septembre * octobre 2024 * novembre
Frédéric Léolla — Il y a parfois des chefs d’œuvre qui à leur époque n’ont pas eu de succès et qui, de ce fait, peinent à faire carrière après. C’est le cas de Stiffelio. Un compositeur renommé (pas de saison d’opéra sans au moins un Verdi à l’affiche), un livret intelligent et cohérent (une fois n’est pas coutume!), une musique inspirée de bout en bout, des situations fortes … eh bien non, Stiffelio n’est que très rarement programmé. Hélas.
François Buhler — Alexandra Nikolaïevna Pakhmoutova, naît le 9 novembre 1929 à Beketovka, à dix-huit kilomètres de Stalingrad (aujourd’hui un quartier de la même ville, rebaptisée Volgograd en 1961, c’est-à-dire « ville sur les bords de la Volga »), comme fille cadette des quatre enfants de Nikolaï Adrianovitch Pakhmoutov (1902-1983) — un simple ouvrier d’une centrale électrique, affilié au parti, mais doué pour les arts, qui jouait de la domra, de la balalaïka et du piano, accompagnait des films muets au
(Actu Paris) Harcèlement moral et sexuel à la Maîtrise des Hauts-de-Seine : l'Opéra de Paris suspend son partenariat
(Radio classique) Villazon, Barenboim, Rattle : Les grands noms de la musique se mobilisent contre les coupes budgétaires à Berlin
(Est-Ensemble) Le conservatoire Pina Bausch de Montreuil vous ouvre ses portes !
(CNSMDP) Vente exceptionnelle : instruments, matériel son et lumière, mobilier
(ministère de la Culture) Huitième journée d'économie de la culture sur le streaming musical : systèmes de recommandation et modèles de rémunération
Jean-Luc Vannier — Dans son essai « Au-delà du principe de plaisir » (1920, OCF, XV, 1916-1920, PUF, 2012, p. 295), Sigmund Freud illustre « cet éternel retour du même » chez l’être humain, lequel « ne peut que se manifester dans la répétition des mêmes expériences vécues ». Et de citer comme « la présentation poétique la plus saisissante d’un tel trait du destin » l’épopée de Le Tasse (1544-1595) « Gerusalemme liberata » (1581) : le héros
Frédéric Léolla — VCertes, la dame (Amelia) aime un monsieur qui n’est pas son mari. Mais outre que ce monsieur n’est autre que le gars le plus puissant du coin — soit gouverneur (Riccardo) soit roi (Gustavo) selon les versions — la sensible Amelia ne couchera jamais avec. Et des deux protagonistes ce ne sera pas elle, mais lui, le gentil épris de la femme d’un autre, qui mourra, assassiné par Renato, le mari jaloux.
Nous nous trouvons donc dans un opéra à « faux adultère ». Sauf que,
Jean-Marc Wasrszawski — Ces deux cédés en trois albums sont du même souffle d’un art abouti par sa réalisation, mais aussi pourrait-on y entendre et y voir un aboutissement de ce qui se bricolait dans
(France musique) Comment assurer la sécurité des musiciens en concert ?
(L'Écho) Pink Floyd vend son catalogue musical à Sony pour 400 millions de dollars
(Radio France) Ceci n'est pas un strad". Une expérience d'écoute de grands violons italiens du XVIIIe siècle à Radio France
Jean-Luc Vannier — Dans une salle comble de touristAes venus pour la plupart de « l’étranger lointain » — Colombie, Qatar, Russie, Arabie saoudite, Chine, Nouvelle-Zélande pour ne citer que celles et ceux que nous avons pu croiser dans le foyer —, la Staatsoper de Vienne proposait mardi 1er octobre dans le cycle « Grandes Voix », un récital exceptionnel de la soprano Sonya Yoncheva. Récital qui n’était pas sans rappeler — d’où l’extrait, inséré
Frédéric Léolla — Pâris, prince troyen, s’est vu promettre la femme la plus belle au monde par Vénus. Or il la trouve dans la personne d’Hélène, mariée au roi de Sparte, Ménélas. Déguisé en berger, le Troyen vaincra un tournoi et obtiendra le droit de fréquenter la belle reine. Il entre ainsi, au 2e acte, dans le palais royal de Sparte en profitant de l’absence du mari, pendant qu’Hélène dort. Elle se réveille, certes, mais sous l’excuse que « ce n’est qu’un rêve », ils entament une idylle. C’est alors
(France info) Mort de Michel Blanc : le jour où l'acteur, grand mélomane, réalisait son rêve d'être sur scène avec un orchestre symphonique
(France musique) Fermeture de la manufacture d'accordéons Maugein : un patrimoine musical menacé ?
