bandeau actu


2011
<<  novembre   >>
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30        

 

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
« Red Waters » de Lady & Bird, à
l'Opéra de Tour

Lady  & Bird, ce sont Keren Ann Zeidel et Bardi Johannson. La première est compositrice, enregistre régulièrement des albums solos, ses chansons sont chantées par de nombreux artistes, patriculièrement en France : Henri Salvador, Jane Birkin, Françoise Hardy, Rosa Passos, Jacky Terrasson, Emmanuelle Seigner et Benjamin Biolay, elle a signé les ambiances musicales de la chaîne de télévision ARTE et les musiques de nombreuses séries télévisées.

Bardi Johannson a publié en 2000 un premier album chez Warner qui marque les débuts d'une carrière de compositeur pour le cinéma, la téléviison, et la publicité, il a aussi, entre autres, créé au Festival d'Aix-en-Provence une œuvre pour quatuor à cordes, harpe et machines en 2005.

Keren Ann Zeidel et Bardi Johannson forment le duo Lady & Bird qui depuis 2003 a réalisé des projets musicaux, notamment  avec L'Orchestre symphonique islandais sous la direction de de Daniel Kawka, ou avec l'Orchestre des concerts Lamoureux sous la direction de Christophe Mangou.

Avec le poète et écrivain Sjón, qui revendique l'héritage surréaliste et dada, il ont écrit le livret et la musique d'un opéra féerique — Red Waters — qui sera créé à l'Opéra de Tours le 24 novembre 2011, sous la direction de Paul-Emmanuel Thomas et dans une mise en scène d'Arthur Nauzyciel, avec l' Orchestre de l'Opéra de Rouen Haute-Normandie et musiciens de l'Orchestre Symphonique Region Centre-Tours.

Ce spectacle est Coproduit par l'Opéra de Rouen Haute-Normandie, le Festival Automne en Normandie, le Centre Dramatique National Orléans / Loiret / Centre, L'Astrolabe-Orléans. Co-accueil Scène Nationale Evreux Louviers, Avec le soutien de la Région Centre et de la Matmut.

Un narrateur nous raconte l'histoire de Brother (Frère), un jeune homme qui, suite à une découverte sensationnelle sur la télépathie des jumeaux, est invité dans le village où il est né - Red Waters - pour y recevoir les clés de la ville.

Les villageois sont fiers de ce « fils de Red Waters » devenu célèbre. Mais une fois arrivé, Brother est déconcerté par la vie primitive de ce village situé au bord d'une rivière de vin rouge qui non seulement donne son nom à la ville mais est aussi le centre de son existence : six fois par jour toute la population participe à un rituel en buvant à la fontaine de la place, orchestré par le Preacher (Prédicateur) - en perpétuel état d'ébriété - et ses trois Nymphes. Ils racontent à Brother que l'origine de cette merveille vient d'une légende remontant à la fondation de la ville : un garçon et une fille tombèrent amoureux, ignorant qu'ils étaient des jumeaux séparés à la naissance. Lorsque ce lien originel fut découvert, ils furent pourchassés par tout le village.

La distribution :  Brother, Arnar Gudjonsson ; Daughter, Sigridur Soffia Nielsdottir ; Father, Thibault de Montalembert ; Midwife, Anne-Françoise Lecoq ; Preacher, Thorgeir Gudmundsson ; Trois Nymphes, Meytal Blanaru, Aya Steigman, Clara Furey ; Deus ex Machina, voix off ; Jumeaux et villageois Choeur,L Lady & Bird

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Dmitri Chostakovitch Nancy

24 et 25 novembre 2011 à 20h30
Salle Poirel

Orchestre Symphonique de Nancy
Patrick Davin, direction

Dmitri Chostakovitch (1906-1975)
Symphonie n° 8 en ut mineur, opus 65

 https://www.opera-national-lorraine.fr/saison11-12/

Présentation par Didier Henry

« La rapidité vertigineuse avec laquelle je compose m'inquiète, écrivait Chostakovitch en septembre 1944 à son ami de jeunesse, le compositeur Vissarion Chébaline. Dès que j'ai terminé une œuvre, je ne suis pas très sûr d'avoir fait un bon usage de mon temps. Mais cette habitude idiote l'emporte et je continue à composer ainsi… »

L'auteur de quinze symphonies - il avait l'intention d'en écrire vingt-quatre - a toujours développé un rapport singulier au temps musical. Etirement de certains mouvements, resserrement et concision d'autres passages : le minutage « réel » d'une œuvre ne correspond pas toujours à l'impression de durée ressentie par l'auditeur. C'est ainsi que l'ample premier mouvement de la Huitième Symphonie - plus de vingt-cinq minutes, selon les interprétations - ne donne aucune impression de longueur.

