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  Vendredi 7 octobre 2011
Opéra Nice Côte d'Azur

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Voix humaine et Château
de Barbe-Bleue

Vendredi 7 octobre à 20 heures
Dimanche 9 octobre à 15 heures
Mardi 11 octobre à 20 heures (soirée réservée aux étudiants à 5 €)

La voix humaine de Francis Poulenc
Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartók

La voix humaine de Francis Poulenc, tragédie lyrique en un acte sur un livret de Jean Cocteau, créée à l'Opéra-comique de Paris le 6 février 1959, avec dans le rôle de la voix humaine Denise Duval, la chanteuse fétiche du compositeur.

    Barbara Haveman dans le rôle de la voix humaine.

La partition de La voix humaine, troisième et dernier opéra de Francis Poulenc, est précédée de deux pages d'instructions. La première est rédigée par Jean Cocteau, créateur de la mise en scène de la première représentation, donne des directives générales sur le décor et l'action. La seconde du compositeur, précise que le rôle unique doit être « tenu par une femme jeune et élégante ».

La voix humaine est une pièce de théâtre de Jean Cocteau, adaptée sous forme de tragédie lyrique par Francis Poulenc en 1958. Le thème est celui d'une femme abandonnée par son amant.

Elle a tenté de se suicider après qu'il ait annoncé son projet de se marier le lendemain et l'on peut supposer qu'il s'agit de leur dernière conversation téléphonique.

Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartók, Opéra en un acte sur un livret de Béla Balasz, créée à Budapest le 24 mai 1918.

    Direction musicale Philippe Auguin
    Mise en scène, costumes René Koering
    Assistante mise en scène Irène Fridricci
    Décors Virgile Koering
    Lumières Patrick Méeus
    Barbe-Bleue Istvan Kovacs
    Judith Andrea Melath
    Le barde Louis Beyler

Le conte de Barbe-Bleue a été une source d'inspiration pour de nombreux écrivains, cinéastes et musiciens parmi lesquels Béla Bartók qui y voyait un conflit entre l'homme, créatif et rationnel et la femme, émotive et vulnérable.

Le récitant annonce le conte. Judith a tout quitté pour suivre Barbe-Bleue. Ensemble, ils pénètrent dans le château sombre, froid et humide. Judith promet d'y faire entrer le soleil.

Apercevant sept portes closes, elle supplie Barbe-Bleue de lui donner les clefs. Elle ouvre la première porte et aperçoit le sang, les chaînes, les pieux acérés d'une salle de torture. Derrière la deuxième porte, elle découvre un arsenal. La troisième lui révèle pierreries, couronnes et riches vêtements, le trésor ensanglanté de Barbe-Bleue. Judith ouvre la quatrième porte et aperçoit un jardin parfumé ; la suivante est celle de l'empire de Barbe-Bleue, « prairies de soie, forêts de velours ». Mais le sang recouvre tout. Barbe-Bleue offre sa fortune à Judith, mais elle le supplie d'ouvrir les deux dernières portes. Derrières la sixième s'étend un lac de larmes. Barbe-Bleue invite Judith à ne plus poser de questions. Mais elle l'interroge encore, réclame la septième clef et découvre les anciennes épouses toutes couronnées. Barbe-Bleue tombe aux pieds de ces femmes qu'il a aimées et auxquelles il a tout donné. Il pose une couronne sur la tête de Judith qui suit les épouses. La septième porte se referme sur elle. Barbe-Bleue reste seul.

 Vendredi 7 octobre 2011, 21h00

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Shemekia Copeland, au Centre
culturel Paul Bailliart de Massy

Accueillir Shemekia Copeland, c'est recevoir l'une des dernières véritables divas du Blues. Tous les amateurs de Koko Taylor, (en plus jeune), ou de Etta James (en moins soul) savent qu'elle est d'abord la fille du génial guitariste texan Johnny Copeland, et que sa carrière doit remplir de fierté son père confortablement installé aujourd'hui au paradis des bluesmen. Grâce à son paternel, Shemekia est sur scène dans les clubs de Harlem dès l'âge de 8 ans, puis sort son premier disque à 19 ans, sur le fameux label Alligator. Sa carrière lui fait rencontrer les Stones, B.B. King, Taj Mahal, Dr John, John Mayer et tant d'autres. Depuis, elle brille dans toutes les salles de part et d'autre de l'Atlantique, et participe aux plus grands festivals. Son dernier album Never Going Back a montré qu'elle était loin d'avoir dit son dernier mot…

Le super guitariste Arthur Neilson, qui l'avait brillamment accompagnée dans son travail incendiaire est annoncé présent pour cette tournée, à la tête d'un groupe de fidèles, prêts à tout pour Miss Copeland.

