20e année —— février 2019
◆(France musique) Maria João Pires (3/5) : « Notre créativité est constamment détruite par ce besoin de compétition »
◆Le sarod (instrument de musique)
◆La Sarangi (instrument de musique)
◆La Sarinda (instrument de musique)
◆Fedeli Giuseppe (v. 1670-1733)
◆Hermansson Johannes (v. 1680-v. 1745)
◆Lafond Jean-François de (v. 1680-v. 1745)
◆Lavington George (v. 1680-v. 1745)
◆Le Brun Antoine-Louis (1680-1743)
◆Marais Roland (v. 1680-v. 1750)
◆Sanchez Manuel (v. 1680-v. 1745)
◆Vaugirauld Jean de (1681-1758)
Alain Lambert ——
Pour passer février, trois trios d'abord, Bex Catherine Romano avec « La belle vie », Das Kapital avec « Vive la France » et le Laurent Dehors trio avec « Moutons ». Aussi Manu Katché à plusieurs voix pour « The scope», et « Aksham » mené par Elina Duni, Marc Perrenoud et David Enhco.
◆Iannis Xenakis, entre les mondes, 5 février 2019, Dunkerque
◆Le 37e festival « Aspects des musiques d’aujourd’hui » invite Thierry Pécou
◆Requiem de Mozart en l'Île-Saint-Louis de Paris, 10 mars 2019
◆(Alain Pâris) Philharmonia, ça sonne faux !
◆(Europe 1) Comment le retour en force de la cassette audio fait vivre une petite usine française.
◆(La Croix) A La Folle Journée de Nantes, heureux qui comme Ulysse...
◆Vallade Johann Baptist Anton (v. 1712-v. 1777)
◆Bremner Robert (v. 1713-1789)
◆Carlos De Jesus Maria (1713-1747)
◆Frischmuth Leonard (v. 1713-v. 1778)
◆La porte Joseph de (1713-1779)
◆Laugier Marc-Antoine (1713-1769)
Jean-Luc vannier —— Mis à part le titre, « Immortel », ce concert « Grande Saison » dimanche 3 février de l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo à l’Auditorium Rainier III soulevait l’énigme d’avoir rassemblé dans un même programme dirigé par Kazuki Yamada, le Concerto pour piano et orchestre en la mineur, opus 16 d’Edvard Grieg interprété par Jean-Yves Thibaudet, puis, en deuxième partie, Jeux, poème dansé, version
◆Bruce Thomas (v. 1681-v. 1746)
◆Cerbellon De La Vera Eustaquio (v. 1681-v. 1746)
◆Chauncey Nathaniel (1681-1756)
◆Roger Waters appelle à une manifestation pour arrêter le coup d'Etat de Trump au Venezuela.
◆(BnF) Les playlists de Gallica : du Caucase à l'Anatolie
Figure de l'écriture contrapunctique qui consiste à
rappeler un motif ou un dessin musical exécuté à une autre voix. Encyclopédie de Diderot et d'Alembert : En Musique,
est l'emploi d'un même tour de chant dans plusieurs parties qui se font
entendre l'une après l'autre. A l'unisson, à la tierce, à la quarte, ou à
quelqu'autre intervalle que ce soit, l'imitation est toujours bien prise,
même en changeant plusieurs notes, pourvû que le même chant se reconnoisse
toûjours, & qu'on ne s'écarte point des lois d'une bonne
◆(Là-Bas si j'y suis) Leningrad l'orchestres sous les bombes
◆(Le Figaro) La RAI ne veut plus du Philharmonique de Berlin pour son hymne national
◆(Slate) J’ai regardé «Philharmonia» (j'aurais pas dû)
Frédéric Norac —— C’est la troisième fois en trente ans que l’Opéra Bastille met à l’affiche Les Troyens de Berlioz. La première qui fut aussi la création de la version intégrale sur notre scène nationale remonte à 1989, l’année de l’inauguration du nouvel opéra dont elle « essuya les plâtres ». La production d’alors, due Pierluigi Pizzi, a laissé le souvenir d’une de ces mises en scène néo-classiques en noir et blanc dont il avait le secret et à laquelle les prestations de Grace Bumbry en Cassandre et de Shirley Verrett en Didon
Alain Lambert —— Malgré le caractère badin de la scène d'ouverture, les caméristes arrangeant la table de cadeaux d'anniversaire de l'Infante, on devine dès qu'on aperçoit les cothurnes du chambellan Don Esteban que nous sommes à l'orée d'une tragédie, sobre, dense et proche du sublime.
