659-1733), Frederico Gasparini (1668-1727),
Giovanni Giuseppe Bernabei (un des fils d'Ercole) et
l'organiste Giovani Maria.. ..
◆Tugan Sokhiev reste à la tête de l'Orchestre du Capitole de Toulouse jusqu'en juin 2021
◆Jacques Grimbert est décédé le 17 décembre 2019, il avait 90 ans. Il a été le fondateur du chœur et de l'orchestre de la Sorbonne à Paris et leur directeur artistique jusqu'en 2008.
◆Notre-Dame de Paris : un patrimoine musical unique en péril (pétition)
◆La fantaisie pour piano, chœur et orchestre, opus 80, de Ludwig van Beethoven, par Michel Rusquet
◆Vetterlein Johannes Melchior (v. 1635-v. 1700)
◆Villa-Lobos Mathias de Sousa (v. 1643-v. 1708)
Michel Rusquet —— « Pour l’essentiel, cette première symphonie ne se distingue pas encore de la production courante de l'époque dont les chefs-d'oeuvre sont dus à Haydn et à Mozart. En cet « adieu au xviiie siècle », la coupe demeure traditionnelle, et l’orchestre est typiquement haydnien. Toutefois, quelques particularités révèlent le génie beethovénien prêt à s’affirmer, une singularité faite
◆(Les Échos) Les ensembles vocaux et instrumentaux français font le plein dans l'Hexagone et à l'étranger
◆(Le Figaro) Entendra-t-on encore le chant grégorien à Notre-Dame de Paris ?
◆(Le Progrès) Opéra de Lyon : le directeur de ballet épinglé par la CGT après sa condamnation en appel
◆Faber Heinrich (v. 1500-1552)
Jean-Marc Warszawski —— Nicolas Prost a étudié le saxophone au Conservatoire national supérieur de Paris, a empoché une brassée de lauriers dans une dizaine de concours et se distingue comme figure de proue saxophonien. Peut-être est-il même, par boulimie et virtuosité, un second Marcel Mule. On retrouve son nom sur une quarantaine de cédés comme soliste, en musique de chambre ou avec orchestre, il a créé une centaine d’œuvres, donne une cinquantaine de concerts.. ..
Michel Rusquet —— composée en 1801-1802, et terminée entre l’été et le début de l’automne 1802, donc juste avant le fameux « testament d’Heiligenstadt », la deuxième symphonie ne porte aucune trace des tourments du musicien à cette époque. C’est « l’œuvre d’un maître consommé qui règle ses comptes, ou prend congé, avec la tradition symphonique classique avant de s’embarquer pour un voyage musical sans précédent. Cette page où éclate la puissance du rythme beethovénien, ce fut la symphonie de Beethoven préférée de Debussy, regarde à la fois vers le passé et vers l’avenir. Solidement ancrée dans les dernières.. ..
Né à Rouen en 1684, mort à Rouen le 30 avril 1758.
Il suit son apprentissage musical à Rouen (peut-être sous la direction de Jacques Boyvin), puis à Paris, certainement avec Nicolas Lebègue.
De 1701 à 1706, il est organiste à l'église Sainte-Madeleine-en-la-Cité de Paris, puis succède à Jacques Boyvin à la cathédrale de Rouen, y adjoignant des charges d'organiste à Saint-Herbland et à l'abbaye de Saint-Ouen.
Parallèlement il est en 1714 l'un des quatre
Michel Rusquet —— Comme les quatre musiciens précédemment évoqués, il fut hautement reconnu à la fois comme organiste et comme claveciniste, et pourtant il faut bien reconnaître que, bien plus qu'eux encore, il n'a cessé de souffrir de l'ombre portée par Couperin et Rameau. Il affiche certes un solide métier, acquis auprès de Boyvin dans sa ville natale de Rouen, puis à Paris au contact de Lebègue, mais se montre rarement capable.. ...
◆Alain Perroux, prochain directeur à l'Opéra national du Rhin.
◆(Le Figaro) L’Opéra-Comique lance une campagne de financement pour soutenir sa Maîtrise populaire.
Frédéric Norac —— réée à la veille du krach boursier de 1929, Yes, opérette en trois actes de Maurice Yvain sur un livret de Pierre Soulaine et René Pujol est un peu comme le point d’orgue des Années Folles et une sorte de portrait-charge d’une société jouisseuse et décadente. Pour mettre en scène ce vaudeville bourgeois un rien déjanté, Vladislav Galard et Bogdan Hatisi, deux nouveaux venus dans le monde de l’opérette, ont surtout misé sur la caractérisation des personnages... ....