En première partie nina van horn En ouverture de soirée, Nina Van Horn : non pas une Reine, mais plutôt la présidente de la République Blues de France et d'ailleurs… Nina ne cesse de chanter à travers le monde le répertoire des blueswomen les plus fameuses telles Memphis Minnie, Ma Rainey, Odetta, Bessie Smith ou encore Billie Holida

Paul B
6 allée de Québec, 91300 Massy
Tél 01 69 75 12 80
Fax 01 69 20 82 08
contact@paul-b.fr
https://www.paul-b.fr

 Vendredi 7 octobre 2011, 21h30
Château de Laborie

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Shaï Maestro au château de Laborie

Shaï Maestro, piano
Jorge Roeder, contrebasse
Ziv Ravitz, batterie

Première partie : Alexis Colosio (piano)


Shaï Maestro (© DR)

Shaï Maestro, pianiste d'Avishaï Cohen de 2006 à juillet 2011 sur scène et en studio, a déjà fait à 24 ans plusieurs fois le tour du monde et laissé son toucher sur les pianos des grands festivals internationaux et des plus grandes salles. Nombreux sont les spécialistes et les passionnés qui ont repéré ce jeune musicien pétri de talent, qui patiemment attendit son heure avant de se lancer dans une carrière de pianiste Leader. Chose est faite depuis ce mois de septembre ; désormais compositeur, le voici reparti à la conquête de « son » monde.

Jeune pianiste, étudiant résidant à Limoges, passionné de musique, Alexis Colosio s'est fait remarquer à plusieurs reprises sur la scène régionale. Membre actif de l'Association L'Air Libre, il cherche à se confronter, à renforcer son talent prometteur… L'occasion est trop belle !

                                                                                        

Fondation La Borie en Limousin - 87110 Solignac, 05 55 31 84 84. https://www.fondationlaborie.com

 Vendredi 7 octobre 2011

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Buenos Aires, ville imaginaire
ars nova ensemble instrumental

Vendredi 7 & samedi 8 octobre à 20h00
Salle André Obey, L'Hippodrome scène nationale de Douai

Chant, Isa Lagarde
Violon, Catherine Jacquet
Violoncelle, Isabelle Veyrier
Accordéon, Pascal Contet
Sous le regard de Gabriel Sivak, compositeur

Ce concert propose un voyage musical passionnant au cœur de l'Argentine, à la découverte du tango ; des tangos traditionnels aux tangos d'aujourd'hui en passant par les tangos chantés et la musique de Piazzolla, quatre musiciens d'Ars Nova révèlent toute l'émotion et la magie de cette musique.


Isa Lagarde 

8 € à 15 €. Renseignements et résevations, 03 27 99 66 66. Place du Barlet, 59500 Douai, du mardi au samedi de 14 h 00 à 18 h 45. https://www.hippodromedouai.com

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Le programme 2011-2012 du
séminaire interarts de Paris
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 Jeudi 9-12 heures, Centre Panthéon, salle 216. Entrée par le 12 place du Panthéon, Paris 5e.

L'ironie

20 octobre

Marc JIMENEZ (Panthéon-Sorbonne) : L'art de l'ironie.

Isabelle Rieusset-LemariÉ (Panthéon-Sorbonne) : Du « witz » à l'hypermodernité : le difficile réenchantement de l'ironie ?

Présidente de séance : Murielle Gagnebin (Sorbonne Nouvelle)

24 novembre

David Lengyel (Sorbonne Nouvelle et INALCO) : Voyez comme on danse : l'ironie de Satantango (Béla Tarr).

Danièle Pistone (Paris-Sorbonne) : Aux frontières de l'ironie. Réflexions sur une ambiguïté artistique.

Présidente de séance : Murielle Gagnebin (Sorbonne Nouvelle)

26 janvier

Danielle Cohen-LEvinas (Paris-Sorbonne) : Nietzsche : entre le tragique et le rire, l'ironie.

Pascal Terrien (UCO, Angers) : L'ironie au service de l'opéra.

