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mardi 16 décembre 2014

 

Hommage à Gabriel Dupont Salle Adyar à Paris

À l'occasion de 100e anniversaire de la disparition du compositeur, un concert commémoratif aura lieu le 16 décembre 2014 à 20 heures Salle Adyar avec la participation de l'Octuor de France, Maria Virginia Savastano, Machiko Yanase-Raveau et Ariel Suhamy. Cet événement est organisé avec le concours de l'association Gabriel Dupont et de l'association Rivages Lointains.

Le 16 décembre prochain, le théâtre Adyar — qui fête lui aussi son centenaire — fera revivre ce compositeur contemporain de Ravel et de Debussy, au travers d'œuvres choisies et commentées.

Gabriel Dupont

Théâtre Adyar, 4 Square Rapp, 75007 Paris. 01 45 55 67 63. Billets (15 €) en vente sur place le soir-même, et sur internet.

Vers la disparition du Conservatoire de Chelles ?

Une pétition

À l'attention: du Maire de Chelles

Dites non au projet de la municipalité, qui vise à éparpiller nos élèves de la municipalité en déménageant le Conservatoire de Chelles: au siège de l'ex-bibliothèque Brassens, au sous-sol de l'actuel Conservatoire et à Courtry.

Le 17 décembre, la municipalité va se réunir afin de valider la décision. Disons non à ce projet ! Pensons aux familles non motorisées et qui ont plusieurs enfants.

Oui à la culture pour nos enfants chellois à Chelles sur le même site. Œuvrons pour un vrai conservatoire dans notre ville !

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Philippe Jordan dirigera le Concert de Noël à la Scala de Milan.

Le nouveau chef de l'Orchestre symphonique de Vienne, Philippe Jordan, dirigera le Concert de Noël à la Scala de Milan dimanche prochain, avec au programme Messe solennelle de Beethoven. Les solistes sont Edith Haller, Daniela Sindram, Stuart Skelton et Günther Groissböck..

Une Pétition pour sauver l'Institut Français de Lisbonne

Monsieur le Ministre,

Nous prenons connaissance, par voie de presse, du projet de fermer l'Institut Français du Portugal à Lisbonne et de la décision de déménager une partie de l'équipe actuelle vers le site de l'Ambassade de France.

Nous apprenons également que, à Porto, l'Antenne de l'Institut Français et le Consulat de France fermeront en 2015.

Si ces projets venaient à se confirmer, nous assisterions à la disparition programmée du réseau de coopération et d'action culturelle de la France au Portugal.

En l'absence de présence française à Porto, fermer l'Institut français de Lisbonne revient en effet à fermer le dernier lieu emblématique de diffusion de la langue et de la culture françaises au Portugal.

Inauguré en 1984, l'Institut français fête ses 30 ans cette année. Trente années au cours desquelles de nombreuses personnalités - des artistes, des écrivains, des hommes politiques, des scientifiques, des cinéastes… - ont fait vivre et briller cet Institut.

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À l'aise, Blaise ? : Blaise le Savetier, opéra-comique  d'André Danican Philidor

André Danican Philidor, Blaise le Savetier, Opéra-comique en un acte. Ensemble Almazis, direction musicale, Iakovos Pappas. Maguelone 2014 (MG 111.196)

Enregistrement à la villa Rose, Malakoff en septembre 2013

Le livret figure sur la partie CD-rom lisible sur l'ordinateur

Par Eusebius ——

Partagé entre l'amour des échecs — son Analyse du jeu des échecs demeure une référence — et la musique, André Danican Philidor attendra l'âge de 28 ans pour livrer le premier de ses 21 ouvrages lyriques. Le brillant succès de Blaise le savetier, imprimé la même année 1759, sera suivi de bien d'autres. La musique a besoin de défricheurs autant que de jardiniers. De la première espèce relève Iakovos Pappas, spécialiste du chant baroque et de la déclamation, qui s'attache à la résurrection d'ouvrages quelque peu tombés dans l'oubli. Après Le maréchal ferrant, du même Philidor, et L'Isle des fous, de Duni, il a rendu vie à notre opéra-comique au Festival de la Chabotterie 2013. Cet enregistrement en est le prolongement naturel.

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Titus, version Comédie-Française : « La Clémence de Titus » de Mozart au Théâtre des Champs-Élysées

La Clémence de Titus, Théâtre des Champs-Élysées, Paris décembre 2014. Phtographie © Vincent Pontet.

Par Frédéric Norac ——

La Comédie-Française est redevenue bien sage depuis quelques années. Exit les recherches outrées des metteurs en scène d'avant-garde, place à un théâtre néo-classique de bon ton, élégamment modernisé. C'est un peu dans cet esprit que Denis Podalydès, sociétaire de cette digne maison, a abordé sa production de la Clémence de Titus. N'était la transposition dans les années 30, pour le climat politique troublé, le lobby du grand hôtel et ses lambris remplaçant les marbres des antichambres du palais de Titus (imposant décor assez sinistre dû à Éric Ruf), sa vision reste essentiellement classique et le meilleur de sa mise en scène est à trouver dans une caractérisation psychologique des protagonistes et une direction d'acteurs efficace et pertinente.

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Quatre voix, quatre mains… Schumann et Brahms

 

Photographie © Eusebius.

Dijon, Opéra, Auditorium, 13 décembre 2014, par Eusebius ——

Trop fréquemment, les chanteurs dédaignent les derniers Lieder de Schumann, au motif qu'ils porteraient déjà la marque de l'amenuisement de ses facultés. Or, 1849 va voir le jaillissement d'une riche production, dont celle des Spanische Liebeslieder, opus posthume 138. Cycle a géométrie variable, influencé par le mélodrame et la ballade, il se fonde sur des poèmes de Geibel. Faisant suite au Spanisches Liebeslied, opus 74, marqué par l'influence de Pauline Viardot (fille de Manuel Garcia) qui participe à la mode espagnole et à la diffusion du boléro, le cycle se compose de deux parties de construction semblable : une introduction pianistique, deux soli, un duo, un solo pour conclure la première partie, et un quatuor pour couronner le tout. À la peine profonde qu'exprime la soprano (Tief im Herz trag' ich Pein, le De dentro tengo mi mal, chez Camoens…) répond le ténor guilleret, séduit par la beauté de la jeune fille (O wie lieblich ist das Mädchen). Le duo passionné, soprano-alto (Bedeckt mich mit Blumen) conduit à la romance de la basse, hispanisante dans sa ligne vocale (Flutenreicher Ebro), mais surtout dans son accompagnement suggérant la guitare. La seconde partie est ouverte par un intermezzo « national », dont la métrique évoque l'Espagne. Le ténor, malheureux, a réussi à mettre la jeune fille en colère (Weh, wie zornig ist das Mädchen). Il est suivi par l'alto confiant à sa mère qu'elle rencontra son ami le plus doux dans ce paysage montagneux (Hoch sind die Berge). Le ténor et la basse chantent joyeusement, dans un style populaire, à refrain, les yeux bleus de la jeune fille (Blaue Augen hat das Mädchen). Le quatuor final (Dunkler Lichtglanz) est une réflexion désabusée sur l'amour et ses peines. Musicalement, on est déjà chez Brahms, qui régira la deuxième partie du concert.

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