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jeudi 26 mars 2015

 

Postmodernity's Musical Pasts : Rediscoveries and Revivals after 1945

Call for Papers

26-27 mars 2015, New York

The Barry S. Brook Center for Music Research and Documentation at The City University of New York, The Graduate Center announces an international conference : " Postmodernity's Musical Pasts: Rediscoveries and Revivals after 1945', to be held at the City University of New York, The Graduate Center, 26-27 March 2015.

In the longue durée of music history, rediscovery, recovery, revival, and renewal were central in the creation of repertoires and performance practices. With the end of the Second World War musical dealings with pastness assumed new turns, not only because of the different historicity the postwar era has faced, but also because of the rupture of 1945. We are inviting papers based on new research that address the multi-faceted topics related to rediscoveries and revivals while drawing upon the methodologies of ethnomusicology, historical musicology, music theory, cultural studies, and anthropology. We favor approaches that consider the plurality of musical responses to the postwar era and thus avoid clichés that give way to one-dimensional interpretations of a complex era. We encourage presentations on a variety of topics from the early music revival in the U.S. and Europe to the folk revival movement in the post-Soviet era, from compositions responding to revivalist notions to currents in the discipline of musicology. We hope to inspire broader reflections on the following themes:

· Responses to Modernity
· Memory
· Nostalgia
· Utopia vs. Dystopia

Please submit a title with an abstract of 300 words maximum, and include contact information (address, phone, and e-mail). Proposals may be submitted before May 31, 2014 to:

Tina Frühauf
The Barry S. Brook Center for Music Research and Documentation
The City University of New York, The Graduate Center
365 Fifth Avenue
New York, NY 10016-4309
TFruhauf at gc.cuny.edu

Further information will be posted at
https://brookcenter.gc.cuny.edu/

Crossing Borders-Blurring Borders ; Annual Conference of the Austrian Studies Association

Call for Papers

26-29 mars 2015, Dearborn (US:MI)

University of Michigan-Dearborn, Dearborn, Michigan

Conference organizer: Jacqueline Vansant (jvansant at umich.edu)
Submit full abstracts (English or German) of 400 words maximum, with a title and a short (200 word) biography suitable for an introduction to: 2015asaconference at gmail.com by September 15, 2014.

In her novel Engel des Vergessens Maja Haderlap writes of crossing the border from Carinthia into Slovenia,“Das Überschreiten der Grenze ist hier kein natürlicher Vorgang, es ist ein politischer Akt” (220). In addition to being a political act, a border crossing or blurring can be an aesthetic act, a collaborative act, a historical act, or a combination of the above. The conference topic is conceived to elicit submissions reflecting the widest variety of disciplinary as well as multi- and interdisciplinary perspectives. Papers may address mixed genres, artistic collaborations across borders, cultural transfers in Austrian Studies and between Austrian Studies and other area studies. They can also focus on literal border crossings involved in experiences of exile, property restitution, and travel literature. Talks on crossing or blurring borders of gender are also welcome. The Conference Committee particularly looks forward to receiving proposals on the work of the conference's guest speakers, author Maja Haderlap, artist Ursula Hübner, and actor/director Karl Markovics.

Some suggested topics:

· Crossing and/or blurring borders in genres

· Crossing and/or blurring borders in gender (Studies)

· Crossing and/or blurring borders in Austrian Studies

· Linguistic borders and border crossings in Austria

· Artistic ventures that involve a metaphorical or real border crossing

· Literal border crossings (exile, property restitution, collaborations)

· Cultural transfers and perceptions of the other

· Austria's place in international movements

· Scholarly collaborations and debates across disciplines and national borders

· Crossing of borders in music, art, film, scholarship that involves an Austrian + connection

La création comme résistance volet 2 : Où la création résiste-t-elle ?