Sobre, la mise en scène et la scénographie de Daniel Jeanneteau, un ballon, des branches, une table, un (immense) miroir.
Théodorákis commence à composer à l'âge
de 13 ans.
Après l'occupation de la Grèce par les troupes nazies, il est arrêté à Tripoli en 1942 par les italiens. Il est de nouveau arréte et torturé l'année suivante. Relâché, il rejoint la Résistance à Athènes, et adhère au Front national de libération. Il arrive à suivre les cours de Philoktitis Economidis au Conservatoire.
◆(La lettre pro) Quotas : vers la dilution des artistes francopho-nes ?
◆(Lyon Capitale) L’Opéra de Lyon nommé aux International Opera Awards 2019
◆Riccardo Chailly est prolongé à la tête du Festival de Lucerne
◆(France Culture) Sortir l’opéra du placard
◆Demotz de La Salle (v. 1681-v. 1746)
◆Corominas Juan Francisco de (v. 1681-v. 1745)
◆Die Dreigroschenoper / L'Opéra de Quat'sous
◆(Journal des femmes) L'industrie musicale française, un milieu hostile pour les femmes ?
◆(France musique) Un Concours international de cheffes d'orchestre organisé par La Philharmonie et le Paris Mozart Orchestra.
◆Blockland de Montfort (1530-v. 1595)
◆Montanos Francisco de (v. 1530-1595)
◆(France info) Les principaux lauréats des Victoires de la musique 2019
◆(Le Monde) Quand l’opéra créait des divas
Sujets musicaux
◆(L'Orient le jour), Et l’organiste était... une femme
◆(France musique) Repassez-moi l'standard...« Lullaby of Birdland » composed by George Shearing & lyrics George David Weiss, 1952
◆(La Croix) De l’oxygène dans la saison musicale
On connaît la vie de Johann Mattheson de ce qu'il a écrit dans son autobiographie (Grundlage einer Ehren-Pforte). On doit donc faire la part de la réalité et du roman.
Il est le seul enfant survivant de Johann Mattheson, collecteur des impôts à Hamburg et de Margaretha Höling.
Dès l'âge de six ans, il reçoit des leçons privées de musique, de piano et de composition avec Johann Nikolaus Hanff, qui sera organiste à la cathédrale de Schleswig, de chant avec un certain Woldag, aussi de
◆Deux lettres de Clara Schumann ressurgissent
◆La maison de musique Tonger fondée en 1822 à Cologne est en faillite
◆(Culture Box) Académie du Jazz : le saxophoniste Baptiste Herbin sacré prix Django Reinhardt lors d'une soirée dédiée à Petrucciani
◆Hauck Johann Gottfried (v. 1681-v. 1745)
◆Heumann Christoph August (1681-1764)
◆Marbach Christian (v. 1681-v. 1745)
◆La Java, danse des bals populaires
Jean-Luc Vannier —— Il fallait, mercredi 13 février, fermer les yeux pour savourer l’excellence musicale et vocale du Faust de Charles Gounod à l’opéra de Marseille. Dans cette multiple coproduction (Opéra Grand Avignon, Opéra de Massy, Opéra Théâtre Metz Métropole, Opéra de Nice, Opéra de Reims), seules la brillante distribution où le juste équilibre des voix le dispute à leur indéniable qualité ainsi que la direction magistrale des chœurs et de l’orchestre de l’opéra de Marseille par Lawrence Foster
Fils d'un armateur breton, il débute sa carrière à l'enfance comme ténor, et chante aux églises de La Madeleine et de la Trinité à Paris.
Il intègre le Conservatoire national supérieur de Paris en 1887. Il étudie sous les directions d'Antoine-François Marmontel, Louis Diémer (piano), Albert Lavignac (harmonie), Gabriel Fauré (composition).
Il chante à La Madeleine lors de la création du Requiem de Gabriel Fauré le 16 janvier 1888.
Le 17 novembre 1901, il crée avec l'orchestre Colonne sa fantaisie pour piano et orchestre.
En 1911, il est le créateur au piano des Valses nobles et sentimentales
Frédéric Norac —— Raquel Camarinha que nous avions découverte en 2017 dans la Passion selon Sade nous avait semblé un vrai tempérament de théâtre, une interprète audacieuse dans ses choix de répertoire. L’on s’étonne du coup de la retrouver dans ce programme de mélodies « classiques » où elle apparaît bien sage, voire même un rien empruntée lorsqu’elle s’adresse au public, et où soudain ne transparaît plus de son talent que le côté technique.