Alain Lambert —— Le principe du « ciné-concert » permet à l'ORN une introduction facile à l'orchestre et à ses musiques pour des familles venues voir des vieux films muets de Charlot ou Mickey.
Ce soir Buster Keaton le lunaire, l'homme au canotier écrasé, le gaffeur sachant gaffer même sans gaffer, que ce soit pour se suicider (La guigne de Malec, 1921), fuir la police (Malec l'insaisissable, 1921)
Michel Rusquet —— Ébauchée dès 1802, et achevée en mai 1804, cette grandiose symphonie, à laquelle Beethoven attribua initialement le sous-titre « Buonaparte », était conçue comme un monument à la gloire du grand « libérateur » de l’Europe, mais tout changea lorsque, trahissant l’idéal de la Révolution, le « héros » d’hier se fut fait sacrer empereur. Ainsi apparut son titre définitif de Sinfonia Grande, Eroica, per festeggiare il sovvenire di un grand’ Uomo, et, par la même occasion, le...
Le quadrille est une danse avec figures, sur un rythme
modéré d'origine parisienne du début du xviiie siècle. Il comprend
normalement six parties composées alternativement sur un rythme à 6/8 et
à 2/4. Il fut très en vogue au xixe siècle.
À l'origine, ce mot désigne une escouade de cavaliers et des figures de manège équestre, puis différentes danses de bal exécutées par des professionnels. Par la suite, elle se fixe en quelques figures, chorégraphiées de couples, et gagne l'Europe au milieu du xixe siècle.
Cette danse comporte classiquement 6 figures : 1. Pantalon, 2. Eté, 3. Poule, 4. Trénis, 5. Pastourelle, 6. Final. Avec des variantes pour les figures 4 (pastourelle, trénis ou polonaise), 5, 6... ..
◆Quehl Jacob (v. 1637-v. 1702)
◆Record de fréquentation à la philharmonie de Hamburg
◆(Les Échos) La guerre des vrais-faux ballets russes à son apogée pour les fêtes
Jean-Marc Warszawski —— Vittorio Forte est né en Calabre, le coup de pied de la botte italienne, tout au Sud, qui fait un bisou à la Sicile. Dans la ville, il n’y a qu’un seul professeur de piano, le même qui a enseigné l’instrument à sa mère. Il en pousse la porte, puis celle du Conservatoire de Cosenza, le chef-lieu. C’est à l’âge de dix-sept ans que le feu sacré l’embrase. Il émigre au Nord, près du lac Léman, de prof en prof intègre le Conservatoire de Lausanne, encore de prof en prof et de concours en
Michel Rusquet —— Une svelte jeune fille grecque entre deux géants nordiques », disait Schumann de cette magnifique symphonie composée pendant l’été de 1806, dont le seul handicap est en effet de se situer entre les assauts héroïques de la grandiose troisième et l’agitation volcanique de la formidable cinquième. Bondissante et vigoureuse, elle est aussi l’une des moins vastes des neuf ; son allegro conclusif, en particulier, est le plus court final de Beethoven, et ce « dernier tour...
◆ Le ténor Peter Schreier est mort mercredi 23 décembre 2019 à l'âge de 84 ans.
Michel Rusquet —— Cas unique, ou presque (car il y a aussi la Neuvième…) : très longtemps, quand on en parlait, il n’était même pas besoin de préciser « de Beethoven », et pas davantage d’indiquer qu’il s’agissait d’une symphonie ; il suffisait de dire « La Cinquième » … C’est dire le statut de « valeur absolue » acquis par cette œuvre qui, contrairement à bien d’autres, n’a pas eu besoin d’un sous-titre pour s’imposer au firmament.. ..
En 1903 il entre au Conservatoire nationale de Paris et suit les cours de Louis Diémer et Xavier Leroux. Il commence une carrière de pianiste soliste avec des concerts à Monte Carlo, puis après la première guerre mondiale il se consacre à la musique légère : opérettes, revues musicales, comédies musicales, musiques pour les films entre autres de Vincent Scotto ou Henri Christiné.
Ses paroliers et librettistes sont Albert Willemetz, Jacques-Charles, Henri Varna et H. Heanson, parfois il met en musique ses propres
Son nom d'artiste et l'association de deux noms d'empereurs incas : Yupanqui, empereur en 1471 et Atahualpa, empereur en 1532.
