Baptisé à Stuttgart le 19 mai 1616, mort au
Château
d'Héricourt (Montbéliard) le 6 ou 7 mai 1667.
Sa famille est originaire de Halle. Son père, Basilius
(1575-1637), entre en 1599 comme ténor à la chappelle ducale du
Württember à Stuttgart, puis y est maître de chapelle en 1621. Plusieurs
de ses enfants sont employés à la chapelle ducale, mais
rien n'indique un éventuel service de Johann Jakob.
Matthaeus Merian, Stuttgart : le château avec le jardin
d'agrément, 1620.
Froberger a sans doute bénéficié d'une formation
musicale familiale et peut-être a-t-il étudié avec J. U. Steigleder
organiste de la cour dès 1627. En 1637, à la mort de leur père, Johann
Jakob et son frère Isaac vendent sa bibliothèque musicale à la cour du
Württemberg. Parmi la centaine de partitions figurent peut-être celles
amenées par les nombreux musiciens allemands et étrangers invités à la
cour. Comme le luthiste anglais Andrew Borell qui donne des cours en
1621 à l'un des fils de Basilius Froberger.
Johann Jakob Froberger, Tombeau fait à Paris sur la mort de Monsieur Blancrocher (FbWV 632), par Sergio Vartolo (clavecin).
Index de la Bibliothèque musicale de Basilius
Froberger
D'après Siendentopf Henning, Johan Jakob Froberger. Suttgarter Verlagkontor, Suttgartt
1977, p. 26-30.
Historia der frölichen Aufferstehung unsers Erlösers Jesu Christi,
Authore Heinrich Schützen.
Soavi Fiori Motetti, Magnificat et Canzoni Concertati, Del Giacinto
Bondioli.
Paduane, Galliarde ä 2. 3. 4. Voci, del Carlo Farina.
Christlicher Concerten mit 3. 4. undt 5. stimmen, Authore Herman
Schein.
Taffel Consort mit 4. stimmen, Thomas Simpson. NB
Motetti Cinque Vocum, Authore Johanne Brunetto.
Motetti ä 5. Voci, Concertati, Del Bizarro Academico Capricioso.
Contrapunctus 4. et 5. Vocum, Compositus ab Adamo Gumbelzhaimero.
Motetten mit B. stimmen, Authore Johan Staden.
Christliche Concerten mit 2. 3. Vocum. Authore Samuel Scheidt.
Kirchen Music mit underschidlichen arthen von 2. 3. 4. 5. 6. 8. 9. 10.
11. 12. undt 14. Stimmen Authore Johan: Staden. NB
Christlicher Concerten, ander theil, mit 2. 3. undt mehr stimmen
Componirt, durch Samuel Scheidten.
Intraden, Canzonen, Thomas Simpson ä 6. NB
Quarta Pars Continens, Paduan: Galliard: Courant: Canton i 3. et 4.
Voci. Authore Samuel Scheidten.
Ander theil der Waldliedlein, ä 3. Authore Herman Schein.
Hymenaei oder Brautlieder, mit 12. stimmen, Authore Pau-lus
Rivander.
Musicalischer Streit mit 3 stimmen, Authore Thoma Sellio.
Siren Coelestis 2. 3. und 4. stimmen, Gregorii Victorini.
Arcadische Hirtenfreud, mit 3. stimmen, Authore Thoma Sellio.
De vitae Fugacitate Aria, Cinque Vocum Componirt durch Heinrich
Schützen.
Vers 1634, Froberger gagne Vienne. Selon Mattheson, il
aurait été introduit à la Cour par un ambassadeur suédois, ce que rien ne
peut confirmer.
En 1637, son père, sa mère et sa sœur succombent dans
une épidémie de peste. De début janvier 1737 au 30 septembre de la même
année, il est organiste à la cour de Vienne où le 15 février 1737,
Ferdinand III est élu empereur. Froberger obtient, après semble-t-il un
premier refus, la possibilité de se rendre à Rome pour étudier auprès de
Frescobaldi avec une bourse (200 Gulden) de novembre 1637 à mars 1641. On
fait également pression pour qu'il se convertisse au catholicisme.
