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Grimm Friedrich Melchior
1723-1807

Né à Ratisbonne, 26 décembre 1723, mort à Gotha, 19 décembre 1807.

Diplomate, homme de lettres.

Son père, Jean Melchior Grimm (1682-1749) est un pasteur luthérien, sa mère, fille de pasteur, est Sibylle Koch (1684-1774).

Il est scolarisé au Gymnasium poeticum luthérien de sa ville natale. Encore lycéen il lit le Versuch einer Critischen Dichtkunst (Essai d'une poésie critique) et entame un échange épistolaire avec son auteur, Jophann Christoph Gottsched et son épouse Luise Adelgunde Victorie Gottsched.

De 1742 à 1745, il étudie la théologie à l'université de Leipzig, puis également le droit, mais il s'intéresse davantage à la littérature et à la philosophie. Il a Gottsched et Johann August Ernesti comme professeurs.

Après l'échec de son adaptation théâtrale en 5 actes de Die asiatische Banise, un roman de Heinrich Anselm von Ziegler und Kliphausen (1663-1697), il se consacre à la critique et à la traduction d'ouvrages français, particulièrement ceux de Voltaire.

Grimm est friand des opéras de Johann Adolf Hasse. Sa succession contiendra un certain nombre de partitions, majoritairement des œuvres de Hasse, y compris quelques autographes.

Le 13 septembre 1745, il assiste à l'élection de l'empereur François Ier du Saint-Empire, à Frankfurt am Main, puis retourne à Ratisbonne, où il occupe pendant quatre ans le poste de précepteur dans la maison du comte de Schönberg.

En 1747, Gottlob Ludwig von Schönberg s'installe à Paris avec Grimm dans sa suite, précepteur du jeune frère du comte.

En février 1749, il assiste à une représentation d'Orphée, un opéra de Jean-Philippe Rameau.

Il est nommé secrétaire d'August Heinrich von Friesen, colonel dans l'armée de Friedrich August II de Saxe ayant rejoint son oncle, le maréchal général Moritz de Saxe, dans l'armée française en 1746.

En août 1749, lors d'une fête donnée par le diplomate et baron Ulrich von Thun (1707-1788), dans une maison de campagne de Fontenay-sous-Bois appartenant à Frédéric Louis de Saxe-Gotha-Altenburg, Grimm rencontre le théologien Emanuel Christoph Klüpfel et Jean-Jacques Rousseau. Par ce dernier il fait la connaissance de Denis Diderot. Rousseau écrit que Grimm possédait un clavecin et qu'il devint le lecteur du fils aîné de Frédéric III de Saxe-Gotha-Altenbourg.

En août 1750, Grimm commence à écrire des articles pour le Mercure de France, sur Luther et la littérature allemande contemporaine. Il fréquente les encyclopédistes qu'il nomme par jeu « l'Église des sages ». Introduit par Jean-Jacques Rousseau, il fréquente assidûment le salon de Louise d'Épinay à partir de 1751.

La « Guerre des Bouffons » éclate en 1752, entre les partisans de Giovanni Battista Pergolesi et les représentants de la Tragédie lyrique d'après le modèle de Jean-Baptiste Lully. Grimm se range dans le parti des philosophes et des novateurs. On a suggéré que son enthousiasme pour l'opéra (français) était inspiré par l'amour qu'il portait à la cantatrice Marie Fel... et qu'elle ne lui rendit pas.

Marie Fel par Quentin de la Tour.

Grimm était apprécié à la cour et dans les salons de l'avant-garde politique et artistique, par exemple chez Marie Thérèse Rodet Geoffrin et Suzanne Curchod, l'épouse de Jacques Necker.

