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mardi 29 mars 2011

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Les enjeux du Laboratoire
intrumental européen : regards
croisés, le 9 avril à Paris

Les enjeux du Laboratoire intrumental européen : regards croisés, samedi 9 avril de 11 à 16h00, au Théâtre Dunois. Modération David Jisse.

Le Laboratoire Instrumental Européen (LIEU), fondé en 2008, réunit des partenaires de huit pays autour d'un même objectif : promouvoir et penser ensemble l'avenir de la création contemporaine.

Une enquête a été menée auprès des différents acteurs impliqués dans le LIEU: compositeurs, directeurs de festivals, centres de documentations, éditeurs et membres des ensembles dédiés à la création, afin de mettre en évidence les enjeux auxquels ils sont confrontés.

Cette table ronde reprendra et présentera au public les principaux questionnements et enjeux mis en évidence par cette étude. Elle permettra de comparer et confronter la façon dont les structures, ensembles et compositeurs présents fonctionnent et les difficultés qu'ils rencontrent.

Les changements politiques qui s'opèrent à travers l'Europe seront également au cœur de cette rencontre, au cours de laquelle des intervenants de six pays s'exprimeront sur leurs situations respectives.

16h00 :  Table ronde avec la participation de Henk Heuvelmans, directeur, Gaudeamus Music Week (Pays-Bas) ; Idske Bakker, directrice, ensemble Insomnio (Utrecht, Pays Bas) ; Egils Stals, manager, ensemble Altera Veritas (Riga, Lettonie) ; Metod Tomac, musicien, ensemble Slowind et festival Slowind (Ljubljana, Slovénie) ; Natasa Helena Tomac, ensemble et festival Slowind (Ljubljana, Slovénie) ; Collectif d'interprètes de l'Ensemble Aleph (Vitry-sur-Seine, France) ; Gérard Buquet, compositeur (France/Allemagne) ; Malin Bång, compositrice (Suède).

20h00 : Concert franco-hollandais, ensembles Aleph (France) & Insomnio (Pays-Bas). L'ensemble Insomnio présentera des pièces de jeunes compositeurs français et l'Ensemble Aleph de compositeurs Hollandais. Les deux ensembles réunis joueront une pièce de Huck Hodge, lauréat du prix Gaudeamus 2008. Ces œuvres ont été répétées lors d'une résidence au Pays-Bas, en septembre, et présentées à l'occasion de concerts à Utrecht et Amsterdam. Elles le seront pour la première fois en France à l'occasion de ce concert.

Réservation 01 45 84 72 00. Partenariat Cdmc - Ensemble Aleph Le LIEU. Théâtre Dunois, 108 rue du Chevaleret, 75013 Paris ((métro Chevaleret, Bibliothèque François Mitterrand).
https://www.theatredunois.org

mardi 29 mars 2011

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Le 4e numéro de serge est en
kiosque

Né de la rencontre entre Didier Varrod (France Inter) et Patrice Bardot (Tsugi), SERGE est un magazine bimestriel chic et populaire, dédié à toute la chanson d'expression française, qu'elle soit rock, pop, électro, hip-hop ou chanson évidemment.

Au sommaire du quatrième numéro, toujours des histoires de chansons et de chanteurs :

  • Catherine Ringer, « je n'ai jamais pensé arrêter de chanter », une vie après les Rita Mitsouko.
  • Jean-Louis Aubert prouve avec son 7e album solo qu'il a mieux à faire que ressasser ses vieux tubes.
  • Enrico Macias & Rachid Taha, trajectoires croisées.
  • L'album de Serge, Cyril Mokaiesh, du rouge et des passions.
  • Mazarine Pingeot interview Alex Beaupain.
  • Scandale au tribunal : Brassens aimait la variété.
  • Au lit avec Julien Doré.
  • Le blind test de Stromae.
  • Portfolio rare de Gainsbourg, en plein boulot.
  • Pierre Vassiliu & Arnaud Fleurent-Didier, le vieil homme et son fan.
  • Brigitte, super nanas.
  • À la recherche de la France qui groove.
  • Melissmell & Les Hurlements d'Léo, les alternatifs ont-ils toujours la foi ?
  • Un beau roman, Vincent Delerm « Tes parents.
  • Les manuscrits de Serge Gainsbourg.
  • Un tube et puis s'en va, Manau « La tribu de Dana ».
  • À table avec Akhenaton et Faf Larage.
  • Les objets fétiches d'Elodie Frégé.
  • L'album photo de Thomas Fersen et bien d'autres choses…
  •  Tous les deux mois en kiosques, 5 euros.

mardi 29 mars 2011

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Concerts d'appartement à l'Institut
néerlandais de Paris

L'Institut Néerlandais est heureux de vous proposer une série de concerts-appartement originaux, à commencer ce jeudi 31 mars : Variations sur un violon, les 31 mars, 7 et 14 avril à 13h et à 19h30

Trois concerts dans le salon du 4e étage à l'Institut Néerlandais: c'est comme si on ne jouait que pour vous ! A l'heure du déjeuner ou à l'heure de l'apéritif, laissez-vous emporter par les sonorités inattendues de ces concerts-appartement. A l'issue des concerts à 13h, un déjeuner sur le pouce vous est proposé.

