Stage de piano de Panazol, du 25 août au 1er septembre 2013 :
«Piano en fête »
Cette année le stage de piano à 2, 4, 6, …. mains, organisé par le Conservatoire de Panazol, fêtera ses 10 ans de succès !
Il est comme tous les ans encadré par Jacqueline et William Bensimhon : Jacqueline est professeur d'accompagnement au CRR de Limoges et au Centre d'Études Supérieur Musique et Danse Poitou Charente ; William est, quant à lui, professeur de piano référent dans ce même établissement et directeur du CRC de Panazol.
24 stagiaires venus de la région bien-sûr, mais aussi de Paris, Niort, Montluçon,… se verront proposer des cours individuels et collectifs mêlés d'activités de loisirs et de détente proposées par Guillemette Tual, animatrice mais aussi musicienne.
Le piano sera bien-sûr omniprésent mais jeu de piste, veillées sportives ou ludiques, et tournoi de ping-pong contribueront comme chaque année à permettre aux stagiaires de tous les âges (de 6 à 22ans) et de tous niveaux, de partager des moments forts en émotions.
Le stage débutera par un concert avec deux jeunes pianistes talentueuses, anciennes élèves des professeurs : Pauline Chevalier-Hennequin (actuellement étudiante au Pôle Supérieur d'Aubervilliers) et Zoé Crozet –Robin. Il aura lieu le dimanche 25 août à 17h au Centre Jean Cocteau à Panazol (entrée libre).
Le concert de clôture sera celui des stagiaires : « le Piano fait son Cinéma ! », et sera émaillé de nombreuses surprises : rendez-vous le dimanche 1er septembre à 15h00 toujours au Centre Jean Cocteau à Panazol.
Gageons que cette semaine intense en moments musicaux soit à nouveau une réussite !
« Amélie Poulain» à Broadway: Jeunet cède ses droits pour une bonne cause
Jean-Pierre Jeunet, a déclaré qu'après avoir résisté une dizaine d'années, il a décidé de céder les droits du « Fabuleux destin d'Amélie Poulain », afin de financer l'association Mécénat Chirurgie Cardiaque qu'il soutient.
Il dit qu'il a horreur des comédies musicales et que Broadway est l'incarnation de la ringardise. Il se dit dégoûté, qu'il ne veut entendre parler de rien, qu'il n'ira pas voir la pièce.
Mais ayant contribué à sauver une dizaine d'enfants, il pense qu'en ce temps de crise, cet argent permettra d'en sauver d'autres.
Linda Ronstadt souffre de la maladie de Parkinson
Linda Ronstadt a annoncé qu'elle souffrait de la maladie de Parkinson et d'être incapable de chanter une seule note.
Le diagnostic a été posé il y a huit mois et les premiers symptômes dateraient d'il y a huit ans.
Au cours de sa carrière de plus de 40 albums, qui a culminé avec des titres tels it's so easy ou that'll be the day, elle à reçu 11 Grammy awards.
Regards sur Debussy
Par Flore Estang
Chimènes Myriam & Laedrich Alexandra (dir.), Regards sur Debussy. Fayard, Paris 2013 [579 p. ; 978-2-213-67258-8 ; 30 €]
Un récent ouvrage, édité chez Fayard, présente, en presque 600 pages, les articles d'intervenants lors d'un colloque sur Claude Debussy, alignant une partie des récentes recherches et interrogations sur l'un des compositeurs français les plus emblématiques du XXe siècle. Après les milliers d'ouvrages déjà écrits à son sujet, que peut-on encore découvrir sur le compositeur et ses œuvres ? Les domaines de la recherche musicologique se sont enrichis depuis plusieurs années, avec l'apport méthodologique d'autres disciplines et leurs techniques spécifiques appliquées au domaine musical. Les sujets d'étude sont inépuisables, puisque chaque œuvre (ou compositeur) peut être interrogée par le biais de l'analyse politique, historique ou sociale, ou bien en comparant avec les autres arts, littérature, danse, peinture. Tous les domaines de recherche sont représentés, excepté le lien entre musique et arts plastiques.
« Magène », « Duplessis et les 3 violons du monde » et « Dominique Dupuis » à Saint- Vaast et Tatihou
Par Alain Lambert
Pour gagner Tatihou du port de Saint-Vaast, par grande marée basse, il y a à peu près de
ux kilomètres de sable vaseux, caillouteux, avec à l'aller, de bons passages recouverts encore par l'eau qui descend en grand courant. Mieux vaut prévoir des chaussures amphibies.
Mais avant de gagner l'île, un petit détour par Saint-Vaast où, ce vendredi, la scène amateur propose Magène. Et comme nous sommes dans le Cotentin, Magène, c'est la mémoire de la langue normande — on pourrait dire patois si ce mot n'avait que le sens de langue populaire régionale, sans le mépris dédaigneux qui l'accompagne souvent — une langue qui se perd de plus en plus au quotidien, comme le cajun qui lui ressemble. Elle persiste par les textes de quelques poètes et romanciers qui depuis un siècle se sont mis à l'écrire, paradoxe des langues orales qui ne veulent pas s'effacer. Et Magène, depuis presque vingt cinq ans, met ces textes en musique avec un groupe dont Théo Capelle est la voix, grave et puissante. Il sait, avec bonhomie et humour, nous les présenter en quelques mots et les traduire pour ceux qui ne comprennent pas. Jean Louis à la guitare, Manuela à l'accordéon et Dany à la contrebasse l'épaulent sobrement.