(Forum opéra) Pablo Heras-Casado, prochain directeur musical de l’Opéra de Paris ? La rumeur enfle
François Buhler — « Nadejda », du poète Nikolaï Dobronravov (Leningrad, 22 novembre 1928 — Moscou, 16 septembre 2023) et de sa femme, la compositrice Alexandra Pakhmoutova (née le 9 novembre 1929 à Beketova), est toujours considérée innocemment par des millions de gens comme l’une des plus belles chansons russes du xxe siècle. À sa création, rien ni dans le texte ni dans la musique ne prédisposait cette chanson à une telle
Frédéric Léolla — Isolde, promise au roi Marke de Cornouailles, y est conduite par le neveu de celui-ci, Tristan. Or Isolde, qui avait déjà conçu des sentiments pour Tristan, par dépit, boit et fait boire à Tristan un supposé philtre de mort qui est en fait un philtre d’amour. Impossible dès lors de vivre l’un sans l’autre. Au deuxième acte, Isolde, mariée au roi Marke, lui est infidèle avec Tristan ; mais leur désir semble inépuisable. Melot dévoile au roi Marke l’adultère et blesse gravement Tristan. Celui-ci, au troisième acte, agonise dans
(Europe 1) L'industrie musicale américaine enfin rattrapée par le mouvement MeToo ?
(La nouvelle République) Orchestre de Tours : un accord trouvé in extremis avec la municipalité
François Buhler — Voici un extrait de l’article nécrologique paru sur Lenta.ru sur le décès du compositeur Oscar Feltsman (Odessa, 18 février 1921 – Moscou, 3 février 2013) intitulé « On a chanté cette chanson dans le cosmos. Le compositeur Oscar Feltsman est décédé » :
« Nous parlons de Quatorze minutes avant le lancement » , une chanson originale de l'ère spatiale pour le peuple soviétique. Oscar
Frédéric Léolla — Gabriel von Eisenstein, marié à Rosalinde, doit passer quelques heures en prison pour une broutille. Mais il veut profiter pour honorer avant, sans que sa femme le sache, l’invitation à une fête que donne le prince Orlofski. En absence du mari, arrive un ancien prétendant de Rosalinde, le ténor Alfred, qui prend ses aises dans la maison des Eisenstein. Lorsque Frank, gouverneur de la prison, arrive chez les Eisenstein — pour emmener en prison Gabriel qu’il ne connaît pas — et
Frédéric Léolla — Les gentils sont les adultères et le méchant c’est le mari. Et en plus ceux-là partent heureusement ensemble à la fin. Dans un opéra italien du xixe. Vous y croyez ? Eh bien, ça existe.
Certes, c’est tiré d’une pièce française, certes le librettiste est très intelligent. Certes le personnage principal (non, ce n’est pas l’adultère, c’est une autre) meurt à la fin. Mais quand même ! Nous sommes en Italie dans les années 1870 !
(CNSMDP) Vente exceptionnelle : instruments et matériel son et lumière
(FIP) Mort d'Amaury du Closel, passeur des compositeurs persécutés et oubliés
(France musique) Stradivarius, Guarneri, Amati : à quoi reconnaît-on un grand violon italien du XVIIIe siècle ?