Et l'on pourrait dire la même chose de l'œuvre dans son entier. C'est alors à des métaphores spatiales que l'on a envie de recourir, la comparant, par exemple, à un fleuve russe… Mais il faudrait ajouter aussitôt que ce fleuve est infranchissable, et ressemble, en ses épisodes paroxystiques comme en ses fragments plus méditatifs - mais toujours d'un climat sombre, marqué au sceau de la plus grinçante ironie - au fleuve mythologique des Morts : en l'occurrence, les victimes de la Seconde Guerre mondiale, et d'une de ses batailles les plus longues et les plus meurtrières. Certes, dans cette symphonie plus que jamais, la musique de Chostakovitch défie toute interprétation univoque.

Commencée en août 1942, la bataille de Stalingrad devait durer plus de six mois, jusqu'à la capitulation de l'armée allemande en février 1943. Elle marque le tournant décisif de la guerre sur le front de l'Est, mais certainement pas la fin de l'angoisse pour le peuple russe, exténué par les privations. C'est cette angoisse, cette fatigue éprouvantes, que Chostakovitch a voulu dépeindre dans une symphonie qui, pas plus que la précédente, ne se voulait « à programme » : le nom de Stalingrad qui lui est parfois accolé ne correspond pas à la volonté du compositeur. Il ne s'agissait pas de célébrer la victoire, mais de « recréer le climat intérieur de l'être humain assourdi par le gigantesque marteau de la guerre. »

« Je regrette beaucoup que la Huitième Symphonie, dans laquelle j'ai mis tant de cœur et de raison, n'ait pas été jouée chez nous depuis de longues années, écrivait-il en 1956. J'ai voulu exprimer dans cette œuvre les expériences subies par le peuple, et y rendre la terrible tragédie de la guerre. La Huitième Symphonie, écrite au cours de l'été 1943, est une réponse aux événements de cette époque difficile. »

« Tant de cœur et de raison » : là se trouve sans doute la clef d'une partition où, en effet, d'un bout à l'autre, la puissance et la rigueur, l'émotion et le savoir s'équilibrent. L'œuvre a toujours été l'une des préférées de son auteur, et de ses amis musiciens : « Pour moi, elle est l'œuvre majeure de sa vie », disait Sviatoslav Richter.

Pas de temps perdu en tout cas : pour en revenir à ce sentiment d'urgence qui l'inquiétait parfois, Chostakovitch commença à rédiger le premier mouvement le 2 juillet 1943, à Moscou. Il y mit un point final un mois plus tard, le 3 août, à la campagne, dans la datcha du domaine d'Ivanovo que l'Union des compositeurs mettait à la disposition des artistes et de leurs familles. Un autre mois devait suffire aux quatre mouvements suivants, achevés le 9 septembre. Et deux mois plus tard, le 4 novembre, après un travail de mise en forme d'une grande précision, Chostakovitch assistant à toutes les répétitions, la Huitième Symphonie était créée à Moscou par l'orchestre symphonique d'Etat de l'URSS, sous la baguette de son dédicataire, Evgueni Mravinski.