Jeudi 31 mars à 13h et 19h30 : Variation I, en Inde, violon & tabla

Lenneke van Staalen (violon) et Heiko Dijker (tabla) ont étudié au Conservatoire de Rotterdam avant de se spécialiser auprès de grands maîtres en Inde. La combinaison insolite d'instruments engendre une ambiance intime. Le jeu de Dijker est caractérisé par sa grande connaissance des rythmes complexes de la musique indienne. Van Staalen émeut par ses interprétations lyriques et intenses. La musique classique de l'Inde du Nord est reliée à un moment particulier de la journée, l'atmosphère du petit matin étant différente de celui de la soirée tardive. Ainsi, le duo interprétera un râga du matin et un râga du soir.

Réservez vos places, leur nombre est limité !

Tarif : 5 € / Amis : entrée libre ; Formule concert / Sandwich / boisson (concert de 13h seulement) : 10 € / Amis : 5 €. 121 Rue de Lille/ Paris 75007 (métro Assemblée Nationale / Invalides)

mardi 29 mars 2011

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Échange de quatuors France-
Finlande

Sous l'égide de l'Association des parents d'élèves et amis du Conservatoire de Paris, un partenariat a été conclu entre le Conservatoire à rayonnement régional de Paris, le Lycée Racine de Paris, le Lycée Sibelius d'Helsinki, l'Institut Culturel Finlandais de Paris.

« Korvat auki, les oreilles ouvertes ! » Donner l'occasion à de jeunes « oreilles » musiciennes de s'ouvrir, d'entendre et d'échanger des expériences nouvelles, de s'immerger dans des contextes culturels différents et de se fondre dans une même pratique, telles ont été les motivations de ce projet.

Le lycée musical Sibelius d'Helsinki, le plus réputé de Finlande, a accueilli avec enthousiasme en février dernier, un premier échange avec le Quatuor Phénix des élèves du lycée Racine et du Conservatoire de Paris. Au programme : cours au lycée, auditions, masterclasse avec Marko Ylönen à l'Académie Sibelius, et même participation — dans l'orchestre — au « Vanhojen tanssit », le grand bal traditionnel du lycée ! En retour, le jeune quatuor finlandais Ainoa–kvartetti va intégrer l'orchestre du lycée Racine, les classes du Conservatoir de Paris, donner plusieurs concerts.

Lors de leur première rencontre en Finlande, ces talentueux quartettistes unis en un octuor franco-finlandais ont construit un programme de concert autour de l'Andante Festivo de Sibelius.  

Ainoa-kvartetti : Sofie Lundgren (violon), Maija Sihvola (violon), Werneri Männynsalo (alto), Paula Pättikangas (violoncelle). Quatuor Phénix : Ariane Lebigre (violon), Aliisa Barrière (violons), Antonin Le Faure (alto), Roman Cazal (violoncelle).

Vendredi 6 mai 18h00, au Conservatoire de Partis, Auditorium Landowski, 14 rue de Madrid 75008 Paris (entrée libre), et samedi 7 mai à 16h00, à l'Institut Culturel Finlandais, 60 rue des Écoles, 75005, Paris, 01 40 51 89 09 (entrée : 10 / 5 €).

https://www.crr-paris.fr  ; https://www.institut-finlandais.asso.fr

mardi 29 mars 2011

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Médée et la princesse de Clèves :
deux films sur l'amour et la trahison

Deux héroïnes littéraires défiant la norme inspirent deux films sur l'amour et la filiation, l'identité et la trahison, en salles à partir de mercredi : « Nous, princesses de Clèves », documentaire tourné avec des lycéens, et « Médée miracle » avec Isabelle Huppert.

Né d'une envie de réaliser un film sur la souffrance « de et dans » l'institution scolaire, « Nous, princesses de Clèves » de Régis Sauder met en scène des élèves du lycée Diderot dans les quartiers nord de Marseille.

Une quinzaine d'entre eux sont filmés dans leur première rencontre avec le monument littéraire qui les inspire d'abord parce qu'il parle d'amour absolu.

A la veille de passer leur bac de français, garçons et filles sont filmés s'appropriant le texte de Mme de La Fayette et l'utilisant pour parler de leur quotidien émotionnel.

