______________________________
Les
Wesendonck Lieder de Wagner
et
la 4e de Mahler au hilharmonique
de Strasbourg
Jeudi 16 février 2012, 20h30
Palais de la musique et des congrès de Strasbourg
Salle Erasme
Orchestre philharmonique de Nice
Michel Tabachnik, direction
Christiane Iven, soprano
Wagner Wesendonck Lieder
Mahler Symphonie n°4 en sol majeur
Prix des billets : de 26 € à 44 € - tarifs jeunes (cartes OPS, Culture, Atout voir : 5,5 €).
Renseignements et réservations 03 69 06 37 06
jeudi
16 février 2012
______________________________ Il Trovatore de Verdi, dans une
nouvelle production à l'Opéra
de Nice
Opéra en 4 actes sur un livret de
de Salvatore Cammarano et Leone Zmmanuele Bardure, d'après le drame El Trovador, d'Antonio Garcia Gutiérrez (1912-1844), créé au Teatro Apollo à Rome, le 19 janvier 1853
Le trouvère de Verdi, qui fit un triomphe lors de sa création, au Teatro Apollo de Rome le 19 janvier 1853, est de l'avis général le modèle exemplaire de l'opéra romatique. Il est l'opéra le plus violent de Verdi, et le premier à ouvrir en grand les vannnes de la virtuosité bel cantiste sans relation évidente avec l'action. En un mot : ça pousse très fort sur la vocalise.
On est au début du xve siècle en Espagne, en pleine guerre civile provoquée par le coup de grisou du comte d'Urgel contre le roi d'Aragon.
Le comte de luna est chef des armées royales. On pense que son frère Manrico le Trouvère est mort. Mais il a été enlevé par la bohémienne Azucena, dont la mère a été mise au bûcher pour sorcellerie, sur l'ordre du père du comte et de son frère le trouvère, qui réapparait.
Les deux frères vont s'affronter pour l'amour de Leonora qui se suicide (après avoir beaucoup chanté) pour assurer la liberté de Manrico. En vain, car ce dernier est tout de même mis à mort.
En mourant elle aussi, Acuzena dévoile au comte que Manrico est son frère : « Tu es vengée,
ô ma mère ! ».
Jeudi 16 à 20h, dimanche 19 à 15h
mardi 21 à 20h, jeudi 23 à 20h
Giuseppe Verdi
I
l Trovatore
Orchestre Philharmonique de Nice
Choeur de l'Opéra de Nice
Fabrizio Ventura, direction
Il Conte di Luna, Dimitris Tiliakos
Leonora, Kristin Lewis
Azucena, Dolora Zajick
Manrico, Walter Fraccaro
Ferrando, Giorgio Giuseppini
Ines, Claudia Cesarano
Ruiz, Frédéric Diquero
Un vecchio zingaro, Dario Luschi
Mise en scène Lorenzo Mariani
Décors et costumes William Orlandi
Lumières Christian Pinaud
Tarifs : De 5 € (étudiants) à 78 €.
Opéra Nice Côte d'Azur,
4-6 rue Saint-François de Paule 06300 Nice.
Renseignements / Réservations 04.92.17.40.79.
Réservation en ligne https://www.opera-nice.org
Du dispositif technique à la dramaturgie sonore, quelles formes de subjectivité traversent l'oeuvre ? Au cours de cette journée organisée sous forme de rencontres, trois compositrices, Beatriz Ferreyra, Christine Groult et Pascale Criton interrogent les formes de l'écoute, les espaces de diffusion, les modalités de la perception et de la réception du son à l'oeuvre dans leur création.
10 h 45 Concevoir in situ (
Florence Giust-Desprairies – Christine Groult)
11 h 45 Devenirs et expérimentations (Anne Sauvagnargues – Pascale Criton)
14 h 30 Ecoutes
Des expériences d'écoute et présentations d'oeuvres seront proposées, de la monophonie à la stéréo et la multiphonie, en passant par l'écoute solidienne (conduction osseuse), sur des dispositifs installés spécifiquement à cette occasion.
Pascale Criton L'oreille ubiquiste
Christine Groult Reliefs plans perspectives
Beatriz Ferreyra Plasticité mobilité: une diffusion en acte
Discussion avec le public Avec la participation de Hugues Genevois, Florence Giust-Desprairies, Hyacinthe Ravet, Florence Rochefort, Anne Sauvagnargues et Makis Solomos.
Entrée libre, réservation 01 47 15 49 86.
Partenariat Cdmc – Art&Fact – Conservatoire de Pantin.
Centre de documentation de la musique contemporaine, 16 place de la Fontaine aux Lions, 75019 Paris.
https://www.cdmc.asso.fr
jeudi
16 février 2012
______________________________
Mozart versus Mozart au Théatre
Marsoulan (Paris), jusqu'au 26 mai.
16 février-26 mai
Paris, Théâtre Marsoulan
Mozart vs Mozart
Bernard Vancraeynest
(Leopold Mozart)
Christophe Gillis
(Wolfgang Amadeus Mozart)
Le quintette à cordes Le FFortissimo Orchestra
Tarifs :25 / 19 - €.Théâtre Musical Marsoulan, 20, rue du Marsoulan, - 75012 Paris (métro Nation ou Picpus).
01 43 41 54 92. https://www.theatremarsoulan.com.