Jean-Marc Warszawski —— Louis Aubert eut ses années de gloire, comme pianiste et déchiffreur hors pair, comme compositeur, notamment avec sa Habanera en 1917, ou son opéra La forêt bleue, de 1904, créé à Boston en 1911, repris à l’Opéra-Comique de Paris den 1924, et ses nombreuses mélodies, y compris pour le monde de la variété. Sa virtuosité d’écriture et d’orchestration lui permettant de réunir avec cohérence une large palette d’influences, d’idées et de couleurs expressives, jusqu’au jazz. Puis son œuvre
◆Minguet e Yrol Pablo (vers 1700 - v. 1766)
◆Maisoncelle M. de (v. 1713-v. 1778)
◆Novi de Caveirac Jean (1713-v. 1782)
◆Rau Johann Jacob (v. 1713-v. 1778)
◆La Chitarra Battente ou guitare bateau
Frédéric Norac —— Que vous aimiez ou non les Noces de Figaro, que vous les connaissiez sur le bout des doigts ou pas du tout, avec Romie Esteves pour guide vous allez les découvrir sans peine et sûrement les adorer. C’est avec sa passion pour Mozart, dans une approche intime, contemporaine, vivante que la mezzo s’est lancée dans ce projet fou de raconter l’opéra de Mozart, seule en scène et en une heure et quarante
Jean-Marc Warszawski —— près avoir étudié en Suisse, en Autriche et en Allemagne, le violoncelliste Jürg Eichenberger achève brillamment sa formation à la Haute-École de musique de Lucerne, où il enseigne aujourd’hui. Il s’est produit avec de nombreux ensembles chambristes de Suisse, notamment le Chamber Soloists Lucerne, qui sera une nouvelle fois en tournée aux États-Unis d’Amérique et en Argentine l’été
◆(El Moudjahid) Prévu depuis près d’une année : L’Orchestre symphonique d'Oran est né
Jean-Marc Warszawki —— Les joueurs de traverse sont un ensemble de cinq flûtistes, épris de Renaissance. Traverse pour flûte traversière ou traverso, voire traversa. Mais à l’époque on appelait une flûte une flûte, et un tel ensemble familial homogène, un consort.
À la renaissance, la musique savante qui échappe à l'église et se développe dans les cours et les tavernes est essentiellement vocale
En 1860, il abandonne ses études de mathématiques et d'hébreu au profit de la musique, intègre de Conservatoire Stern de Berlin. Il y étudie la composition avec Hugo Ulrich, la direction d'orchestre et la lecture des partitions avec Julius Stern, le piano avec Hans Bülow.
En 1863, il prend un poste d'organiste à Winterthur (en succession de Theodor Kirchner), en espérant que l'air alpin de la Suisse ralentira la progression de sa maladie.
◆(Tous les festivals) Comment Banlieues Bleues met à l'honneur le jazz pour tous
Michel Rusquet —— De 1773 et 1774, on a deux séries de six quintettes avec flûte, l’opus 17 (G 419-424) et l’opus 19 (G 425-430), puis, composée en 1797, une troisième série de six œuvres — l’opus 55 (G 431-436) — proposant cette fois le choix entre flûte et hautbois. S’y ajoute, puisque son authenticité est désormais jugée très plausible, un autre groupe de six quintettes avec flûte (G 437-442) conservés dans les archives du Palais Royal de Madrid, des œuvres
◆Le cinéma populaire et ses musiciens en France depuis 1930, 5-7 juin 2019, Dijon
◆Berlioz et Paris (1803-2019), 10-12 décembre 2019, Paris
◆(Tous les festivals) Comment Banlieues Bleues met à l'honneur le jazz pour tous.
Jean-Marc Warszawski —— Deux œuvres de jeunesse composées avec dix années d’écart, 1858 et 1867, Brahms ayant été jeune avant Goetz, ce qui n'a pas empêché leur relation amicale. Deux œuvres traçant clairement dans l’héritage du dernier Beethoven jusqu’à Schumann ou Mendelssohn, ne s’aventurant pas dans la déstructuration tonale du chromatisme de Liszt ou dans l’incertitude des modulations continues de Wagner.