Chostakovitch a fait remarquer la parenté de cette œuvre, en particulier de son premier mouvement, avec sa Cinquième Symphonie (créée en 1937) qui était, déjà à l'époque, une de ses partitions les plus célèbres. Le premier thème de la Huitième se présente ainsi, selon Krzysztof Meyer (Chostakovitch, Fayard, 1994) comme une variation du début de la Cinquième, qui plaçait à égalité l'angoisse et la méditation. Néanmoins, le classicisme de la Cinquième est vite dépassé, par une intensité expressive rarement atteinte par le compositeur jusqu'alors, y compris dans la symphonie précédente, « Leningrad », qui traitait elle aussi de la guerre… quoique de façon un peu moins pessimiste. D'un épisode à l'autre de l'Adagio initial, avec une maîtrise insolente des timbres et des rythmes, l'angoisse et la violence se succèdent selon une dialectique implacable. C'est un sentiment de désolation qui domine, et, lorsque tout s'accélère, le déchaînement semble plus terrible encore. La littérature et le cinéma russe ont su évoquer ces sensations de paix précaire au cœur de la tourmente. Ici aussi, le lyrisme d'un thème des violons est soudain brisé par l'irruption de percussions et de bois suraigus ; et vers la fin du mouvement, la mélancolie, très russe, du solo de cor anglais, pure expression de souffrance et de solitude, ne procure qu'un apaisement éphémère, bientôt effacé par le retour des rythmes saccadés des trompettes, avant que le morceau ne s'achève pianissimo.

Les deux mouvements centraux, une marche suivie d'une toccata, sont des exemples de l'ironie sarcastique où Chostakovitch excelle. Il a dit lui-même qu'elle fut, sa vie durant, un antidote au stalinisme, et plus généralement à l'absurdité d'une existence aliénée par un régime dictatorial. C'est l'absurdité de la guerre qui est visée ici, sous deux aspects différents, mais complémentaires : une danse désarticulée (un fox-trot allemand de l'époque, selon K. Meyer), et un mouvement perpétuel aux dissonances virtuoses. « De temps à autre l'Allegretto adopte un rythme ternaire pour essayer d'interrompre par une danse son avance au pas cadencé, mais l'orchestration massive et les ostinati impitoyables empêchent tout essor. Chaque fois que l'écriture s'allège, le grotesque prend le dessus, sous la forme par exemple de combinaisons instrumentales saugrenues comme un solo de piccolo sur une pédale de tuba. L'Allegro non troppo qui suit ne songe même pas à danser et se contente d'aller droit devant lui comme une machine, insensible aux cris jetés par les bois. Une sorte de sonnerie de clairon avive le sentiment de terreur par sa vulnérabilité même, seule note humaine au milieu de cet assaut de puissance mécanique », écrit le musicologue Timothy Day (livret du CD Concertgebouw Orchestra, Bernard Haitink, Decca, 1983).

Le Largo suit sans transition, après une intervention énergique des percussions ; il s'enchaînera au finale sans marquer de pause, de sorte qu'à un auditeur distrait l'œuvre pourrait sembler ne compter que trois mouvements. Chostakovitch adopte pour ce mouvement lent la forme préclassique de la passacaille, mettant en valeur sa connaissance de la polyphonie. Douze fois la basse continue répète aux cordes graves sa lente danse élégiaque, soutenant les autres instruments qui s'entrecroisent en variations frémissantes, éclairées à la fin par un accord parfait majeur.

Cette lumière quasi bucolique, qui imprègne le début du finale, pourrait faire espérer une sorte de happy end. Il n'en est rien, même si la succession de brefs passages, tantôt de forme sonate, tantôt fugués, renforce  l'impression de liberté retrouvée. Même en pleine guerre, le ciel peut être bleu, et les oiseaux continuent de chanter, semble penser le compositeur… qui ne tarde pas à faire basculer à nouveau son orchestre dans une lutte sans merci, jusqu'à ce que les trompettes forte retrouvent le premier thème du premier mouvement. Pourtant la symphonie ne s'achève pas de façon cyclique, en une belle totalité harmonieuse : après une série d'interventions hésitantes d'instruments qui semblent bien désemparés, comme des soldats errant sur le champ de bataille, le lent épilogue où se détachent le violon solo, la clarinette et le cor, laissera, jusqu'au silence, les questions sans réponse.

Y compris celle de l'accueil - mitigé - que devait recevoir l'œuvre : son ampleur, sa difficulté aussi rebutèrent ses premiers auditeurs. Peut-être, après la Septième créée un an plus tôt, en attendaient-ils trop… comme Prokofiev, qui la trouva un peu longue : « Elle ne m'a pas autant ravi que je le pensais (…) Elle gagnerait à n'être composée que des premier, troisième et cinquième mouvements… » Peu à peu cependant, la Huitième Symphonie devait s'imposer au répertoire, comme souvent pour les œuvres de Chostakovitch, d'abord… aux Etats-Unis. Plus encore qu'un des grands témoignages artistiques sur la Seconde Guerre mondiale, elle est sur un plan purement musical, une des œuvres majeures du XXe siècle.

