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samedi 21 mars 2015

 

Facing the Music of Medieval England

21-22 mars 2015, Huddersfield

Study Day: University of Huddersfield
Saturday 21 – Sunday 22 March 2015

Recent work on medieval England and its music has focused on a wide range of issues, from editing fragmentary sources, to the consideration of historiographical questions. The publication of facsimiles and editions of medieval English music has made this repertoire significantly more readily available than a decade ago, yet discussions of the music of the period (its language, form, genres, style, textuo-musical relationships, and broader questions of meaning) remain underexplored.

Facing the Music of Medieval England invites participants to engage with the musical repertoire as composed, cultivated and disseminated in England before c.1500. A keynote lecture, by Dr Margaret Bent, will be complemented by paper sessions that focus on thirteenth-, fourteenth- and fifteenth-century music from a variety of analytical standpoints. A session focused on reconstructing medieval English music will also allow discussion of the notion of musical text, notations, source transmission and style.

The close focus on musical texts, editions, and issues such as reconstruction will benefit from the provision of interactive materials available to participants on iPads, to be provided to participants for use in sessions, fully networked and pre-loaded with relevant musical software, web resources and conference materials.

A publication opportunity is available for selected contributions, which will form a special issue of the journal Early Music, subject to the standard peer review process.

The organisers wish to extend a particular invitation to current research students, early career scholars, and independent scholars. The registration fee will be kept to a minimum to encourage wide participation from all sectors of the scholarly community, and is expected to be no more than £15.

Titles and abstracts for 20-minute papers to l.m.colton at hud.ac.uk by 10 January 2015.

Conference organisers: Dr Lisa Colton & Dr James Cook

(Re-)Covering Musics

Call For Papers
21 mars 2015, Ottawa

Carleton University, Ottawa, Ontario, Canada
21 March 2015
CFP Deadline: 25 Feb 2015

Carleton University's Music and Culture Graduate Student Society invites proposals for its fifth annual conference, “(Re-)Covering Musics.” We are pleased to announce that this year's keynote speaker is Kip Pegley from Queen's University. Dr. Pegley's current research explores the use of music in the treatment of post-traumatic stress disorder for veterans. Her paper is titled “Music, Canadian Soldiers, Traumatized Lives.”

This colloquium focuses on exploring the relationship between music and recovery. Music has been associated with providing a sense of community and serving as a comforting outlet for listeners. Many cultural groups perform music in traditional healing practices, while others use music as an alternative to mainstream treatments or for self-healing. In addition, music can be reinterpreted and altered in production and performance. Paper topics may query: how and why is music used in the process of recovering? What is the purpose and appeal of musical reinterpretations or cover versions to musicians and listeners?

In addition to papers related to the conference theme, we welcome and strongly encourage interdisciplinary papers on, but not limited to, the following topics:

Music technologies
Hip hop and rock music studies
Sound studies
Political ecology and music
Music and place
Globalization, transnationalism, and diaspora
Music and identity, including fandom and religion
The sociology of music
Music and labour
Music industries
Music and other forms of media

Paper presentations are 20 minutes followed by a 10-minute discussion period. Those interested should submit a title and 250 word abstract by 16 February 2015. Please include the following in the body of the email: your name, institution, technical requirements, and contact information. Proposals will be reviewed anonymously and results will be announced no later than 25 February 2015. Please send submissions or questions to: mcgss.carleton -at- gmail.com.

Limoges, danseurs virés et enfumage

Les huit danseuses et danseurs de la troupe de l'Opéra de Limoges viennent d'apprendre que leur contrat ne sera pas renouvelé.

Cela s'inscrit évidemment dans la grande opération de destruction du service public et des liens sociaux assurés pour la plus grande part par le travail, mais aussi par les activités culturelles, dans le but d'assurer de bonnes rémunérations financières à une poignée de spectateurs qui sont aujourd'hui plus riches que les nations. Cela passe par la transformation des administrations publiques en prestataires de services (hôpitaux, universités, écoles, théâtres, radio, télévision).

Dans la campagne de communication, supervisée par la ville de Limoges, la direction de l'Opéra et les journalistes serviles, il n'y a pas un mot sur ce que vont devenir les danseurs, pas un mot sur l'avis du public.

Il s'agirait d'une décision murement réfléchie depuis des années, en fait assez anodine. Non, ce n'est pas pour faire des économies, car les 350 000 euros que « coûte » la troupe de danse seront alloués à l'orchestre et au chœur qui en ont besoin. Mais pourquoi ne pas doter convenablement l'orchestre et le choeur sans licencier les danseurs ? En réalité pour faire des économies et dresser les uns contre les autres, pour priver les danseurs de la solidarité des musiciens et des choristes.