En 1753, Grimm tombe amoureux de Madame de Fontenay. La même année, il prend la suite de l'abbé Guillaume Thomas François Raynal qui depuis 1747, envoie ses « Nouvelles littéraires »  à la cour de Saxe-Gotha. « La Correspondance littéraire, philosophique et critique » consiste en des lettres contenant des portraits littéraires, des anecdotes, des critiques et des récits de la vie sociale, culturelle, artistique, scientifique, technique, de Paris et de la cour. Cette Correspondance est écrite à la main à Zweibrücken pour éviter la censure française, et apportée aux abonnés par courrier diplomatique. Un abonné à la « Correspondance » devait s'engager à ne pas transmettre les feuilles et à ne rien faire imprimer à partir de celles-ci. La Correspondance devient l'un des journaux les plus importants du xviiie siècle, avec un lectorat restreint à l'aristocratie. Parmi les lecteurs figurent une quinzaine de princes allemands :

Les trois frères de Friedrich II, Luise Dorothea von Saxe-Meiningen, Karoline Luise von Hesse-Darmstadt ; Gustav III av Sverige et sa mère Luise Ulrike von Preußen, la tsarine Catherine II, Dmitri Alexeyevich Golitsyn, Stanislav II von Preußen, le grand-duc de Prusse, le grand-duc de Toscane, les margraves de Baden-Durlach et d'Ansbach, la princesse de Nassau-Saarbrücken, Frédéric-Michel de Palatinat-Birkenfeld et Charles-Auguste von Weimar. Frédéric II von Preußen.

Grimm y écrit sur l'Académie française, le Salon de Paris, les architectes Jacques-Germain Soufflot, Claude-Nicolas Ledoux, le cas de Jean Calas, le zoologiste Buffon, le mathématicien et physicien Leonhard Euler, les problèmes entre Rousseau et David Hume, Condorcet et les frères Montgolfier. Pendant ses absences temporaires, dues à la maladie ou à l'un de ses nombreux voyages, les amis de Grimm, Denis Diderot et Louise d'Épinay, assuraient une présence continue.

Louise d'Épinay.

En 1754, il se rend dans le sud de la France en compagnie de Paul Henri Thiry d'Holbach. Il apprécie son brûlot antichrétien : Le christianisme dévoilé.

August Heinrich von Friesen meurt subitement au château d'Amboise en 1755. Grimm est alors embauché comme secrétaire de cabinet de Louis Philippe Ier de Bourbon, duc d'Orléans. À ce titre, il accompagne Louis-Charles-César Le Tellier, duc d'Estrées, dans sa campagne de Westphalie d'avril 1756 à septembre 1757, année où Jean-Jacques Rousseau rompt sa relation avec Grimm.

En été 1758, Grimm rend visite au médecin Théodore Tronchin à Genève avec Madame d'Épinay, qui est peut-être enceinte de lui. Il voyage à nouveau en 1759, avec Mme d'Épinay, à Genève.

Au début de l'année 1759, il est nommé envoyé de la ville de Frankfurt am Main auprès de la cour française. En août de la même année, il critique la nomination du duc Victor-François de Broglie comme maréchal, dans une lettre interceptée par les services du roi Louis XV, il perd son emploi.

En 1762, Grimm rend visite à son ami Charles Eugène Gabriel de La Croix de Castries.

Lorsqu'en novembre 1763, Leopold Mozart, qui voyage à travers l'Europe avec ses enfants prodiges, passe à Paris, Grimm est un des plus fervents soutiens et devient leur mécène avec le duc d'Orléans.

En 1768, Grimm est conseiller de légation des intérêts du duc Ernst II von Saxe-Gotha-Altenburg à Paris, avec un traitement annuel de 1 600 livres.

En 1771, Grimm accompagne le prince de Hesse-Darmstadt à Londres. En 1772, Karoline de Hesse-Darmstadt lui octroie une baronnie avec ses revenus. En 1773, le prince de Hesse-Darmstadt et Grimm se rendent à Berlin. Grimm rencontre Heinrich von Preußen à Rheinsberg. Ils se rendent ensuite avec Wilhelmina Luisa von Hesse-Darmstadt à Saint-Pétersbourg pour son mariage avec le Tsarevich Paul.

