______________________________ Théorie
musicale et historicité, un séminaire
parisien
Séminaire Théorie musicale
et Philosophie Théorie musicale et historicité
Mercredi 26 octobre 2011 Mercredi
23 novembre Mercredi 14 décembre
Paris 1 Panthéon-Sorbonne Équipe
Philosophies contemporaines EXeCO-CEPA
Organisé et animé par André
Charrak et Pauline Nadrigny, le mercredi de 18h30 à
20h30, Centre Michelet, Salle 101
Comme l'an passé, le séminaire procédera
sur deux fronts et vers un enjeu commun, alternant les
développements sur l'âge classique et sur
le XXe siècle. Les séances
de cette année se proposent d'étudier
la relation des théories musicales à l'historicité.
Il s'agira d'abord de l'historicité des théories,
qui ne se rendent souvent lisibles que par une généalogie
de leurs concepts et de leurs thèses directrices,
mais également de se rendre attentif au fait
que toute théorie musicale construit, de manière
souvent implicite, sa propre vision de l'histoire de
la musique, de ses formes, de sa perception...
Pauline Nadrigny Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ED
280. "Philosophies contemporaines" Centre
de Philosophie de l'Art line.nadrigny@malix.univ-paris1.fr
Mercredi 26 octobre 2011
______________________________ L'Orchestre de
Lille fait sa rentrée
Mercredi 26 octobre 2011
______________________________ Théâtre
de la ville : les intégristes catholiques
tenus à distance par la police
Le 20 octobre, la pièce du metteur en scène
italien Romeo Castellucci, « Sur le concept
du visage du fils de Dieu » avait été
interrompue par des extrémistes avant de
reprendre grâce à l'intervention de la
police, requise par le théâtre.
Vendredi, malgré un dispositif de sécurité
renforcé, deux intégristes avaient jeté
des oeufs et de l'huile de vidange sur le public qui
voulait entrer dans le théâtre.
La ville de Paris et le Théâtre ont
fait part de leur intention de déposer conjointement
plainte pour actes de dégradation du domaine
public et atteinte à la liberté de création
et d'expression artistique.
Chantant en latin, scandant « Non à
la christianophobie ! », une trentaine d'intégristes
ont été tenus à distance, mardi
soir, de l'entrée du théâtre.
A l'entrée du théâtre des vigiles
fouillaient les spectateurs pour s'assurer qu'ils n'entraient
pas avec des tracts ou avec des objets susceptibles
de perturber une nouvelle fois la représentation.
Manteaux et sacs devaient être laissés
au vestiaire.
Programmée jusqu'au 30 octobre, la pièce
met en scène un père et son fils affrontant
ensemble la déchéance de l'âge,
sous le regard d'un portrait géant du Christ
peint par Antonello de Messine.
« Je leur pardonne car ils ne savent pas
ce qu'ils font », a réagi Romeo Castellucci
à propos des perturbateurs. L'Eglise catholique
n'avait pas réagi mardi soir.
Mercredi 26 octobre 2011
______________________________ Nouveautés
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