C'est déjà là une tactique bien répugnante. Mais on dit aussi que dans le cadre de la grande région, Limoges ne fera pas le poids avec Bordeaux (230 kilomètres !), Biarritz (420 kilomètres !), La Rochelle (250 kilomètres !). Que veut dire aussi « faire le poids » ? Dans le fond, autant supprimer Tout l'Opéra de Limoges, orchestre et chœur !

Que sont donc ces arguments ? Des répugnants qui nous prennent pour des imbéciles ? On dit aussi que la danse ne disparaîtra pas de la scène limougeaude, car on fera appel à des troupes extérieures comme celle de Benjamin Millepied. Mais là, on ne donne pas de chiffre, parce que les 350 000 euros seront pulvérisés.

C'est certainement une mauvaise décision de la municipalité et du directeur asservi. Mais la manière dont le plat est présenté, la servilité des journalistes,qui gobent et font gober inepties comme des œufs de Pâque, qui n'ont pas même été au-devant des danseurs ou des opposants à cette décision est à gerber.

On peut souhaiter que dans une prochaine République, la 6e, les directions des institutions publiques ne soient plus le fait des princes, mais d'une collégialité en partie élue par, et en partie tirée au sort parmi les usagers et les employés.

Maintentant, on peut visionner le reportage aux bottes de France 3 Limousin.

Le Deutsche Oper de Berlin projette un nouveau « Ring »

Le Deutsche Oper de Berlin va abandonner la légendaire mise en scène de la « Tétralogie » (Le Ring) de Götz Friedrichs pour une nouvelle production signée Stefan Herheim.

La mise en scène de Götz Friedrichs, révélée en 1984, sera donnée une dernière fois en avril 2017. La « Tétralogie » de Stefan Herheim devrait voir la scène en 2020.

Rheingold, dans la mise en scène de Götz Friedrichs et les décors de Peter Sycora a été donné pour la première fois au Deutsche Oper de Berlin le 14 septembre 1984. Walküre a été créée le 6 octobre 1984 sous la direction musicale de Jesús López Cobos, avec Peter Hofmann, Luloa Varady, Simon Estes, Catarina Ligenza, Diane Curry et Matis Salmien. Siegfried a vu le jour le 24 mars 1985, le Götterdämmerung est donné une année plus tard le 6 octobre 1985. René Kollo, dans le rôle de Siegfried y fit sensation.

René Kollo dans le rôle de SiegfriedRené Kollo dans le rôle de Siegfried. Tétralogie du Deutsche Oper de Berlin (Götz Friedrichs).

 

Peter Hofmann dans la Tétralogie du Deutsche Oper de Berlin (Götz Friedrichs)

Tétralogie du Deutsche Oper de Berlin, « le tunnel du temps », décor de Peter Sycora

 

 

La scène punk en France (1976-2016) : historicité et généalogie

27 juin 2015, Paris

Deuxième journée d'étude du projet PIND (Punk is not dead. Une histoire de la scène punk en France 1976-2016) / La scène punk en France (1976-2016) : historicité et généalogie, qui se tiendra le 27 juin 2015 au centre Barbara Fleury Goutte d'Or, 75018 Paris 18.

Cette deuxième journée d'étude s'inscrit dans le cadre du projet de recherche PIND (Punk is not dead. Une histoire de la scène punk en France, 1976-2016), soutenu par l'UMR THALIM (CNRS/ENS/Paris 3). Elle se propose d'interroger les caractéristiques et les spécificités des générations successives de la scène punk en France, entendues comme différents segments qui renouvellement le mouvement en tant que paradigme musical, esthétique et artistique, tout en se référant à la rupture originelle et fondatrice de 1976. Elle doit permettre de rendre intelligibles ces générations dans leurs modes de cohérences musicales et esthétiques en questionnant les normes d'édification de la scène punk en France et en sondant son inscription dans des formes d'idéal-type.

9h30-12h30

Introduction

Luc Robène (Université de Bordeaux, THALIM) et Solveig Serra, (CNRS, THALIM) : « Tu n'écriras point de chansons dépassant deux minutes. Tu ne commettras jamais de solo... » : archéologie du son et des textes punk en France.

Christophe Pécout (Université Lille 2, UREPSSS)  : « Le punk c'est anglais, londonien. On est du Havre c'est pas pareil »

Pierig Humeau (CNRS, CURAPP)  : Héritages, transmissions, détournements et clivages générationnels : portrait sociologique d'une des « générations » punk

14h30-18h30

Phillippe Liotard (Université Lyon 1, CRIS) : No future mais un corps : généalogie du corps punk.