Appel à communications

26, 27 et 28 mars 2015, Paris

Colloque international Université Sorbonne-Nouvelle-Paris 3

L'effervescence artistique qui a accompagné les récents mouvements sociaux un peu partout dans le monde invite à penser que la création est en avance pour comprendre nos situations contemporaines. Cette hypothèse a donné son impulsion au colloque « La création comme résistance » coorganisé par le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ) et le Centre d'études québécoises (CEQ) de La Sorbonne Nouvelle – Paris 3, dont le premier volet s'est tenu à Montréal en mars 2014. Chercheur.e.s de tous les horizons disciplinaires, artistes et artivistes, étudiant.e.s, universitaires et autres citoyens se sont réunis pour envisager des formes variées, de la chanson à la sculpture, du graphisme à la peinture et à la poésie, de la performance au cinéma. De l'œuvre d'art instituée à l'artivisme militant en passant par la recherche innovante, l'extension de la notion de création est large. Les perspectives adoptées, proches de la recherche-action et de la recherche-création, ont mis la pensée aux prises avec les enjeux contemporains. Les horizons ont été multiples : Printemps érable, arabes et vert d'Iran se sont répondu par-delà la distance, éclairant différentes facettes d'un même prisme.

La question de la création comme résistance « en temps de crise sociale » (Montagne rouge) ou « en des temps dangereux » (Centre des arts actuels Skol) nous a conduit à formuler la question de l'après : que reste-t-il, une fois la fièvre retombée ? Comment « continuer le mouvement » ([MoviMento]) ? Quelles retombées auront les pratiques résistantes dans la suite du travail artistique de chacun ? Comment concevoir un colloque sans monumentaliser des gestes de résistance spontanée, sans les muséifier ? Désormais envisagée avec davantage de distance, la question de l'après appelle celle du « où ». C'est donc la question des lieux que nous posons aux chercheur.e.s, artistes, militant.e.s et citoyen.ne.s pour le second volet du colloque international « La création comme résistance ».

Cette question peut se décliner en lieux matériels et localisables ou abstraits et inventés, sans limitation géographique. Les interventions pourront porter aussi bien sur les épicentres créateurs en période de crise que sur les points aveugles où la création, peut-être, résiste dans le sens le plus fort du terme : les artistes créent aussi dans les temps morts, obstinément, loin de l'effervescence médiatique de l'événement. Les lieux envisagés pourront être aussi bien hyper-contemporains qu'inscrits dans une mémoire des lieux disparus, effacés, résorbés dans les cartographies oubliées. La question esthétique rejoindra les débats d'urbanisme en cours : tandis que les centres gagnent et « investissent » les espaces périphériques, que reste-t-il des espaces marginaux ? Le gain de légitimité va-t-il nécessairement de pair avec l'érosion des espaces de liberté ? Comment se trame la récupération des œuvres et de leurs espaces de production et de diffusion ? La dérive situationniste générait des écarts dans l'ordre urbain – qu'en est-il des interstices et des friches d'aujourd'hui ? Comment négocier le choix d'être au cœur du mouvement ou de prendre du recul ou, en d'autres termes, que faire de l'opposition entre vouloir « une chambre à soi » et « être dans la rue », qui recoupe celle de l'individuel et du collectif ? Est-il souhaitable de s'inscrire dans l'institution (et les lieux de pouvoirs) de l'intérieur ou préférable de ne pas y mettre les pieds ? En quoi l'inscription dans un lieu (une galerie, un musée, la rue, un laboratoire) participe-t-elle de l'identification d'une création comme « artistique » ? Comment se négocie la frontière entre art et activisme (ou militantisme ou encore engagement) ? Qu'en est-il de la tension entre périphéries et capitales ? Quels rapports, enfin, entre lieux concrets, imaginaires, virtuels ou hybrides générés par les créations mêmes ?

Fort de l'expérience montréalaise, ce second volet, porté à nouveau par le CRILCQ et le CEQ, auxquels se joint le CERLIS (Centre de Recherche sur les Liens Sociaux), souhaite reconduire l'expérimentation sur les formats de prise de parole et les dispositifs d'intervention. Nous vous demandons de bien vouloir sous-titrer votre proposition en indiquant un format, par exemple (liste non exhaustive) : communication scientifique (20min) ; intervention en binôme chercheur.e / chercheur ; intervention en binôme chercheur.e / artistes ; projection de film ou vidéo suivie d'une animation de débat ; atelier d'écriture ; atelier web/réseaux sociaux ; concert ; exposition – dans ce dernier cas, merci d'indiquer avec précisions vos besoins en terme d'espace et d'installation. Merci de bien vouloir préciser si vous accepteriez, le cas échant, d'intervenir dans une table ronde.