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
La 12e Journée de l'A.SAX à Paris

Jeudi 24 novembre à 10h au Centre de documentation de la musique contemporaine de Paris, Salle Messiaen.

Cette « 12e Journée de l'A.SAX » aura pour thème le « Quatuor de saxophone».

De 10h à 19h, les relations quatuor / compositeurs, la création contemporaine, la pratique de l'arrangement… et un concert seront au programme.

Avec la participation de Jean-Yves Fourmeau (saxophoniste, Quatuor Jean-Yves Fourmeau), Gilles Tressos (saxophoniste, Quatuor Habanera), Philippe Portejoie (saxophoniste, compositeur, Quatuor Inédit).

Informations complémentaires :
https://is.gd/QRk9RD
https://is.gd/KPbFOj

Renseignements : claude.georgel@asaxweb.com/ https://www.asaxweb.com

Entrée libre – sans réservation.
Centre de documentation de la musique contemporaine
16 place de la Fontaine-aux-Lions, 75019 Paris.

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Babel Quartet au Jazz et la java de
Fougères

Ça commence comme ça. Par des mots chantés, slammés.

La voix est libre. On écrit des histoires sans savoir où elles vous mènent.

Jusqu'à la rencontre.

À un carrefour, rimeur, violoncelliste, pianiste et Dj font quartet.

Pour casser les cloisons. Mélanger les mondes.

S'en faire un à soi, fait de groove, d'arpèges, de coups d'archet et du craquement des platines.

De coups de gueule. Rage et rêve. Pour se marrer aussi.

Chant-son. En français dans le texte.

Il y a une ombre de Marcœur, un léger nuage de Ferré, surtout de la poésie, de la bonne musique.

8 € / 6 € / 5 € .Association Le Jazz et la Java, 18, rue de Vitré 35 300 Fougères

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
The Puppini Sisters en tournée

Le trio vocal glamour The Puppini Sisters, formation vocale swing au style années 30-50, sera en concert au Batacla à Paris le 28 novembre, à Lyon le 29, à Marseille le 30 30 et à Nantes le 1er décembre. Emmené par Marcella Puppini, le trio existe depuis 2004 et a publié deux disques de reprises de standards de la grande époque du swing. Les chanteuses de The Puppini Sisters viennent d'horizons divers: Marcella Puppini du monde de la mode et de la dance music, Stephanie O'Brien des chorales classiques, Kate Mullins du rock metal.

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
David Linx : un nouvel album et
des concerts

David Linx, publie « Rock my Boat » chez Naïve, un album pour lequel il est accompagné par André Ceccarelli à la batterie, et Rhoda Scott à l'orgue Hammond, des invités se joignent à l'aventure : Julien Lourau, Nguyen Lê, Christophe Wallemme, Lenine...).

Il sera en concert le 25 novembre au New Morning à paris, dans cette formation, et comme invités les guitaristes Manu Codja, Nguyen Lê, et Sergio Krakowski au pandeiro (petit tambourin brésilien).

Et le 27 novembre à Antony, dans le répertoire de « Le Coq et la pendule » en hommage à Claude Nougaro, avec Ceccarelli.

 

 

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Bill Frisell en concert à Paris.

Le guitariste américain Bill Frisell, dont la sonorité évoque celle de la pedal steel guitar, publie à la suite deux albums pour Naïve.

Le premier, « All we are saying », rend hommage à la musique pop et rock de John Lennon, le second entièrement à cordes, fournira le programme de spn concert au New Mornng à Paris le 28 novembre.

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Décès du chanteur Jeff Joseph
à la Martinique

Le chanteur Jeff Joseph, reconnu dans l'ensemble du bassin caribéen et par les Antillaise de métropole, est mort à l'âge de 58 ans des suites d'un accident vasculaire cérébral, mercredi après-midi au CHU de Fort-de-France.