Léopold Mozart, le père, musicien professionnel de haut vol, avait un nom et même un prénom. Son talent et sa renommée pouvaient lui laisser entrevoir les portes de la gloire. Mais c'était compter sans la naissance d'un fils anormal, Wolfgang Amadeus, qui lui ravirait involontairement et comme par erreur tous les lauriers auxquels il pouvait prétendre.
En une dizaine de tableaux musicaux un tantinet iconoclastes, les Mozart père et fils, accompagnés par un somptueux orchestre à cordes en grande tenue d'époque, nous relatent une dizaine d'épisodes de la grande et de la petite histoire de Wolfgang Amadeus : la création inopinée de la « Symphonie des Jouets », la composition de « La Danse des Canards », d'un opéra culinaire, ou encore d'un concerto acrobatique …
Un voyage décalé dans la vie du compositeur le plus follement génial de tous les temps : Wolfgang Amadeus Mozart !
jeudi
16 février 2012
______________________________
L'art dans la cité, un débat au
Collège des Bernardins (Paris)
Jeudi 16 février 2012, de 20h à 22h
Table ronde dans le cadre de l'exposition videodrones - Céleste Boursier-Mougenot
Depuis les années 1960, l'art investit la ville, avec une réelle volonté d'être hors les murs. Comment s'articulent les différentes logiques des artistes et de leurs commanditaires ? Quelle place l'art contemporain trouve-t-il dans la ville ? Comment s'insère-t-il dans le paysage urbain ? Quelle est sa spécificité s'il en a une ? Que peut-il nous révéler ?
Avec la participation de : M. François Brouat, conseiller culturel à la Mairie de Paris ; Yann Chevalier, directeur du Confort Moderne de Poitiers ; Isabelle Manci, conseillère pour les arts plastiques à la DRAC Ile-de-France ;
Anita Molinero, artiste.
Débat animé par Alain Berland, commissaire d'exposition.
Tarif Plein : 5 € Tarif Réduit : 3 €. Gratuit pour les moins de 26 ans, dans la limite des places disponibles. Tarif réduit pour les demandeurs d'emploi, bénéficiaires des minima sociaux (sur présentation d'un justificatif). Informations : 01.53.10.74.44.
jeudi
16 février 2012
______________________________
Alan Stivell de nouveau à l'Olympia 40 ans après
Alan Stivell sera demain à l'Olympia, 40 ans après son premier passage (enfin le second si l'on se souvient que tout jeune il y était déjà venu jouer de la harpe). Cet « Olympia » avait consacré l'avènement de la nouvelle musique bretonne, et celui bien sur d'un artiste hors nomes, il avait revisité le fond musical breton en le régénérant soit par une interprétation de classiques (renaissance de la harpe celtique) soit par la création d'une nouvelle forme musicale inspirée par les musiques traditionnelles, bretonnes et celtiques. Ce fut un véritable coup de tonnerre dans le paysage musical breton , puis national (un million de disques vendus après l'Olympia) et international,. Alan Stivell est sans aucun doute àl'origine de la nouvelle créativité musicale en Bretagne, après lui les festoù noz se développent, les groupes se forment ou prennent un nouvel essor comme pour les Diaouled ar Menez ou les Sonnerien du. D'autres bien sur défrichent de nouvelles pistes Gilles Servat en particulier ou encore Manu Lanuhel ou Annkrist. Aujourd'hui cette impulsion est toujours présente et elle continue d'influencer toute une génération de musiciens, de chanteurs et de chanteuses, Nolwenn Leroy vient de lui donner un nouvel élan, mais ils sont nombreux à être de plus en présents sur la scène musicale, une myriade de groupes ou de chanteurs et chanteuses comme Gwennyn . Un des aspects fondamentaux insufflé par Alan Stivell, c'est le caractère également de combat de cette musique, partie prenante de la reconnaissance de l'identité bretonne. Le choix de poursuivre l'évolution musicale en lien avec le traditionnel, la volonté de chanter en breton, le choix de confronter l'expression musicale bretonne non seulement au fond celtique mais aussi aux différentes formes musicales du monde, Afrique, Balkan, Maghreb et aux nouvelles sonorités rap techno….. Alan Stivell, c'est une autre forme de l'ouverture de la Bretagne au monde, c'est la perpétuation de la matière de Bretagne, et comme le roman du roi Arthur , une évolution sans cesse renouvelée d'une matière originelle qui accède à l'universel.
jeudi
16 février 2012
______________________________
L'Église italienne offusquée par
les propos de Celentano
Adriano Celentano a provoqué une réaction offusquée de l'égliser italienne, après la première soirée du festival de la chanson de San Remo où le chanteur a, entre autres, appelé à fermer les deux principaux journaux catholiques du pays.
Celentano est entré en scène au son de sirènes hurlantes et d'images de bombardements, a mélangé chansons, silences et diatribes enflammées contre l'Eglise italienne, l'indifférence à l'égard des chômeurs, s'en prenant aussi aux énormes sacrifices imposés par Merkel et Sarkozy à la Grèce et au gouvernement de Mario Monti, qualifié de matériau résistant et en apparence indépendant.
Des publications comme Avvenire et Famiglia Christiana devraient être fermées [...] Ces publications hypocrites s'occupent seulement de querelles politiques, ne parlent pas de Dieu ni du paradis et préfèrent critiquer ceux qui aident les derniers, les plus faibles.
Le directeur de la chaîne Rai Uno qui diffuse le festival, déploré que Celentano ait demandé de fermer des journaux, mais il a souligné la liberté totale de ton que la Rai lui a accordé.
jeudi
16 février 2012
______________________________ Annonces de colloques