Frédéric Norac — Avec six concerts consacrés à la musique vocale, essentiellement des xviie et xviiie siècles, le programme du dernier week-end du festival d’Ambronay 2024 répondait parfaitement au mot d’ordre qu’il s’était choisi : « La voix est libre ». Libre, certes, mais mieux encore, multiple et sans cesse renaissante comme le prouve cette programmation qui permet de découvrir, outre un large répertoire inédit, un grand nombre de jeunes
France musique) Mort du fantasque et brillant chef finlandais Leif Segerstam
(20 minutes) Charente-Maritime : Un piano rarissime découvert sur Le Bon Coin
Frédéric Norac — Entre théâtre de marionnettes et Grand Guignol, la pièce d’Alfred Jarry, créée en 1896 au Théâtre de l’œuvre, haut lieu du théâtre symboliste, est difficile à réussir. Beaucoup de grands metteurs en scène s’y sont cassé les dents. Cette charge sur les dérives horrifiques du pouvoir, parodie farfelue du Macbeth de Shakespeare, exige de la démesure et un grain de folie pour faire mouche. Il y faut des comédiens de poids pour donner vie et crédibilité aux deux
Jean-Marc Warszwski — Cet artiste vient d’Andalousie, de Málaga, où il s’est mis à la guitare à l’âge de onze ans, il écume les lieux à chanson de sa ville natale, puis de Grenade ou il étudie la philologie, il gagne des concours internationaux d’auteur-compositeur, et se produit pas mal en Andalousie, à Madrid, à Barcelone, seul ou avec divers comparses et a enregistré trois cédés.
On peut dire que cela se présente comme de la chanson populaire, on
Frédéric Léolla — Canio est le chef d’une troupe de théâtre ambulante à laquelle participent aussi sa femme Nedda et le passablement contrefait Tonio. Or celui-ci est tombé sous le charme de Nedda qui, cinglante, le refuse. D’autant plus qu’elle est tombée elle-même sous le charme de Silvio, avec qui elle prétend fuir. Les amants, dénoncés par Tonio, qui cherche ainsi à se venger, sont surpris par Canio, mais avant que celui-ci n’ait pu le reconnaître, Silvio fuit. Le soir, pendant la représenta-
Jean-Marc Warszawki — Hugo Reyne, grand maître de la flûte baroque a écumé dès les années 1980 toutes les scènes pionnières avant de créer son propre ensemble, la simphonie du Marais. Marais parisien où il dirigea un festival, marais poitevin pas loin duquel il fut de longues années en résidence, à la Chabotterie, hommage à Marin Marais… Laissons aux psychanalystes le soin de régler cette épineuse question. On aurait pu croire que la dissolution récente de son ensemble, après plus de trente années fécondes, marquait son départ à la retraite, aux parties de pêche, de
Sexe et opéra (III. 12) : Cavalleria Rusticana
Frédéric Léolla —
Santuzza a couché avec Turiddu et espère donc se marier avec lui. Mais il la trompe avec Lola, qui est mariée avec Alfio. Dépitée, Santuzza révèle l’adultère au mari, Alfio. Celui-ci défie en duel Turiddu et le tue.
J’ai toujours soupçonné que le « compar Alfio » se doutait bien que sa femme le trompait. C’est lui qui le premier avait constaté que Turiddu rôdait près de chez lui (« L'ho visto sta matina vicino a casa mia », « Je l’ai vu ce matin près de chez moi »). Mais il faisait tout pour ne pas s’en rendre compte.