En 1772, il passe de conseiller à conseiller privé de la légation veillant aux intérêts du duc Ernst II de Saxe-Gotha-Altenburg à Paris.

En février 1773, il laisse la « Correspondance littéraire », aux mains de son secrétaire Jacob Heinrich Meister (1744-1826). De bimensuelle, la lettre devient mensuelle. Grimm entreprend alors de nombreux voyages qui le mènent en Russie, Allemagne, Danemark, Italie, Prusse…

Grimm aimait jouer aux échecs et aux cartes avec Catherine II de Russie. Elle commande par son intermédiaire, au peintre Jean Huber, des dessins représentant des pans de la vie de Voltaire. Du 9 octobre 1773 au 5 mars 1774, Denis Diderot, séjourne également à la cour de Catherine II.

Le 1er novembre, Grimm et Diderot, sont admis à l'Académie des sciences de Russie en tant que membres étrangers sur les instructions de la tsarine. En raison de son athéisme et des intrigues à la cour, Diderot n'y a guère de succès. Lorsque Diderot critique le style de gouvernement de Catherine II, Grimm s'éloigne de lui.

De retour à Paris, Grimm achète des œuvres d'art pour la Tsarine. Il gère d'importantes sommes d'argent avec lesquelles il achète des tableaux, des statues, des pierres taillées, des cartes et des ouvrages de voyage, des livres et des partitions d'opéra. Il payait aussi les pensions que l'impératrice accordait aux hommes de lettres dans le besoin.

En 1774, Grimm fait visiter Paris au jeune Carl August von Sachsen-Weimar-Eisenach.

À partir de 1775, il est ministre plénipotentiaire du duc Ernst II. Ludwig von Sachsen-Gotha-Altenburg à la cour de France avec 4000 livres de traitement annuel.

En 1776, il est de nouveau à Saint-Pétersbourg. Grimm recommande à Catherine II Johann Friedrich Reiffenstein comme agent artistique à Rome.

Le 8 octobre 1777, Grimm rend visite à Johann Wolfgang Goethe au château de Wartburg près d'Eisenach.

En 1778, il achète la bibliothèque de Voltaire (mort le 30 mai), pour Katherine II. La même année, Mozart est de nouveau à paris. Sa mère meurt le 3 juillet. Grimm accueille le jeune musicien trois mois durant dans son appartement du 5 rue de la Chaussée d'Antin (qui appartient à son employeur). Joseph Bologne, chevalier de Saint-Georges y a vécu quant à lui pendant deux années.

En 1779, Madame d'Épinay est malade. Grimm s'occupe d'elle jusqu'à ce qu'elle meurt.

Le 7 octobre 1781, Goethe se rend à Gotha pour rencontrer Grimm. La même année, Diderot publie la Lettre apologétique de l'abbé Raynal à M. Grimm. Elle marque la fin de leur amitié. Diderot reproche avec verve à Grimm, d'être passé du côté des puissants. Elle n'a jamais été envoyée ou publiée et a été découverte en 1948.

Grimm et Diderot.

En 1783, il reçoit 100 000 roubles de Catherine II de Russie pour acheter des œuvres d'art, auprès de particuliers. Cette même année Madame de Fontrenay décède. Il s'occupe des intérêts de sa petite fille Émilie de Belzunce qui enfant logeait chez lui.

En 1784, années de la mort de Diderot, il organise le séjour d'Heinrich von Preußen à Paris.

En 1786, il recherche un mari pour Émilie de Belzunce et passe plusieurs journées chez le comte du Bueil. Il reçoit de Catherine II la grand-croix de Saint-Wladimir de seconde classe.