Les propositions, à envoyer au plus tard le 3 octobre 2014, comprendront : un titre, un sous-titre indiquant le format d'intervention souhaité, un résumé de 300 mots, votre nom et institution d'appartenance, une notice biobibliographique (200 mots maximum), ainsi que 3 mots clefs. Les propositions devront être envoyées en fichier Word à martine.emmanuelle.lapointe@umontreal.ca, myriam.suchet@univ-paris3.fr, cecile.prevost-thomas@univ-paris3.fr et à bizzoni.lise@uqam.ca. Le comité scientifique répondra au 3 novembre 2014.

Comité d'organisation : Lise BIZZONI (Université du Québec à Montréal, Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises – CRILCQ) ;   Xavier GARNIER (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, Département de littératures et linguistique, Centre d'études québécoises – CÉQ et Centre de Recherches en Études Féminines & Genres / Littératures Francophones – CREF&G / LF, UMR Thalim) ; Stéphanie GRENIER, bibliothécaire responsable du fonds Gaston-Miron Michel LACROIX (Université du Québec à Montréal, Département d'études littéraires, Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises – CRILCQ)  ; Martine-Emmanuelle LAPOINTE (Université de Montréal, Département des littératures de langue française, Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises – CRILCQ)  ; Cécile PREVOST-THOMAS (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, Département de médiation culturelle, Centre de recherches sur les liens sociaux – CERLIS, UMR 8070)  ; Myriam SUCHET (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, Département de littérature et linguistique, Centre d'études québécoises –CÉQ, UMR Thalim)

Comité scientifique : Lotte ARNDT (chercheure indépendante, ESACM, « Coopérative de recherche », Clermont-Ferrand) ; Maude BONENFANT (Université du Québec à Montréal, Département de communication sociale et publique, Homo Ludens et GRICIS – Centre de recherche communication, information, société)  ; François DUMONT (Université Laval, Département des littératures, Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises – CRILCQ)  ; Sébastien GENVO (Université de Lorraine, Département des sciences de l'information et de la communication, Centre de recherche sur les médiations – CREM, EA 3476)  ; Anthony GLINOER (Université de Sherbrooke, Département des lettres et communications, Chaire de recherche du Canada sur l'histoire de l'édition et la sociologie du littéraire)  ; Bruno PEQUIGNOT (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, Directeur de l'U.F.R. Arts et médias, Département de médiation culturelle, Centre de recherches sur les liens sociaux – CERLIS, UMR 8070) SUSPENDED SPACES  ; Françoise Parfait et Eric Vallette pour le collectif international d'artistes et de chercheur.e.s. TARMAC -scène francophone international

Ensemble De Caelis « Gemme » : œuvres de Hildegard Von Bingen et de Zad Moultaka

Gemme, Œuvres de Hildegard von Bingen et de Zad Moultaka. Ensemble vocal De Caelis (Laurence Brisset). L'Empreinte Digitale 2015 (ED13241).

Ensemble de six chants a cappella de Hildegard Von Bingen augmenté de trois coécrits et quatre écrits par Zad Moultaka.

Par Alain Lambert ——

O Gemme Splendide chante Hildegard Von Bingen vers le milieu du XIIe siècle, en pleine période romane et de croisades, dans son monastère rhénan. La gemme glorifiée, c'est Marie dont l'amour spirituel a donné naissance au fils de dieu, et en l'incarnant, nous a sauvé de la faute originelle. Ave Maria est un salut à Marie mais aussi par l'anagramme et palindrome ave/eva la reconnaissance que Marie est l'exact renversement d'Eve, comme un retour sur le temps perdu, l'effacement de la faute, le retour à l'Éden...

[+] Lire la suite ...