(Maison de la radio), Les 20 ans de Présences électronique
(alterpresse 68) Bernard Friot, historien de la sécurité sociale et théoricien du salaire à vie, en conférence à Mulhouse
(France info) Un robot dirige à la baguette un orchestre en Allemagne
(Léman bleu) Un nouvel ensemble symphonique à Genève
(94 citoyen) Le violoniste Arnaud Lehmann prend la direction du conservatoire régional de Créteil Marcel Dadi
Le compositeur et chef d’orchestre finlandais Leif Segerstam est mort, mercredi 9 octobre, à Helsinki, à l’âge de 80 ans
(Français à l'étranger) Jusqu’au 24 octobre, candidatez pour l’orchestre et choeur des lycées français du monde !
(Il Matino) L'Université de la Musique : Un Nouveau Campus à Benevento
(France musique) 100 ans du surréalisme : un siècle de relations houleuses avec la musique ?
(Le Dauphiné) Nomination d’un « chef associé » à l’Opéra Grand Avignon
Frédéric Norac — Le retrait de François-Xavier Roth de la scène publique aura permis aux Parisiens de découvrir un jeune chef promis à un bel avenir, Jakob Lehmann est originaire de Berlin, il y a créé en 2015 son propre ensemble, « Eroica Berlin », une formation d’une trentaine de musiciens, mixant instruments d’époque et modernes, avec lequel il vient d’enregistrer une étonnante version de L’Italienne à Alger de Rossini pour le label Panclassics. Il y expérimente une autre façon
Frédéric Léolla — À Moscou à la fin du xixe siècle, quelqu’un, très possiblement un certain Loris Ipanov, a assassiné celui qui devait se marier avec la riche Fedora. Et donc à la fin de l’acte I Fedora jure de démasquer Loris, qui semble être un anarchiste chevronné, et de se venger de lui. C’est ainsi que finit l’acte I. Pour le public Loris Ipanov est donc un assassin et un anarchiste. Pourtant on sait que le rôle est chanté par le ténor… Puis, quand les spectateurs font connaissance avec ce Loris, à l’acte II, ils
Frédéric Norac — Parmi les voix légendaires du xixe siècle — Maria Malibran, Giuditta Pasta, Pauline Viardot, pour ne citer que les femmes — Cornélie Falcon est la seule à avoir laissé son nom à un type vocal, désormais usité pour caractériser une voix large entre mezzo et soprano dramatique à la tessiture étendue, du si
Frédéric Léolla — Werther est tombé amoureux de Charlotte. Mais celle-ci a promis à son père mourant d’épouser Albert, ce qu’elle ne manque pas de faire. Le temps passe et Werther est toujours amoureux et Charlotte, mariée, toujours vertueuse. Werther finira par se suicider et mourra entre les bras de Charlotte qui avoue aussi, enfin, son amou
Dans les pas de Charpentier : Splendeurs vocales de la Sainte-ChapelleFrédéric Norac — Ce concert marquait la fin de la résidence de Sébastien Daucé comme chef invité auprès des Pages et des Chantres du Centre de musique baroque de Versailles. D’où la présence de quatre jeunes adultes et, surtout, de quatre voix d’enfants, venues ajouter leur note cristalline dans un chœur où les voix aiguës féminines ne sont que deux. Il décline en revanche toutes les nuances de la voix masculine, de la haute-contre la plus aiguë (André Perez Munoz) à la basse la plus profonde (Lysandre Châlon) en passant par le ténor central de Jacob Lawrence, et le solide baryton d’Étienne Bazola.