Son père est argentin de vieille souche, sa mère est basque. Dès l'âge de 6 ans, il étudie le violon, puis la guitare. Il compose sa première chanson
Jean-Luc Vannier —— C'est donc muni de la note d’intention du Directeur des Ballets de Monte-Carlo qu’un public impatient entourant S.A.R. La Princesse de Hanovre, assistait vendredi 27 décembre au Grimaldi Forum à sa nouvelle création. Tiré du ballet original Coppélia ou La fille aux yeux d’émail (1870) sur une musique de Léo Delibes, cette histoire aurait pu tout aussi bien accompagner les célébrations musicales en 2019
Jean-Marc Warszawski —— Paul Anton Stadler, qu’on surnommait « face de groseille » avait la réputation d’être pas mal bordélique, mais il était sans doute le meilleur clarinettiste du monde, au moins à Vienne. Wolfgang Amadeus Mozart admirait son art. Ils fréquentaient tous deux la même loge maçonnique et certainement d’autres occasions de la vie.
Paul Anton Stadler jouait une clarinette spéciale, du facteur Theodor Lotz, qui pouvait atteindre des notes bien plus basses que la clarinette
Michel Rusquet —— Bien qu’exactes contemporaines, la « Cinquième » et la « Sixième » pouvaient difficilement être plus dissemblables : après l’exaltation du rythme et de la puissance, voici une œuvre dévolue à la souplesse mélodique et à la pure beauté poétique. La quête « héroïque » fait place à la rêverie contemplative : par le souvenir, le musicien, qui ne peut plus entendre la flûte des bergers ni le chant des oiseaux
◆Yuhanna ibn al-Batrik (v. 750-815)
◆Après avoir reçu des menaces de mort antisémites, le pianiste Igor Levit a joué sous protection policière en Allemagne
◆(Cnews) les danseurs de l'opéra de Paris rejettent la proposition du gouvernement
◆(AFP/Express) Retraites : des danseurs de l'Opéra de Paris refusent la «clause du grand-père»
◆(France info) Danse sur le parvis de l'opéra Garnier : les artistes ont voulu défendre « l'excellence à la française »
◆(Le point) Notre-Dame : des artistes appellent à « sauver le patrimoine musical »
◆(RTL) Les profs de musique dénoncent leur traitement déloyal
La République Démocratique du Congo, notre pays, peut se vanter d'avoir offert au monde un trésor, une expression musicale originale et singulière, émanant de ses entrailles et de ses racines profondes, fruit de l'ingéniosité artistique prouvée de ses dignes fils et filles, qui depuis plusieurs décennies n'ont cessé de faire montre au travers de leurs créations et diverses réalisations musicales.
« Mainstream » pour ainsi dire « courant majeur » dans la musique congolaise moderne, la rumba a réussi à se métamorphoser et surtout à s'exporter jusqu'à s'incruster dans d'autres cultures.
Depuis l'aube des temps d'espoir, au lendemain des indépendances
Michel Rusquet ——
Venue plus de quatre ans après les deux précédentes, la septième symphonie fut créée avec grand succès en décembre 1813, à un moment où, il est vrai, Beethoven était au faîte de sa gloire. Wagner, on le sait, a voulu y voir une « Apothéose de la danse », et bien d’autres, dès l’époque de sa création, y étaient allés de leur couplet pour caractériser cette symphonie, avec des commentaires pittoresques et des interprétations psychologiques que le musicien s’empressa de rejeter en bloc.Si la formule de Wagner a le mérite de souligner un des traits dominants de l’œuvre, le triomphe du rythme, tous les autres qualificatifs (« révolutionnaire », « bachique », etc.) doivent être pris
Compositeur, organiste et claveciniste. Fils de Nicolas Couperin. Sa mère décède alors qu'il a 17 mois. Il est élevé par son père et une servante.
On ne sait rien sur ses études musicales. En 1748, il a 21 ans quand son père meurt. Il hérite de ses charges de l'église Saint-Gervais et de l'appartement de fonction.
En 1752 il se marie avec Élisabeth-Antoinette Blanchet, musicienne et fille du meilleur luthier de l'époque. Elle amène au couple une dote de
On pense qu'il est enfant de chœur à Algemesí, puis à la cathédrale de Valencia, il est l'élève de l'organiste Jérònimo la Torre et du maître de chapelle d'Urbano de Vargas.
Le 15 mai 1665, il est engagé comme second organiste à la cathédrale de Valencia, bien qu'il ne soit pas prêtre, ce qui est normalement exigé par le chapitre.
Vers avril 1666, il est nommé premier organiste, charge qu'il conserve jusqu'à sa mort. Il est ordonné le 22 septembre 1668.
◆Cantone Gerolamo (v. 1623-v. 1688)
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Vendredi 26 Février, 2021