Présidente de séance : Danièle Pistone (Paris-Sorbonne)

09 février

Sébastien Rongier (Panthéon-Sorbonne) : L'ironie, pour quoi faire ?

Stéphane Dumas (Panthéon-Sorbonne) : Danse macabre et  rayons X. L'ironie entre tendresse et désespoir

Président de séance : Marc Jimenez (Panthéon-Sorbonne)

08 mars

François Soulages (Paris VIII) : L'ironie socratique et l'art contemporain

Jean-Yves Bosseur (CNRS) : L'ironie dans la musique contemporaine                             

Président de séance : François Soulages (Paris VIII)

22 mars

Valérie Arrault (Montpellier III) : Il ne reste plus qu'à être ironique.

Karine Pinel (Montpellier III) : L'ironie comme forme et valeur contemporaine de la performance en rue.

Président de séance : Marc Jimenez (Panthéon-Sorbonne)

12 avril

Claude AMEY (Paris VIII) : Que nie l'ironie ?

Emmanuelle JACQUES (Montpellier III) : Entre parodie et ironie : le cas de « Rayman contre les lapins crétins » dans les jeux vidéo

Président de séance : Claude Amey (Paris VIII)

24 mai

Michel Fischer (Paris-Sorbonne) : Les leçons de l'ironie ravélienne.

Jean-Baptiste Chantoiseau (Sorbonne Nouvelle) : L'ironie dans la cinématographie  de Bresson.

Présidente de séance : Danièle Pistone (Paris-Sorbonne)

Comité scientifique : Panthéon-Sorbonne : Éliane Chiron, Marc Jimenez ; Sorbonne Nouvelle : Murielle Gagnebin, Jean-Louis Leutrat V ; Paris-Sorbonne : Georges Molinié, Danièle Pistone ; Paris VIII : Suzanne Liandrat-Guigues, François Soulages, Philippe Tancelin

Les actes de ces séminaires sont publiés dans la collection « L'Université des arts », éditions Klincksieck-Les Belles Lettres,  36 rue de Fleurus, 75006 Paris (Directeur de la publication : Marc Jimenez)

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Le philharmonique de Nice en
novembre 2011
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Les concerts philharmoniques à l'Opéra et à l'Acropolis, le Festival Manca, la participation à la septième édition de C'est pas classique, viennent enrichir l'offre que la phalange niçoise propose à son public.

Un programme romantique sera à l'affiche du concert symphonique du 4 et 5 novembre prochains à l'Opéra de Nice avec deux symphonies qui portent le même numéro, le 4. Toutes les deux font partie des plus belles pages du romantisme musical européen, allemand pour Félix Mendelssohn et russe pour Piotr Ilitch Tchaïkovsky.

Saison après saison, l'Orchestre Philharmonique de Nice confirme son implication dans le cadre du Festival Manca où un large répertoire d'oeuvres, avec ou sans électronique, y sont présentées. Une occasion de rencontrer les acteurs de la musique contemporaine comme le chef d'orchestre Pierre-André Valade, spécialiste de ce répertoire qui sera à la tête de la phalange niçoise.

Sous la baguette de son Directeur musical Philippe Auguin, l'Orchestre Philharmonique de Nice proposera deux concerts interactifs, le 24 novembre à 20h et à 21h30. Un tirage au sort aura lieu pour désigner, parmi les vainqueurs du quiz « Questions pour C'est Pas Classique », celles et ceux qui se verront proposer de diriger l'Orchestre Philharmonique de Nice pendant quelques mesures de l'Ouverture des Noces de Figaro, après un rapide cours de direction d'orchestre donné par Philippe Auguin.

L'Orchestre se produira, comme chaque année à la septième édition da la manifestation C'est pas classique pour un concert à la Salle Apollon le 26 novembre à 20h30 avec le Choeur de l'Opéra dans un programme Berlioz. Des extraits de La damnation de Faust et des Troyens seront programmés avec la participation exceptionnelle de la soprano américaine Barbara Hendricks. Le lendemain, un programme très festif tout français avec le Boléro de Ravel, l'Arlésienne de Berlioz et La gaieté parisienne d'Offenbach clôturera ainsi l'édition 2011 de C'est pas classique.

Tarifs : de 5 € à 28 €. Concerts dans le cadre de C'est pas classique entrée libre dans la limite des places disponibles. Opéra Nice Côte d'Azur, 4-6 rue Saint-François de Paule 06300 Nice. 04.92.17.40.79.

          


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