En 1787, Catherine II donne à Grimm l'ordre de brûler toutes les lettres qu'elle lui adresse, ne voulant pas que sa correspondance, avec lui ou Voltaire, soit publiée. La même année, il organise le mariage d'Émilie de Belzunce avec Alexandre Louis Auguste du Roux de Chevrier, Comte de Bueil Marquis de Varennes. Grimm a obtenu de Catherine II une dot de 12 000 roubles. Catherine Hélène Alexandrine du Roux de Chevrier, comtesse de Beuil naît le 13 janvier 1787 à Paris.

En 1791, Grimm fait un bref retour à Paris pour récupérer ses biens avant que ceux-ci ne soient confisqués par la Révolution à laquelle il est opposé, étant partisan de l'absolutisme éclairé.

Il quitte définitivement la France, il se rend à Karlsbad, Frankfurt am Main, Aachen où il retrouve Émilie et sa fille, Kassel et Gotha, ils logent dans le palais du duc et dans la maison du prince.

En 1794, Catherine II envoie 20 000 roubles « pour faire bouillir la marmite ».

En 1796, dans l'une de ses dernières lettres, la tsarine nomme Grimm conseiller d'État russe. Il devait représenter ses intérêts auprès du district de Basse-Saxe en tant qu'envoyé russe à Hambourg. Le 17 janvier 1797, lors d'un voyage de retour de Lübeck à Hambourg, il devient soudainement aveugle.

Grimm et Émilie de Belzunce et sa fille demeurent un temps à Altona, puis déménagent à Brunswick, où vit le grand-père d'Émilie.

Sur l'invitation d'Ernst II de Saxe-Gotha, ils reviennent à Gotha, il rencontre Goethe de nouveau.



Écrits relatifs à la musique

Lettre de M. Grimm sur Omphale, tragédie lyrique, reprise par l'Academie Royale de musique le 14 janvier 1752.

Le petit prophète de Boehmischbroda (50 exemplaires conservés)

Les vingt-et-un chapitres de la prophètie de Gabriel Johannes-Nepomocenus-Franciscus de Paula Waldstorch, dit Waldstoerchel, qu'il appelle sa vision.

Autres écrits

Correspondance inédite (1794-1801) du baron Grimm au comte de Findflater. Paris, Presses Universitaires de France 1934

Correspondance inédite de Friedrich Melchior Grimm, recueillie et annotée par Jochen Schlobach. München, Fink 1972

Correspondance littéraire. Paris, Furne 1829-1831

Correspondance littéraire, philosophioque et critique, adressée à un souverain d'Allemagne depuis 1770 jusqu'en 1782 par Raynal, Grimm et Diderot; et poursuivie jusqu'en 1789 par Meister. 16 v. publiée par Maurice Tourneux. Garnier, Paris 1876-1881

Gazette littéraire de Grimm. Paris, E. Didier 1854

Historical & Literary memoirs and anecdotes selected from the correspondence of Baron Grimm and Diderot with teh Duke of Saxe-Gotha, and many other distinguished persons, between the year 1753 and 1790, translated from the french. London, H. Colburn 1814; 1815

Ici sont écrits les vingt-un chapitres de la prophétie de Gabriel Johannes Nepomecenus Franciscus Paula Waldstorch, dit Waldstoerchel, natif de Bochmischbroda en Bohême [...] Il les a écrits de sa main & il les appelle sa vision. S.l., 17--

La correspondance inédite de Grimm et de Diderot. Paris, H. Fournier 1829

La correspondance littéraire 1er janvier-15 juin 1760. Texte établi et annoté par Sigun Dafgrd. Uppsala, Almquist & Wiksell 1980; [année 1761], par Ulla Kölving 1978; [année 1763], par Agneta Hallgren 1979

Lettres de grimm à l'impératrice Catherine II, publiées sous les auspices de la Société impériale d'histoire russe. Sanktpeterburg, Akademii Nauk 1886

Bibliographie

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 Jean-Marc Warszawski
Dictionnaire des écrits relatifs à la musique
Novembre 1995-4 juillet 2021
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