Marine Schütz (Université Aix-Marseille, Telemme) : Reprise, détournement et DIY : le langage des pochettes de disques punk en France dans les années 1980, vers une histoire visuelle ?

Samuel Étienne (EPHE) : Les médias alternatifs français et leur vision du punk (1976-2006)

Table ronde avec la participation de François Ooghe (MARSU)

La culture russe d'émigration : dépassant les frontières des pays, des langues et des disciplines

Colloque international
Appel à communications :

13-15 novembre 2015, Université de la Sarre (Sarrebruck, Allemagne), Département d'études slaves

Comité scientifique : Prof. Dr. Roland Marti (Université de la Sarre), Prof. Dr. Christoph Flamm (Musikhochschule de Lübeck)

Organisation : Dr. Marina Lupishko (Université de la Sarre), Dr. Olga Tabachnikova (University of Central Lancashire)

Conférenciers invités : Prof. Dr. Mikhail Meylakh (Université de Strasbourg), Prof. Emérite Stephen Walsh (Cardiff University)

L'émigration russe est un phénomène complexe et multiple qui continue d'avoir un impact considérable sur la vie culturelle du 20e siècle, en particulier en Europe.

La première vague de l'émigration russe, celle qui a suivi la Révolution d'Octobre, s'est, après une courte période d'euphorie et de cosmopolitisme, repliée sur une identité fermée, isolée en grande partie des courants culturels européens et rejetée par la culture soviétique officielle. Une des tâches de cette première vague d'émigration russe était de préserver, d'étudier et de poursuivre les grandes traditions de la culture russe (Raeff 1990: 95). À la fin des années 1950-1960, le renouveau des échanges culturels entre l'URSS et le reste du monde a été à l'origine d'une nouvelle vague d'émigration, qui, une fois la parenthèse du Dégel terminée, est allée de pair avec le mouvement dissident. L'avènement de la Perestroïka a changé fondamentalement le tableau, ouvrant résolument la culture russe à l'Ouest. Aujourd'hui, nous ne pouvons savoir si cette phase d'ouverture va se poursuivre ou au contraire s'inverser. En tout cas, le processus se poursuit, en s'adaptant au contexte mondial en constante évolution.

Bien qu'il y existe un certain nombre de points communs entre les différentes vagues d'émigration, le fait de les regarder comme un tout est un phénomène assez récent. Il est maintenant clair que la « Diaspora Russe » est un phénomène unique et sans précédent au cours du 20e siècle. Le colloque international, dans le sillage de celui tenu à Sarrebruck en 2011 sous le titre « La culture russe d'émigration : conservatisme ou évolution? », abordera l'émigration culturelle russe, ses représentants et leurs créations artistiques dans une approche qui appelle à une nouvelle définition du concept même de l'émigration. Il mettra l'accent sur le processus de transformation de soi dans un effort conscient ou inconscient de repousser les frontières des pays, des styles, des médias, des langues et des identités nationales afin de résister à la stagnation, la censure, ou l'isolement. Les thèmes suivants, entre autres, seront abordés lors de la conférence :  

- compréhension du canon culturel : ce qui constitue l'art russe « classique » du point de vue des artistes émigrés russes et de leurs collègues soviétiques

 - l'opposition de deux littératures, deux musiques, deux arts etc., ceux de l'URSS et ceux de la « Diaspora Russe »

- la collaboration entre les artistes d'avant-garde russes en exil et leurs collègues soviétiques

- l'émigration « intérieure » contre l'émigration « extérieure » : comment un changement de milieu a aidé les émigrés russes et les artistes soviétiques dissidents à éviter la censure, l'isolement ou le chômage

- l'assimilation de nouveaux idiomes culturels, linguistiques ou esthétiques et le rejet des anciens idiomes

- les « multiples » cas d'émigration : les conséquences du départ vers un autre pays ou celles du retour en Union Soviétique (ou en Russie)

- les interactions internationales et interdisciplinaires dans les milieux artistiques émigrés russes (la quintessence de cette tradition étant les Ballets Russes de Diaghilev)

- la transformation ou la recherche de l'identité nationale

- d'autres origines ethniques dans la culture russe à l'étranger

- la nostalgie et la nostalgie « surmontée » (par exemple, les cas de double résidence)

- l'impact des artistes émigrés russes sur le paysage culturel des pays hôtes (par exemple, européens)