D'avril 1641 à octobre 1645 il reprend sa
fonctions d'organiste à la cour de Vienne et celle de musicien de la
chambre.
En 1645 il fait un nouveau voyage à Rome et étudie
auprès du Jésuite Athanasius Kircher qui publie pour la première en 1650
dans sa Musurgia Universalis une œuvre de Froberger. Il aurait adopté le
dispositif de Kircher, l'«arca musurgica», une machine pour composer
dans cinq styles différents : récitatif, église, fugue, danse et
musique instmentale, et pour élever le nombre des voix dans les
combinaisons polyphoniques.
Sur le chemin du retour, il aurait fait une
démonstration de « l'arca musurgica » devant les princes de Florence et de
Mantoue qui l'auraient remercié par des présents et à Vienne, selon le
témoignage d'un prêtre confesseur, présenté ses règles de composition à
l'empereur.
Froberger offre à l'empereur le Libro secondo di toccate, fantasie, canzone, allemande, courante,
sarabande, gigue et altre partite (manuscrit), calligraphié et décoré
par Johann Friedrich Sautter, un ami de Froberger à la cour du
Württemberg. Sur le chemin du retour, il séjourne également à
Regensbourg.
à cette époque son nom circule dans les milieux
intellectuels grâce au diplomate anglais William Swann qui, par une
lettre adressée le 15 septembre 1649 à Constantijn Huygens, secrétaire du
duc d'Orange, vante ses mérites de claveciniste.
Dresde en 1749, huile de Bernardo Bellotto.
Il est à Dresde en Hiver 1649-1650, où, selon Mattheson
il aurait concouru au clavecin avec son ami l'organiste Matthias Weckmann
(1621-1674). Rien ne confirme ces faits. Peut-être a-t-il eu contact, lors
de son séjour Dresde avec Schütz et Christoph Bernhard
En 1650, il est à Bruxelles (voir notice de la Toccata II), certainement dans la suite du frère de l'empereur,
l'archiduc Leopold Wilhelm. Sur le trajet de Bruxelles à Louvain, il est
dévalisé par des soldats (Lamentation sur ce que j'ay été volé et se joüe à la discretion et
encore mieux que les soldats m'ont traité, notice au premier mouvement
de la suite XIV).
Le 26 septembre 1652 il est à Paris où l'on donne un
concert en son honneur aux Jacobin, pour régaler seulement un certain piffre d'Alemand, organiste de
l'Empereur et du sieur Archiduc Léopold déclare un journaliste
parisien. Au cours du séjour parisien, son ami, le luthiste Blancrocher se
tue en tombant dans des escaliers. Il compose comme ses amis Louis
Couperin et Denis Gaultier un Tombeau de Blancrocher.
Il est ensuite à Londres après un voyage aventureux.
Victime de pirates il est de nouveau dévalisé (Plainte faite à Londres pour passer la melancholie, notice au
premier mouvement de la suite XXX). Selon Mathesson, Froberger a failli
perdre la vie pendant le voyage du retour, dans un accident pendant la
traversée du Rhin (Allemande, faite en passant le Rhin dans une barque en grand péril,
dans la suite XXIX nova)
Du 5 Avril 1653 à fin juin 1657, il est à nouveau à la
cour impériale de Vienne, mais on ne connaît pas son emploi. En 1656 il
déplore la mort du roi de Rome (Lamento sopra la dolorosa perdita della Real Mstà de Ferdinando IV, Rè
de Romani, notice au premier mouvement de la suite n° 6, manuscrit
autographe, Bibliothèque Nationale de Vienne). Ferdinand III meurt le
3 avril 1657. Froberger reçoit sa lettre de licenciement le 30 juin. On n'en
connaît pas les raisons qui sont peut-être liées à une réoganisation de la
chapelle sous Léopold Ier.
Les dernières années de Froberger sont connues par les
échanges épistolaires entre la duchesse Magdalena Sibylla de
Württemberg-Mömpelgard [Monbéliard] (1648-1681) et Constantijn Huyghens, retrouvés à la
fin du XIXe siècle.