Premiers émois, premiers renoncements, le propos alimente peu à peu leur réflexion sur la relation aux autres, à la famille et à la vie en société avec ses codes et ce qu'ils semblent leur imposer : ne pas trahir, ne pas se renier, ne pas déroger, ne pas décevoir.

Chacun des jeunes explique combien finalement le texte l'aide à comprendre le monde dans lequel il vit et l'importance de l'amour. L'une des forces du documentaire tient à la sincérité du propos, même gauche, lorsque les élèves se mettent en scène, et à leur réelle soif de connaissance : « on ne veut pas de sous-littérature écrite pour nous, on veut de la grande littérature », dit l'un d'entre eux.

Leur quotidien, filmé pendant plusieurs mois, permet aussi d'entendre la parole de leurs parents, de leurs familles, qui souhaitent qu'ils réussissent à l'école mais surtout « qu'ils soient heureux ».

Dans « Médée miracle » du réalisateur italien Tonino de Bernardi, Médée, mère infanticide de la tragédie grecque, est Irène (Isabelle Huppert), une étrangère qui vient de l'Est en lutte contre une société française du 21e siècle qui nie son identité dans ce qu'elle a de plus intime et cherche à la soumettre.

Son mari, Jason (Tommaso Ragno) la quitte, se remarie avec une Française et la sépare de ses enfants mais « Médée-Irène » ne les tue pas. La possibilité d'un tel meurtre reste un fantasme violent.

Le film est né d'une rencontre entre le réalisateur, figure du cinéma indépendant italien, et l'actrice française au festival de Locarno.

Tonino de Bernardi, dont plusieurs des films s'inspirent de la tragédie grecque, choisit de mettre en scène une femme qui parvient à transcender la violence dont elle est victime par la douceur et à s'extraire de la souffrance en se consacrant aux autres.

Elements clés de ce parcours, la musique et la poésie, sont récurrentes tout au long du film où Irène chante dans un cabaret. Les scènes, tournées à la périphérie de Paris, sont une alternance constante entre univers réel et imaginaire.

Le réalisateur choisit « Crazy love » (Marianne Faithfull, Nick Cave) comme fil rouge de la tragédie solitaire de l'héroïne, qui évolue entre trahison et abnégation à la recherche de son identité perdue.

Isabelle Huppert avait déjà interprété Médée dans la version d'Euripide mise en scène par Jacques Lassale au Festival d'Avignon en 2000.

mardi 29 mars 2011

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Van Dongen au musée d'Art
moderne de Paris: un fauve dans la
ville

Un tourbillon de femmes sensuelles, de couleurs éclatantes et de fêtes dans la Ville lumière: le musée d'Art moderne de Paris retrace les années phares de Kees Van Dongen, peintre fauve, de sensibilité anarchiste, devenu une figure des années folles et un mondain.

L'exposition présente jusqu'au 17 juillet quelque 110 peintures, dessins et céramiques, réalisées entre 1895 et 1931 par l'artiste d'origine néerlandaise (1877-1968). Elle a été conçue par le musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam en collaboration avec le musée parisien.

« Nous montrons la bonne période de l'artiste », lorsque sa vitalité et sa créativité sont au mieux, souligne Sophie Krebs, commissaire de l'exposition avec Anita Hopmans.

Par la suite, Van Dongen a eu tendance à se répéter, multipliant les portraits mondains. Il a aussi commis l'erreur de participer en 1941 au voyage des artistes français en Allemagne organisé par la propagande nazie. Cela lui vaudra une mise à l'écart et une perte d'estime durable après la fin de la deuxième guerre mondiale.

Né dans un faubourg de Rotterdam, en 1877, Van Dongen est issu de la petite bourgeoisie. Son père dirige une malterie. Le jeune homme fait des études artistiques et fréquente les milieux anarchistes.

Il croque les rues populaires de Rotterdam. Son grand tableau « La chimère pie », où un cheval blanc et noir s'élance, semble symboliser l'énergie créatrice du jeune homme ambitieux.

En 1897, l'artiste part pour Paris, qui l'attire « comme un phare ». Deux ans plus tard, il s'y fixe définitivement avec sa compagne Guus.

Installé à Montmartre, le jeune homme collabore à des journaux satiriques comme « L'Assiette au beurre ». Il fréquente Félix Fénéon, critique d'art et anarchiste, qui préface le catalogue de sa première exposition personnelle chez Ambroise Vollard en 1904.

En 1905, il participe au Salon d'automne où sont moqués les « fauvistes » comme Henri Matisse ou André Derain, aux couleurs tranchées et contrastées.