Durant ses quarante années de carrière, le chanteur a fusionné les rythmes, du calypso au reggae en passant par le funk.

Il fonda le groupe dominicain Grammacks dont il fut le chanteur emblématique, puis le groupe guadeloupéen Volt Face.

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Un article de Granma  dénonce la
vulgarité de la musique cubaine

Un article de Granma dénoncé mercredi la vulgarité de la musique populaire cubaine.

L'article fustige « l'inexplicable » diffusion de morceaux de reggaeton, mélange de rap, funk et salsa, par les radios et télévisions.

La polémique a été déclenchée par la chanson Chupi-Chupi d'Osmani Garcia, qui évoque les sucettes populaires dans des allusions sexuelles très explicites.

« La culture cubaine n'a rien à voir avec la vulgarité », a affirmé Orlando Vistel, président de l'Institut cubain de la Musique, dont l'intervention a entraîné le retrait du morceau de la compétition des prix Lucas des vidéo-clips cubains.

Le texte s'élève également contre le « machisme » incarné par cette musique. « Les textes de telles chansons offensent également par leur projection machiste qui ramène la relation sexuelle à celle qu'on aurait avec une malheureuse prostituée », estime le journal.

Le ministre de la Culture Abel Prieto s'est pour sa part opposé à toute censure et a recommandé de lutter contre cette tendance avec « notre propre musique traditionnelle ». 

Cela n'est pas sans rappeler les déboires de plusieurs rappeurs français, qui avaient subit de violentes campagnes, et d'importantes déprogrammations.

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Revue de presse musicale
culturelle et citoyenne

 (AFP/L'Express) Décès de la soprano Montserrat Figueras
 (AFP/Le Point) Décès de la grande cantatrice Sena Jurinac
 (France TV) La « Pasión » selon Roberto Alagna à l'Opéra royal de Versailles
 (France TV) Monte-Carlo Jazz Festival : une édition 2011 rutilante !
 (Europe 1) Marcel et son orchestre se sépare
 (France TV) Serge Lama interrompt sa tournée
 (La Croix) Deux Mozart sinon rien
 (France TV) Mort du batteur de jazz Paul Motian
 (FRance Musique) Paul Motian, la disparition d'un monde
 (France TV) Scorpions vu par les fans avant leur concert d'adieu de Paris Bercy
 (France TV) Lenny Kravitz : un second Bercy en juin
 (AFP/Les Échos) Centre national de la musique : subvention réduite à 500.000 euros
 (AFP/Le Point) L'actrice de « Donoma » émue de présenter à Alger le film sorti mercredi en France
 (AFP/DNA) « Toute ma vie en prison », un film militant contre la peine de mort
 (AFP/La Croix) Mélanie Laurent passe avec succès derrière la caméra pour « Les Adoptés »
 (AFP/NVI) « Les Lyonnais » : Olivier Marchal passe du côté des truands avec son 4e film
 (Comme au cinéma) Pataquès au Sénat sur le plafonnement des aides au CNC finalement entériné
 

jeudi 24 novembre 2011

______________________________
Les petites annonces musicales

Une petite formation vocale de Marseille cherche un ténor
Une nouvelle écolle de musique associative à Chelles (77)
Cours particuliers de violon à Auvers-sur-Oise (95)
Cours particuliers de flûte traversière à Champigny-sur-Marne (94)
Piano droit Morgenstern à vendre à Plestin-les-Grèves (22)
Play Notes, école de musique à domicile recherche un professeur de piano à Rueil-Malmaison (92)
Play Notes, école de musique à domicile recherche un professeur de violon à Meudon (92)
Play Notes, école de musique à domicile recherche un professeur de piano  à Sèvres (92)
Cours particuliers de guitare électrique à Aivers-sur-Oise (95)
Cours partuculiers de guitare à Boulogne-sur-Mer (62)


©Musicologie.org 2011 

À propos du site

S'abonner au bulletin

Biographies
Encyclopédie musicale
Discographies
Articles et études
Textes de référence

Analyses musicales
Cours d'écriture en ligne

Nouveaux livres
Périodiques

Petites annonces
Téléchargements

Presse internationale

Colloques & conférences

musicologie.org
56 rue de la Fédération
F - 93100 Montreuil
06 06 61 73 41