vendredi 22 novembre 2014
Music, art and literature: changes and exchanges in the medieval Islamicate worldCall for Papers 22-25 novembre 2014, Washington Deadline for submissions: Friday, Feb. 7th, 2013 Conference: 48th Annual Meeting, Middle East Studies Association (MESA), November 22-25, 2014 Conference web-site: https://www.mesa.arizona.edu/Location: Marriott Wardman Park Hotel, Washington, DC This panel will consider how artistic exchanges, borrowings, and hybridization influenced social and cultural changes in the medieval Islamicate world between the 7th and 15th centuries. While some of the most visible examples of artisans and entertainers were slaves, such as singing slave girls (qiyan), the ranks of artists included free and unfree men, women and cross-gendered individuals. In what ways did artists, either as symbols or as cultural icons, impact intellectual discourse? How and why did social and legal status of artisans and musicians change? What modes of exchange and collaboration were used in the development of the arts? In addition to music, visual arts, and literature, studies that examine craft and skilled work, such as ceramics, metal and stonework, are welcome, as are those focused on economics of trade, the role and status of artisans (free, unfree), religious and moral rhetoric, gender identity and performance, and individual artists. Those projects examining the effect of artistic exchanges from the standpoint of reciprocity and collaboration with early medieval Europe, India and China are of interest as well. Please submit an abstract of 300 – 400 words to Lisa Nielson email len12 at case.edu. Kindly use the heading “MESA, 2014” in the subject of your question or submission. Email submissions only. Participants will be required to upload their abstract to the MESA website before February 15, 2014. You must also have a current MESA membership by this date in order to submit an abstract.
Le Magic Circus de Thierry Escaich
Thierry Escaich, Magic Circus : musique de chambre avec vents. Indésens ! 2014 (INDE 060). Œuvres enregistrées en 2008, 2011, 2012, 2013. Par Alain Lambert ——J'avais écrit en mars, lors du festival Aspects des musiques d'aujourd'hui [voir la chronique], beaucoup de bien des deux pièces de Thierry Escaich : Nun Komm, au violon seul, pour son équilibre entre recherche et musicalité. Mais surtout le quintette pour cordes et piano La Ronde, où la mélodie se transforme et se réinvente tout au long de cette subtile et magnifique pièce.
Journée d'étude consacrée à Jean-Christophe Averty en sa présenceLe 22 novembre 2014, Paris INHA, Galerie Colbert, 2 rue Vivienne, 6 rue des Petits Champs, 75002 Paris. « Surréalistes et rebelles » Jean-Christophe Averty a côtoyé plusieurs membres du groupe surréaliste et l'une des rencontres les plus marquantes de sa carrière aura lieu à Cadaqués en 1966 où il réalise le magistral Autoportrait mou de Salvador Dalí. Si certaines émissions réalisées par Jean-Christophe Averty sont clairement associées à l'avant-garde théâtrale par le sujet mis en scène, le surréalisme va nourrir de façon constante l'œuvre du réalisateur dans des émissions de différents registres, allant des dramatiques aux variétés où l'absurde côtoie bien souvent l'humour noir comme dans Les Raisins verts. Averty se passionne pour la transformation de l'image par le truchement de l'électronique et réunit les arts tels que le théâtre, la musique et la danse. L'objet de cette journée d'étude sera d'offrir un éclairage sur le rôle du surréalisme et de l'avant-garde dans l'œuvre de Jean-Christophe Averty. Comment sa technique télévisuelle renouvelle le genre, se rapproche du surréalisme ou bien s'en émancipe ? Matinée : 10h00 – 12h30 Accueil et première partie des communications François Jost : Cinq raisons d'aimer Averty Jacques Besson : Étude de différentes thématiques présentes dans l'œuvre de J.-C. Averty illustrées par le documentaire Si Averty c'est moi, avertissez-moi ! Bernard Papin : À partir des Raisins verts Déjeuner au restaurant de l'INHA (dans la galerie Colbert) Après-midi : 14h-19h suite des communications, conclusions. François Naudin : Du bois dont on fait les flèches Jill Gasparina : Figures de l'ubiquité chez J.-C. Averty Henri Béhar : Marcel Duchamp illustrateur de Jarry dans Le Surmâle de J.-C. Averty Pause café Sandra Lischi : Entre télé et art vidéo : quelques notes d'imagination électronique Caroline Barbier de Reulle : L'Autoportrait mou de Salvador Dalí Anne Legrand : La passion du jazz pour une télévision d'avant-garde
Organisée par Caroline Barbier de Reulle, Henri Béhar et Françoise Py Sérénades à Vincennes avec les solistes de l'Orchestre des Pays de Savoie et de l'Orchestre de chambre de Genève
Nicolas Chalvin. Photographie @ Philippe Hurlin.
Solistes de l'Orchestre des Pays de Savoie Nicolas Chalvin · Direction Gran Partita Wolfgang Amadeus Mozart Cyrille Lehn Antonín Dvořák La soirée s'annonce « cuivrée » car l'orchestre va interpréter des œuvres essentiellement composées pour instruments à vent, c'est-à-dire pour beaucoup d'instruments en cuivres, sans oublier les instruments en bois, bien entendu ! Les sérénades du programme se répondent d'un siècle à l'autre, de Mozart à Dvořák, déroulant tout leur charme aux oreilles du spectateur; une oeuvre nouvelle du compositeur français Cyrille Lehn complètera la soirée : un opus « lunaire » dédié aux instruments à vent. De Mozart, on pourra entendre La Gran Partita, sérénade no 10 en sept mouvements pour 12 vents (hautbois, clarinettes, cors de basset et bassons par deux, quatuor de cors) et contrebasse. C'est certainement l'une des plus belles œuvres dfe Mozart destinées aux instruments à vent. La richesse raffinée des combinaisons entre instruments, solistes tour à tour, l'exquis dosage des timbres, l'inépuisable invention en font un chef-d'œuvre. La pièce de Cyrille Lehn intitulée Sous les nuages, la lune, pour instruments à vent, vient s'intercaler avec intelligence dans le programme qui se poursuivra avec la sérénade pour vents opus 44 de Dvořák. L'oeuvre est résolument héritière de la tradition classique avec sa forme en quatre mouvements, mais puise ses rythmes et son jaillissement mélodique dans la musique populaire de la région de Bohème. Elle regarde aussi vers la Méditerranée, empruntant à la France une forlane d'origine italienne. S'ouvrant par une sorte de marche pleine de verve, la sérénade de Dvořák se poursuit par une danse tchèque nommée « soudeska » puis développe un discours tendre et charmeur dans le troisième mouvement avant de conclure dans un climat de joyeuse fête : rien que de plus norma pour un concert anniversaire ! Auditorium de la Ville de Vincennes, 98, rue de Fontenay, 94300 Vincennes (métro 1, RER A, parking). 27 € (2e cat, placement libre), 39 € (1re cat, places numérotées), 14 € ( moins de 25 ans). 01 43 98 68 33. resa@primalamusica.fr, https://www.primalamusica.fr.
©musicologie.org 2014 Samedi 22 Novembre, 2014 13:23
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