Frédéric Léolla — La comédienne Adriana Lecouvreur est tombée amoureuse d’un chevalier. Elle apprend que ce chevalier n’est autre que Maurice de Saxe, fils adultérin de l’Électeur et militaire très en vue. Mais pour des raisons d’ambition, Maurice a une amante, la princesse de Bouillon qui ne cesse d’intriguer pour lui. Une sourde rivalité s’installe ainsi entre la princesse et Adriana. Finalement Maurice reviendra avec Adriana, mais ce sera trop tard car, la princesse, offensée, par le biais d’un bouquet de
Alain Lambert — En deux heures, racontée par Denis Dupuis, accompagné en intermèdes par Mathieu Bellon au sax ténor, Julio Andria à la guitare, Bernard Cauvin à la contrebasse, Nesta Mondélice à la batterie. Une histoire sociale du jazz qui part de l'Afrique et de l'esclavage en expliquant les différents moments de son évolution musicale, en fonction du contexte historique et géographique. Le conteur est excellent, résumant comme il faut cette musique complétement afro-américaine, qui n'aurait pas pu naître ailleurs qu'à la Nouvelle Orléans, des work songs et du blues originel. Mais qui très vite, en remontant vers Chicago et New York va devenir la musiqu
Frédéric Léolla — Dans son théâtre, Maeterlinck avait inventé une façon de parler, une façon d’agir, toutes en demi-teintes, à demi-mot, de sorte que « ce qui n’est pas dit » devient le centre, l’essentiel. Comme dans la vie réelle. Le Pelléas de Debussy ne serait pas le chef-d’œuvre qu’il est
Frédéric Norac — Puccini, dit-on, avait refusé le livret d’Andrea Chénier avant que Giordano ne s’en saisisse et n’en fasse un succès international et une pièce de répertoire. Pourtant stylistiquement et même sur le plan dramaturgique, nombreuses sont les scènes que l’on pourrait transposer dans un opéra du maître de Lucques. L’affrontement de Madeleine et de Gérard au 3e acte n’est pas sans évoquer celui de Scarpia et de Tosca, la célèbre « Mamma morta » y tenant lieu de prière. Le chœur féminin du premier
Frédéric Léolla — Le mari de Grisélidis parie avec le Diable sur la fidélité de sa femme. Celui-ci va la tenter par tous les moyens, notamment par le biais de son ancien amoureux, le berger Alain. Finalement l’inébranlable fidélité de Grisélidis sera étalée au grand jour, et tout le monde remerciera Dieu — sauf le Diable. Pourquoi une histoire passablement idiote et passablement rancie comme celle de Grisélidis a-t-elle été retenue par Massenet pour en tirer un opéra ?
François Buhler — Les informations ne sont pas très nombreuses sur cette célèbre chanson sentimentale que l’on aime surtout lorsqu’on ne sait pas de quoi il s’agit. A vrai dire, elles ont même été soigneusement dissimulées. A priori, ce n’est pas surprenant puisqu’il s’agit d’une chanson de propagande. Leurs auteurs l’ont voulue telle et ont protesté quand on a voulu lui donner un autre sens mais le manque de succès initial a tout d’abord amolli quelque peu leur résistance. Au premier abord, elle semble en effet n’être
(ville de Bonneuil) Bientôt, le conservatoire à la Ferme du Rancy
Le chantier de rénovation de l’opéra xde Toulon s’étalera sur trente-six mois
À vendre piano demi-queue Schiedmayer & Soehnede 1897
À vendre Cymbalum Schunda (Hongrie) début xxe siècle
À vendre piano trois-quart de queue Pleyel de 1886
(France Musique), Quel avenir pour les labels indépendants de musique classique ?
2024 RMA Practice Research Study Day, 4 December 2024, Leeds
Early Recordings Association Annual Conference, 1 to 3 July 2025, Guildfor
Music Theories, Analysis, and the Musical Cultures of Asia, June 1-5, 2026, Chengdu, China
Transnational Opera Studies Conference 2025, 7th to 9th July 2025, Cambridge
International Symposium Mahler and Humor, 17-19 July 2025, Innsbruck
Frédéric Léolla — Le sujet est essentiellement le même dans les deux opéras, tirés d’un même fait historique : Ugo, fils du duc Azzo (ou du marquis Nicolò dans la version de Mascagni/d’Annunzio) est tombé amoureux de Parisina, la nouvelle femme du duc/marquis. Les amoureux mourront par la rigueur du duc/marquis.
