Doctorales Musique-Musicologie : (Rencontres nationales inter-équipes) : 11-12 mars 2013
Le Bureau des jeunes chercheurs de l'Observatoire musical français (BJC-OMF, Université Paris-Sorbonne) et les jeunes chercheurs de l'équipe des Patrimoines et Langages Musicaux (PLM) organisent les 11 et 12 mars 2013 (Université Paris-Sorbonne, salle J 636, 9h à 18h) la quatrième édition des
Doctorales Musique-Musicologie
(Rencontres nationales inter-équipes)
Ouvertes à tous, ces journées permettent aux jeunes chercheurs, toutes universités/écoles et toutes équipes de recherche confondues, de venir présenter succinctement (20 minutes) leurs travaux en cours (sujet et problématiques, corpus, méthodologies, etc.), puis d'en discuter ensemble - sous le regard de modérateurs invités.
Pour les doctorants et les jeunes docteurs, les Doctorales Musique-Musicologie offrent ainsi une occasion importante :
- de s'exercer à la présentation et à la diffusion scientifique de leurs travaux
- de bénéficier d'un regard critique sur leurs propres recherches
- de prendre connaissance des travaux menés parallèlement aux leurs
Le formulaire d'inscription (en pièce jointe) est à compléter et à renvoyer à l'adresse : doctorales2013@gmail.com avant le dimanche 6 janvier 2013 (inclus).
N'hésitez pas à nous contacter à l'adresse ci-dessus pour tout renseignement complémentaire.
Bien cordialement,
Les jeunes chercheurs de l'équipe PLM (Caroline Joré, Clémence Monnier, Cécile Quesney)
Le Bureau des jeunes chercheurs de l'OMF (Marielle Cafafa, Irina Kirchberg, Cédric Segond-Genovesi).
Une « Traviata » de l'entre-deux-guerres au Deutsche Oper de Berlin
par Jean-Luc Vannier ——
Un des piliers de la trilogie verdienne avec « Rigoletto » et « Il Trovatore », cet opéra en trois actes créé le 6 mars 1853 à La Fenice de Venise sur un livret en italien de Francesco Maria Piave et d'après le roman d'Alexandre Dumas fils, fut un jour résumé avec ironie par un célèbre critique musical parisien : « c'est une p….Il l'aime.
Elle meurt ». Donnée en version « italienne sous titrée en allemand » mercredi 3 janvier au Deutsche Oper de Berlin, « La Traviata » fut également l'une des trois œuvres préférées de La Callas pour ce jusqu'auboutisme sacrificiel féminin. La mise en scène berlinoise reprise de Götz Friedriech, un ancien responsable du Komische Oper de Berlin-Est puis de grandes scènes internationales, décédé
en 2000, place le mélodrame dans la période de l'entre-deux-guerres, époque politiquement ambivalente, même si le message n'est pas très explicite dans cette production. Frank Philipp Schlössmann signe des décors d'un esthétisme marqué par des oppositions très stendhaliennes entre le rouge vif et le noir glacé et sur lesquels pouvait s'étayer la direction d'acteurs de Claudia Gotta. (+)
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À nos agendas*
27, 28, 29 mai 2013, Paris : Musique et écologies du son : Projets théoriques et pratiques pour une écoute du monde (Colloque international, appel à contributions).
Revue de prese musicale du 6 janvier 2013
(Ouest France) 25 ans de musique baroque au coeur du Bocage
(La Provence) Le Bourgeois gentilhomme en musique à La Criée
(AFP/Le Point) La « tango thérapie », traitement très spécial des hôpitaux argentins
(Culturebox) A Notre-Dame-des-Landes, musique contre l'aéroport