◆(France musique) Egalité salariale : accord trouvé entre l’Orchestre symphonique de Boston et sa flûtiste solo
Jean-Marc Warszawski —— Camille Pépin a commencé par toucher plusieurs instruments au Conservatoire d’Amiens, elle a suivi les cours d’arrangement de Thibault Perrine au Pôle Supérieur Paris Boulogne-Billancourt. Au conservatoire national de Paris, d’où elle est sortie avec cinq premiers prix, elle a étudié sous la direction de Thierry Escaich, Guillaume Connesson et Marc-André Dalbavie. Elle est récipiendaire en 2015 du grand Prix Sacem musique symphonique « jeune compositeur
◆Alberto Joseph Gomes da Silva (v. 1713-1795)
◆(Toulouse blog) 1re édition des Musicales franco-russes de Toulouse !
◆(L'avenir, Belgique) Plus de 50 concerts aux Nuits Botanique entre le 23 avril et le 5 mai.
◆Musiques gnawa en diaspora, 1er mars 2019, Saint-Just-Saint-Rambert
◆Music and Spatiality, 4–6 Octo-ber 2019, Belgrade
◆14e Festival d’art lyrique de Salon-de-Provence, 8-11/8 2019.
◆La musique fait son cinéma avec Stanley Kubrick à Radio France
◆Avec l'Orchestre national d'Île-de-France, Julie Fuchs chante les héroïnes
◆Cinq heures d'orgue en cinq concerts à Vin-cennes, 22-23 mars
◆(AFP/Le Figaro) Accusé de pousser les musiciens à la dépression, le chef d'orchestre Daniel Baren-boïm réplique
◆(France 3 Occitanie) Toulouse : le théâtre du Ca-pitole met en vente ses costumes
◆Le baryton Jean-Christophe Benoit est mort jeudi 21 février 2019 à l’âge de 93 ans, après une vie dédiée à l'opéra et à la mélodie française.
Jean-Luc Vannier —— Ariodante tient une place particulière dans les quarante opéras de Georg Friedrich Händel. En premier lieu, le temps requis pour l’écrire : s’il fallait en général deux à trois semaines au compositeur pour achever une œuvre, ce dramma per musica le retint deux mois entiers. Ensuite, la cohérence du livret : contrairement à d’autres souvent jugés « plus confus et agités », les trois actes d’Ariodante déroulent une implacable intrigue dramatique. Le 1er
Organiste et compositeur aveugle, expert en facture
d'orgues.
Il se marie en 1482, alors qu'il est organiste à la cour d'Heidelberg.En 1509, il est le musicien de la cour le mieux rémunéré.
En 1486, il joue à l'occasion de l'élection au trône de Maximilian.
En 1490 et 1491, il séjuourne quelques mois aux Pays-Bas (fuit peut-être une épidémie de peste).
En 1491, il réceptionne le grand orgue de la cathédrale de Strasbourg.
◆Pancratus Vulturinus (v. 1460-v. 1525)
Frédéric Norac —— La messe à quatre chœurs H4 de Marc-Antoine Charpentier, le plus italien des compositeurs français, est un des rares exemples de composition d’église spatialisée du répertoire français, inspiré du style des œuvres romaines et vénitiennes du premier baroque.
Très rarement donnée, elle exige un effectif important, quatre chœurs — voix d’enfants et voix masculines — plus un ensemble instrumental
Il n'est âgé que de quelques mois quand son père, boulanger et musicien municipal (sonneur) de la vieille ville décède à l'âge de trente ans. Vers les années 1880, adopté par sa tante et son oncle, Lucie Certelet et Josef Reicha (1749-1795), il quitte le domicile de son grand-père, Václav Rejcha (1717-1798), situé à Klatovy, en Bohème. Son oncle, violoncelliste virtuose, lui aurait enseigné le violon. Eifer lui enseigne le piano et la flûte qui devient son instrument principal.
Frédéric Norac —— es cantates de Bach ont beau ne pas avoir été écrites pour de grands solistes, elles ont tout même leurs exigences. C’est particulièrement vrai avec les célèbres cantates : Ich habe genug et Ich will den Kreuzstab gerne tragen, destinées toutes deux à la voix de basse. Une basse sûrement
◆(20 minutes) Bordeaux: Des danseurs de l'Opéra tournent un clip contre les violences conjugales, sur le miroir d'eau.
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Jeudi 28 Octobre, 2021