Mais, dans la version de Donizetti/Romani Parisina n’a jamais « fauté », elle est amoureuse certes d’Ugo, mais ils n’ont même pas
Alain Lambert — Un Petit Label de l’an passé, Now Is Not Now du trio Play Station, Chance du trio de la pianiste Miki Yamanaka, Translation Jazz du batteur Gaspard Guerre en quartet ou en MAO, Inventions du paniste Russ Lossing, Shapes and Sounds du pianiste Yonathan Avishai en trio, Sept fables sur l’invisible du duo Annick Nozatti-Daunik Lazro. Et pour finir Après le déluge du quartet les Enfants d’Icare mais en sextet poétique.
Frédéric Léolla — Quand le rideau se lève, Marie-Thérèse et Octavian sont au lit, ensemble, en pleine séance de câlins matinaux. Il est possible ici de parler d’érotisme musical, ça sent l’après-sexe à plein nez : les attitudes, la situation et surtout la sensualité de la musique — peut-être la plus sensuelle que Richard Strauss ait composée…
Il est impossible de déterminer sa date de naissance, les registres paroissiaux ayant été détruits, son nom de baptême étant toutefois assuré.
Il fut engagé par les gouverneurs de la S. Casa dell'Annunziata de Naples en raison de ses bonnes qualités musicales, le 1er décembre 1635. La tradition de cette institution était d’engager de jeunes
septembre 2024 * * novembre 2024
Samuel Strouk, Le rêve de Maya ; Siv Concerto, François Salque (violoncelle), Vincent Peirani (accordéon), Florent Pujuila (clarinette), Orchestre national de Bretagne. Well done Simone 2024.
Clémence de Grandval, Stabat Mater Anne Calloni (soprano), Gaëlle Mallada (mezzo-soprano), Bastien Rimondi (ténor), Jiwon Song (baryton), Zoé Hoybel (piano), Christophe Henry (harmonium), Chœur Vittoria d'Île-de-France, sous la direcrtion de Michel Piquemal. Hortus 2024 (HORTUS 244). Enregistré les 9-12 janvier 2024, Paris, église Notre-Dame-du-Liban.
Dialoguer, Ensemble Art of Nature, Esmé de Vries (viole, violoncelle), Oleguer Aymami (viole, violoncelle), Hadrien Jourdan (clavecin), Cecilia Knudtsen (violone), œuvres de Marin Marais, Louis Caix d'Hervelois, Jean Barrière, Francesco Geminiani, François Couperin, Arcengelo Corelli, Antonio Vivaldi, VDE-GALLO 2024. Enregistré en mai 2024, au temple de Savagnier (Suisse).
A Bach & Abel Concert, Catherine Zimmer, pianoforte organisé Merlin 1784, œuvres de Johann Christian Bach, Carl Philipp Emanuel Bach, Karl Friedrich Abel, Joseph Haydn, John Hook, Maria Hesther Park, Ludwig Wenzel, John Stanley, Encelade 2024 (ECL 2401). Enregistré les 4-7 mqai 2024, Salon de musique de Bastelicacia (Corse).
W. A. Mozart, Fantasy, Florent Albrecht, pianoforte Baumbach 1780, Fantaisie en fa mineur, Modulierendes Präludium kv 624, Präludium und Fugue KV 394, Fantaisie KV 475, Präludium capriccioso KV 395, fantaisie kv 396, fantaisie kv 608, Fantaisie kv 397. Triton / Hortus 2024 TRIHORT 585).
Marie Bigot, Hélène de Montgeroult, Des dentelles à l'échafaud, Lucie de de Saint-Vincent (pianoforte). Présence des compositrices 2024 (PC004). Enregistré en avril 2023 à Paris, Musée de la musique et en août 2023, au Museum Geelvinck de Heerde aux Pays-Bas.