Pierre boulez qui a 90 ans aujourd'hui est particulièrement fêté en Allemagne

 

Dernier monstre sacré vivant de la musique du xxe siècle, Pierre Boulez est particulièrement fêté à l'occasion de ses 90 ans.

Il est élevé au rang de citoyen d'honneur de Baden-Baden, où voici bien des années il a élu domicile.

Au début des années 1950, il était un des animateurs de l'académie musicale de Donaueschingen et de l'académie d'été de Darmstädt, et fut très actif à la Südwestfunk (radio-télévision du Sud-Ouest) à Baden-Baden.

Chef de renommé mondiale, il dirigé en 1976, dans une mise en scène de Patrice Chéreau, le Ring des Nibelungen, qui passe pour la plus importante production du siècle à Bayreuth.

L'opéra national de Berlin donnera du 27 mars au 6 avril, avec trois orchestres différents sous la direction de Daniel Barenboim, une rétrospective de l'œuvre de Pierre Boulez.

Lettre ouverte des producteurs aux auditeurs : cette grève est pour vous

Lettre ouverte aux auditeurs de Radio France

Nous sommes les voix qui, chaque jour, s'adressent à vos oreilles. A travers nos émissions, nos interviews, chroniques, reportages, documentaires, nous tentons au mieux de faire vivre les missions de la radio publique : « informer, éduquer, divertir ».

Nous, équipes de production des émissions de Radio France (animateurs, reporters, collaborateurs, chroniqueurs…) partageons les inquiétudes de l'ensemble des personnels de Radio France mobilisés depuis le 19 mars.

Ce mouvement de grève a pour objet de défendre les radios de service public, et non des intérêts particuliers ou corporatistes. L'engagement budgétaire non tenu par l'Etat entraine aujourd'hui un déficit grave qui menace l'existence de la radio telle que vous l'aimez et que vous la financez à travers la redevance audiovisuelle.

Nous sommes consternés de voir les travaux de rénovation de la Maison de la Radio si mal encadrés et si mal gérés, occasionnant le surcoût exorbitant que vous connaissez. Vos impôts, vos programmes et vos oreilles, doivent-ils payer pour cette incompétence?

Le service public n'a ni la vocation, ni la possibilité d'être rentable.

Or, cela semble être aujourd'hui la logique insidieuse de la Présidence de Radio France et au-delà, celle de sa tutelle, le Ministère de la culture. Et l'hypocrisie jusqu'à présent de la tutelle (ministre de la Culture) semble accréditer une telle logique.

Conscients du contexte de crise économique et des efforts nécessaires, nous soulignons que de lourds sacrifices ont déjà été réalisés (en témoigne la baisse de 87,5 millions d'euros du budget entre 2010 et 2014). Une idée fausse voudrait que Radio France soit un lieu de gabegie, de privilèges et d'intérêts corporatistes. Savez vous pourtant que la majorité des voix que vous entendez quotidiennement travaille dans le cadre de contrats saisonniers et précaires ?

Comment continuer à produire de la radio de qualité quand les moyens matériels (studios, salles de montage, camions-régie…) sont constamment rognés ? Comment faire entendre les réalités d'un pays quand la plupart des émissions ne peuvent plus, faute de budget, envoyer de reporters au-delà du périphérique parisien?

Comment conserver notre indépendance - celle à laquelle vous avez droit - quand se multiplient sur les antennes des partenariats ou des publicités plus ou moins déguisées ? Si l'on suit la logique actuelle, la radio de demain ce sera : moins de reportages, moins de documentaires, moins de débats vraiment critiques, moins de concerts… Bref, une radio standardisée, calquée sur l'actualité ou sur les goûts majoritaires, une radio au rabais.

Nous aimons passionnément nos métiers et, au nom de la confiance que vous nous témoignez, nous nous efforçons de travailler avec le plus de sérieux et d'esprit de responsabilité. Toutefois, dans ce climat de travail en constante détérioration, nous estimons de notre devoir de vous informer des risques qui pèsent sur la radio publique française.

Les sociétés de producteurs de France Culture, France Inter et France Musique.

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