Après son départ de Vienne, Froberger retourne dans les
milieux de la cour du Württemberg, dans des conditions imprécises, auprès
de la duchesse Sibylla. Elle Cultive la musique, puis s'adonnera à la
théologie. Son époux depuis 1647 est le duc Leopold Friedrich von
Württemberg, comte de Mömpelgard [Montbéliard] qui est tué dans un
accident de chasse en 1662. La duchesse se retire alors dans sa propriété
proche d'Héricourt.
Le nom de Froberger n'apparaît à aucun titre dans les
documents administratifs d'Héricourt. Il n'a pas à voyager pour assurer
son service de maître de musique de la duchesse, il a un logis à
Héricourt. D'après une lettre de Huyghens, Froberger aurait, peu avant sa
mort, séjourNé à Mayence, à la cour de l'archevëque Johann Philipp von
Schönborn.
Il meurt le 6 ou le 7 mai 1667 d'une crise cardiaque au
réfectoire du château d'Héricourt, pendant sa prière. Les écrits de
la duchesse et du médecin ne concordent pas exactement. Il est enterré
selon ses vœux à Bavilliers (territoire catholique).
Diverse … curiose partite, di toccate, canzone, ricercate,
alemande, correnti, sarabande e gique; 1693.
Catalogue des œuvres
En dehors de deux motets, l'œuvre de Froberger est
consacrée aux claviers, répartie dans plusieurs sources essentiellement
manuscrites :
20 toccatas ; 14 ricercares ; 30 suites ; 17 capriccios
; 7 fantasias ; 6 canzonas ; Tombeau fait à Paris sur la mort de Monsieur
Blancroche ; Lamentation faite sur la mort très douloureuse de Sa
Majesté Impériale, Ferdinand le troisième, An. 1657 ; Aria en ré
mineur ; Allemande et Courante en sol majeur
Sources, éditions
Libro secondo di toccate, fantasie, canzone, allemande, courante,
sarabande, gigue et altre partite, 1649 [manuscrit, Bibliothèque
nationale de Vienne, 1649, avec la Partita auff die Maÿerin]
Libro quarto di toccate, ricercari, capricci, allemande, gigue,
courante, sarabande [manuscrit, Bibliothèque nationale de Vienne,
1656]
Libro di capricci e ricercate [Bibliothèque nationale dre
Vienne, vers 1658]
2 motets, Uppsala, Universitetsbiblioteket
Diverse … curiose partite, di toccate, canzone, ricercate,
alemande, correnti, sarabande e gique. Mainz 1693
Divese curiose e rare partite musicali … prima continuatione. Mainz 1696
10 suittes de clavessin … mis en meilleur ordre et corrigée d'un
grand nombre de fautes. Amsterdam v.1697
œuvres choisies, édité par Louse Farrenc, dans «Le Trésor des
pianistes» (III), Paris 1866
Orgel- und Klavierwerke, édité par Guido Adler. Denkmäler der
Tonkunst en Österreich (VIII, XIII, XXI), 1897-1903 (rééditions). Cette
édition doit être corrigée : La fugue XXVII est de J. C. Kerll ; la
Toccata XXII est une variante de la XVI ; les fugues XXIII, XXIV, XXV ne
sont pas de Froberger, ainsi que le Suite XXIX (de cette
édition)
œuvres complètes pour clavecin. H. Schott, Paris,
1979-1992
Neue Ausgabe sämtlicher Clavier- und Orgelwerke, édité par S.