Bridges to Infinity, œuvres d'Enjott Schneider, Friedmann Eichhorn (violon), Alexia Eichhorn (alto), Julia Sophie Wagner (soprano), Chor der Klangverwaltung, Bodensee Philharmonie, sous la direction de Gabriel Venzago, Concertos pour violon, pour alto, 8e symphonie « The Bell », Solo Musica 2024 (SM 475).Enregistré les 1-5 juillet 2024.
Schéhérazade, Etsuko Hirose (piano), Nikolai Rimsky-Korsakov, suite symphonique de shéhérazade arrangée pour piano ; Sergei Bortkiewicz, suite du ballet Les mille et une nuits. Danacord 2024 (Dacocd 985). Enregistré les 2-4 septembre 2024, à Villeneuve-sur-Lot, Théâtre Georges-Leygues.
L’héritage de Cornélie
Falcon, Aleksandra Kurzak (soprano), Morphing Chamber Orchestra, sous la direction de Bassem Akiki, airs de Mozart, Beethoven, Spontini, Halévy, Meyerbeer, Rossini, Berlioz, Weber, Aparté 2024 (AP353).
Aux idées heureuses, Takihisa Aïda (clavecin), œuvres de Johann Jacob Froberger, Jacques Hardel, Perrine, Louis Couperin, Élisabeth-Claude Jacquet de la Guerre, Jean-Henri d'Anglebert, Jacques-Champion de Chambonnières. Son An Ero 2023 (Son an ero 19). Enregistré en juillet 2021, médiathèque de Lannion.
Fauré, Florilège, œuvres diverses de Gabriel Fauré enregistrées entre 1974 et 2024 par différents artistes et ensembles : quatuor avec piano no 2, sonate pour violon, mélodies, Romances sans paroles, Papillons, Pièces brèves, Sicilienne, etc., Indésens calliope 2024 (2 CD, IC 059).
Fauré, Jacques Herbillon (baryton), Théodore Paraskivesco (piano), Mélodies, La bonne chanson, L'Horizon chimérique, Indésens Callioppe 2024 (IC 053). Enregistrements de 1974-1975.
Parsi Frédérique, Jean Giono et la Musique. « Études de littérature des xxe et xxie siècles » (127), Classiques Garnier, Paris 2024 [628 p.; ISBN 978-2-406-17316-8 ; 48 €].
Michaud-Laine Vincent, Sémiomusicologie de la harpe gaélique ancienne. « Sémiotiques » (1), Classiques Garnier, Paris 2024 [473 p. ; ISBN978-2-406-16778-5 ; 94 €].
Jean-Pierre Collot et Philippe Albèra (éditeurs), Arnold Schönberg, écrits 1890-1951. Éditions Contrechamps, Genève 2024 [1562 p. ; ISBN 979-10-94642-82-5 ; 42 €].
Kaltenecker Martin, L’expérience mélodique au XXe siècle. Éditions Contrechamps, Genève 2024 [392 p. ; ISBN 978-2-940068-71-5 ; 28 €].
Baskevitch François, Théories et nature du son dans l’Antiquité grecque : histoire de l’acoustique physique dans les textes grecs (du Ve au Ier siècle avant notre ère). « Ouverture philosophique », L'Harmattan, Paris 2024 [254 p. ; ISBN 978-2-336-45474-0 : 26 €].
Yon Jean-Claude et Lelièvre Stéphane (direction), Offenbach en toutes lettres : enjeux littéraires et dramatiques. « Rencontres » (616), Classiques Garnier, Paris 2024 [374 p. ; ISBN 978-2-406-16102-8 ; 38 €].
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Languedoc-Roussillon, 34 000 Montpellier — À vendre piano trois-quart de queue Pleyel de 1886, modèle 217, numéro de série 85754, longueur 217 cm, cadre serrurier, cordes parallèles, mécanique Schwander, 85 touches, pédales forte et una corda, clavier revêtements ivoire, finition : acajou ciré, excellent état, garanti 2 ans Prix : 14 500€. Herpin Pascal 🕿 06 08 77 85 70, @
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Lundi 24 Mars, 2025