L'année suivante, Van Dongen s'installe au Bateau-Lavoir. Il a pour voisin Pablo Picasso avec lequel il va au cirque et dont il peint la compagne Fernande Olivier. Il travaille en lumière artificielle. Ses couleurs sont crues, stridentes.

Ses « Lutteuses » (1907-1908), prêtes à en découdre, font écho aux « Demoiselles d'Avignon » (1906-1907) de Picasso, souligne Mme Krebs.

Ses voyages en Espagne, au Maroc et en Egypte, renforcent la puissance de ses couleurs. Les accessoires orientalistes, comme les châles, apparaissent.

Viennent les années Montparnasse (1912-1916) où il côtoie l'élite parisienne. Il fait scandale au Salon d'automne de 1913 avec « Tableau », un grand nu de Guus qui déploie son châle et ne cache rien de ses poils pubiens. La police s'empresse de le décrocher. La notoriété du peintre en sort renforcée.

« Il y a une dimension érotique chez Van Dongen. Il montre des femmes libres, émancipées », dans cette période de guerre où elles ont dû remplacer les hommes partis au front, souligne Fabrice Hergott, directeur du musée d'Art moderne de la Ville de Paris.

Van Dongen, qui vit à présent avec Jasmy, directrice très chic d'une maison de couture, devient le portraitiste couru des célébrités, aristocrates ou vedettes. Lui-même organise des fêtes débridées dans son hôtel particulier près du Bois de Boulogne. Ce sont les années folles, il les appelle les « années cocktail ». Sa notoriété est au plus haut. Il prend la nationalité française.

« Van Dongen est fasciné par les beautiful people comme le sera plus tard Andy Warhol. Tous deux ont été jugés superficiels avant qu'on ne les redécouvre », relève M. Hergott.

Il y a vingt ans, le musée avait déjà consacré une vaste rétrospective à Van Dongen.

mardi 29 mars 2011

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Académie française : élection au
fauteuil de Claude Lévi-Strauss le
23 juin

L'Académie française a annoncé lundi avoir déclaré vacant le fauteuil de Claude Lévi-Strauss, décédé le 30 octobre 2009, et fixé l'élection de son successeur au 23 juin prochain.

L'illustre anthropologue occupait le fauteuil 29.

Auparavant, l'Académie française doit élire le 7 avril le successeur de l'écrivain Maurice Druon (fauteuil 30), mort en avril 2009.

Plusieurs personnalités se sont portées candidates au fauteuil de M. Druon, dont Jean-Louis Servan-Schreiber ou la romancière Violaine Vanoyeke.

Deux académiciens sont récemment décédés : l'hélléniste Jacqueline de Romilly, spécialiste de la civilisation et de la langue grecques, disparue le 19 décembre 2010 à l'âge de 97 ans, et l'écrivain Jean Dutourd, ancien résistant et féroce critique de l'air du temps, mort le 18 janvier 2011, à l'âge de 91 ans.

L'ancienne ministre et présidente du Parlement européen Simone Veil a été la dernière immortelle à avoir été intronisée sous la Coupole, le 18 mars 2010.

Depuis octobre 2010, une nouvelle disposition du règlement empêche toute élection d'une personnalité de plus de 75 ans.

mardi 29 mars 2011

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Le Musée égyptien récupère cinq
pièces volées

L'armée et la police ont récupéré cinq objets qui avaient été volés du Musée égyptien pendant la révolte ayant provoqué la chute du président Hosni Moubarak en février, a annoncé dimanche le Conseil des antiquités.

Quatre statuettes de bronze représentant des divinités de l'Egypte ancienne et un sceptre de bronze volés le 28 janvier ont été rendus au musée. Trente-sept objets volés au Musée égyptien sont toujours manquants.

« Quatre des pièces récupérées étaient en bon état », a indiqué le Conseil des antiquités égyptiennes dans un communiqué, mais une statuette représentant une divinité sous forme de bélier était en morceaux.

Plusieurs entrepôts à travers le pays, dont celui du Musée égyptien, avaient été cambriolés durant le soulèvement qui a duré du 25 janvier jusqu'au départ de M. Moubarak le 11 février.

Un responsable des antiquités en Egypte a indiqué la semaine dernière que 800 objets dérobés par des voleurs armés dans un entrepôt à l'est du Caire n'ont toujours pas été retrouvés.

Quelque 300 objets, dont des pièces des époques pharaonique, romaine et islamique, ont été récupérés, a-t-il dit.

Le Musée égyptien détient des pièces antiques inestimables, dont le trésor funéraire de Toutankhamon et de nombreuses momies royales. Environ 100.000 pièces sont exposées dans sa centaine de salles, 50.000 autres reposent dans les réserves.


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