Rampe, Kassel, à partir de 1993
Alleluia, absorpta est mors ; Apparuerunt apostolis. Y Ruggeri, Monaco 1990
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Keyboard Music. Dans «Chigiana» (ns, IV) 1967, p. 67-78
STARKE D., Frobergers Suitentänze. Darmstadt 1972
Discographie
01 / 111
Johann Froberger
John Bull œuvres pour clavecin Gustav Leonhardt, clavecin
DMH 74321-32323-2
JOHANN FROBERGER : 01.- Toccata XII en la mineur —
02-07. Suite XX en ré majeur — 08. Toccata III en sol majeur —
09-11. Suite en la mineur — 12. Toccata X en fa majeur — 13-16. Suite
XV en la mineur
JOHN BULL : 17. The King's Hunt — 18. Fantasia en
ré mineur — 19. English Toy
02 / 152
Johann Jakob Froberger œuvres pour clavecin Gustav Leonhardt, Clavecin
Enregitré en 1989
Deutsche Harmonia Mundi RD 77923,
1990
Allemande, Lamentation sur ce que j'ay
été volé (de la Suite n° 14) - Toccata n° 9 - Canzon n° 2 - Suite n° 30 :
Plainte faite a Londres pour passer la Melancholie ; Gigue ; Courant
; Saraband - Capriccio n° 10 - Ricercar n° 5 - Suite n° 2 : Allemanda ;
Courant ; Sarabanda ; Gigue -Toccata n° 10 - Fantasia n° 4 sopra
Sollare (sol, la, re, lascia fa re mi) - Toccata n° 14 - Lamentation,
faite sur la mort très douloureuse de Sa Majesté Imperiale Fredinand le
troisième et joue lentement avec discretion - Tombeau faict à Paris sur la
mort de Monsieur Blancrocher
05 / 154
Froberger
Suites et Toccatas
Christophe Rousset, clavecin
Enregistré
en mars 1991
Harmonia
Mundi 1992-2002
HMA 196 1372
Suite
XXX en la mineur : Plainte faite à Londres pour passer
Melancholie, laquelle se joue lentement
avec discretion ; Courante ; Sarabande ;
Gigue — Toccata
IX en Ut majeur — Suite XIX en
ut mineur : Allemande
; Gigue ; Courante ; Sarabande — Tombeau (1652) Fait
à Paris sur la mort de Monsieur Blancberoche
; lequel se joue fort lentement a la discretion
sans observer aucune mesure — Toccata
XIV en Sol majeur
— Suite XVIII en
sol mineur : Allemande
; Gigue ; Courante ; Sarabande — Toccata
II en ré mineur — Suite
XX en Ré majeur : Méditation
palet sur ma MorLfidure laquelle se joue
lentement avec discretion ; Gigue ; Courante
; Sarabande — Toccata
XVIII en Fa majeur — Lamentation (1657) faîte sur la mort très
douloureuse de Sa Majesté Impériale,
Ferdinand le troisieme ; et se joüe
lentement avec discretion
03 / 152
Johann Jakob Froberger œuvres d'orgue Bernard Coudurier
Orgue du temple Saint-Martin de Montbeliard
Enregitré en juin 1990
BNL 11284, 1990
Toccata 1 - Fantasia 1 Sopra Ut, Re, Mi,
Fa, Sol, La - Fantasia II - Capriccio V - Capriccio VI - Fantasia
IV, Sopra Sol, La Re - Canzon II - Toccata en La - Toccata VI, Da
sonarsi alla Levatione - Ricercar I - Ricercar II - Capriccio IV -
Fantasia V - Fantasia III - Ricercar VI - Toccata II
04 / 154
Froberger œuvres pour orgue Joseph Kelemen, orgue
Orgue Baumeister, église du cloître
de Maihingen
Arte
Nova, 2001 : 74321 85322 2
Toccata
en la mineur FbWV 112 (1656) — Capriccio
en ré mineur FbWV 503 (1658) — Ricercar
en ré mineur FbWV 407a (1660) — Toccata
da Sonarsi alla Leuatione en sol mineur
FbWV 106 (1649) — Capriccio en la mineur
FbWV 502 (1658) — Fantasia Sopra UT RE MI
FA SOL LA FbWV 201 (1649) — Toccata en sol
majeur FbWV 107 (1656) — Capriccio
en sol majeur FbWV 507 (1656) — Toccata
en do majeur FbWV 109 (1656) — Capriccio
en sol mineur FbWV 508 (1656) — Ricercar
en sol mineur FbWV 405 (obt. 1658)
— Toccata en fa majeur FbWV 110 (1656) .