Des sessions spéciales seront consacrées à la musique, aux beaux-arts et à la littérature/poésie – et, dans une moindre mesure, au théâtre, au ballet et au cinéma. Il est prévu de publier les communications. Les chercheurs sont invités à soumettre des propositions de communications de 20 minutes avec un court résumé (250 mots max.) et une courte biographie (100 mots max.) avant le 31 mai 2015 aux deux adresses mail suivantes :

Dr. Marina Lupishko
Slavistik Geb. C 5.2
Universität des Saarlandes
66123 Saarbrücken
Germany
marina.lupishko@uni-saarland.de

Dr. Olga Tabachnikova
School of Language, Literature
and International Studies
University of Central Lancashire
Preston PR17BE
England
otabachnikova@uclan.ac.uk

L'Opéra de Dijon recrute son chef de chœur (H/F)

Poste à pourvoir au 1er septembre 2015 ½ Concours de recrutement le 2 juin 2015 

L'Opéra de Dijon accueille près de 70 000 spectateurs par an et déploie un projet centré sur la musique et le lyrique avec plus de 90 levers de rideau par saison.

Sous l'autorité de la Direction générale et de la Directrice de production, le Chef de Chœur encadre 23 artistes lyriques composant le Chœur permanent de l'Opéra de Dijon, ainsi que son pianiste répétiteur. Il/Elle organisera et mènera le coaching musical et vocal du Chœur (permanent et supplémentaire) afin que ce dernier puisse assurer, dans les meilleures conditions, les productions de l'Opéra de Dijon.

Les missions sont notamment :

  • Assurer la direction musicale et vocale du Chœur de l'Opéra
  • Porter et motiver le cadre du Chœur autour des projets de la Direction artistique
  • Participer et contribuer aux contrôles de compétences, en définir le contenu, et assurer les évaluations annuelles
  • Assister et participer aux recrutements des artistes lyriques des Chœurs permanents et supplémentaires (définir notamment le cadre des concours et les ouvrages demandés)
  • Préparer, en relation avec la Régisseuse du Chœur, les plannings de travail (sous le contrôle de la Directrice de production)
  • Coordonner la transmission des informations musicales et scéniques entre le Chef d'orchestre, la Maîtrise d'œuvre et le Chœur lors des productions lyriques
  • Développer avec les directions concernées les actions œuvrant à la promotion et au rayonnement de l'Opéra de Dijon (actions du développement culturel, actions pour les mécènes et les partenaires, actions pour la communication…)

Profil recherché

  • Expérience similaire réussie dans une structure comparable de 3 ans minimum
  • Capacité d'analyse musicale, maîtrise des techniques de direction de chœur et de préparation des chanteurs
  • Maîtrise de l'accompagnement au piano
  • Connaissance avérée des styles, des pratiques et de l'ensemble du répertoire de Chœur (opéra, symphonique, chambre, religieux…)
  • Très bonne connaissance des enjeux inhérents aux forces artistiques permanentes des Maisons d'opéra
  • Capacité réelle à organiser efficacement et en amont le travail du Chœur, grandes qualités relationnelles, capacité d'adaptation et réactivité face aux demandes de la direction artistique et du chœur
  • Bonne connaissance de la conception et de la conduite méthodologique des projets au sein d'un Opéra
  • Maîtrise d'au moins deux langues étrangères dont l'anglais

Organisation du concours

Pré-sélection sur dossier : CV, lettre de motivation et lettre(s) de recommandation Date limite de candidature | le 30 avril 2015

Epreuves éliminatoires du matin / durée 40mn / Les extraits à travailler seront communiqués 3 semaines avant   l'épreuve

  • Deux minutes de présentation au jury et au Chœur
  • Extrait 1 : travail du chœur depuis piano tiré du répertoire lyrique classique
  • Extrait 2 : extrait du grand répertoire lyrique
  • Extrait 3 : répertoire choral a capella

Epreuves de l'après-midi (short list) / durée 20 mn / Entretien avec les candidats retenus suite aux épreuves du   matin.

  • Entretien de motivation, exposition d'un projet pour le Chœur qui sera orienté en fonction du constat fait par le candidat lors des épreuves du matin et lecture d'un passage en italien et allemand (ou autre en fonction des épreuves du matin)

Condition d'emploi

Contrat CDI convention collective SYNDEAC, groupe B, salaire à négocier en fonction de l'expérience

Adresser le dossier de candidature à Opéra de Dijon - Monsieur Laurent JoyeuxX – Directeur Général –11, boulevard de Verdun 21000 Dijon ou par mail à / glabois@opera-dijon.fr

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Dimanche 22 Mars, 2015 2:21

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