Né à la La
Côte-Saint-André (Isère), 11 décembre 1803 (20 Frimaire An XII) ; mort à Paris, 8 mars
1869.
À l'âge de dix ans,
il est placé dans une école religieuse, mais son père, médecin, assure
l'essentiel de son éducation, particulièrement en littératures française et
latine et en géographie. Il lui donne également des rudiments de flageolet, lui
fait donner des cours de flûte et de guitare par des professeurs de la
ville.
Vers treize ou
quatorze ans, il lit les traités d'harmonie de Rameau et de Catel, compose ses
premières pièces pour flageolet, et un quintette pour flûtes et cordes sur un
pot-pourri de mélodies italiennes (perdu, sauf une mélodie qui est donnée en
second sujet dans l'ouverture des Francs Juges, et une autre écrite sur
un poème de Florian (Je vais donc quitter pour jamais), reprise dans
l'ouverture de la Symphonie fantastique).
Il réalise
également des copies de romances populaires de Dalayrac, Boieldieu ou Berton, en
y ajoutant parfois un accompagnement de guitare, ou ses propres romances. A 15
ans, il propose en vain plusieurs œuvres à des éditeurs parisiens.
Après avoir obtenu
son baccalauréat à Grenoble en mars 1821, il entre à l'école de médecine de
Paris. Il passe une partie de son temps lire et à copier des œuvres musicales à
la Bibliothèque du Conservatoire. Il est introduit an 1822 auprès de
Lesueur.
Il écrit sa
première œuvre pour grand orchestre, la cantate Le cheval arabe (perdu). Six romances, qui sont publiées. En 1823 il compose un opéra sur Estelle et Némorin de Florian, d'après des écrits qui avaient enchanté
son enfance, et un oratorio latin (Le passage de la mer Rouge), qu'il
prétend dans ses Mémoires avoir brûlé.
En 1824, il compose
la Messe solennelle pour l'église Saint-Roch, dont la création, le 27
décembre sous la direction de Valentino est un échec, mais en juillet de 1825,
la même représentation détermine Berlioz, selon la formule de Le Sueur, à être
non pas « un docteur de pharmacie, mais un grand compositeur ». Il prétend avoir
détruit cette messe, mais elle a été retrouvée en 1992.
Il abandonne ses
études de médecine, et entre en conflit avec ses parents qui lui coupent
partiellement les subsides. Il survit grâce à l'amitié de ses amis, de quelques
élèves. Il est quelque temps chanteur dans le chœur du Théâtre des nouveautés,
et écrit des articles occasionnels pour les journaux, ce qui sera par la suite
la source essentielle de ses revenus
Son ami le plus
proche à cette époque, étudiant en droit, Humbert Ferrand, lui donne le texte de
la Révolution grecque en 1825, et le livret de l'opéra Les francs
juges en 1826.
La même année il
entre au Conservatoire dans la classe de composition de Lesueur et dans celle de
contrepoint et de fugue de Reicha. 1826 marque aussi le début de l'aventure du
Prix de Rome, qui revient cette année-là à Claude Paris. En 1827, c'est
Jean-Baptiste Guiraud qui remporte le Prix, tandis que l'œuvre présentée par
Berlioz, la cantate La Mort d'Orphée, est déclarée injouable (elle sera
donnée l'année suivante).
Cette année 1827
est importante pour Berlioz : la représentation d'Hamlet au théâtre de
l'Odéon à Paris l'inspire profondément. Il y découvre à la fois Shakespeare et
l'actrice Harriet Smithson, qui lui donnent d'une part maintes idées d'arguments, un modèle d'héroïne et l'objet de grand amour.
Il découvre
également Goethe, grâce à la traduction de Faust par Gérard de Nerval et
compose les Huit scènes de Faust (ébauche de la Damnation). En 1828,
alors qu'il découvre les symphonies de Beethoven, il obtient le premier des deux
seconds Prix de Rome pour Herminie (mélodie reprise dans la Symphonie
Fantastique) derrière Guillaume Ross-Despréaux. Il donne à Paris son premier
concert de musique purement orchestrale.
En 1829, il
n'obtient aucun Prix avec la cantate la Mort de Cléopâtre (année sans
premiers prix). À la cinquième tentative de 1830 il obtient le premier Prix,
avec la cantate La mort de Sardanapale dont on ne conserve que quelques
fragments. Dans ses mémoires Berlioz fait une sévère critique sur la procédure
d'attribution du prix de Rome (5 musiciens sur un jury de 40 personnes).
Au début de l'année
1830, il compose la Symphonie fantastique qui est créée le 5 décembre, à la Société des concerts du Conservatoire de Paris, sous la direction de François Antoine Habeneck.
Le 3 octobre 1833 il épouse Harriet
Smithson, à l'ambassade de Grande-Bretagne, Franz Liszt est leur premier témoin (ils se séparent en 1844, elle meurt en 1854, Berlioz se remarie
alors avec la cantatrice Marie Recio, sa compagne depuis 12 ans).
Le 5 décembre 1837, La Grande Messe des morts, est créée à l'église des Invalides de Paris, sous la direction de François Antoine Habeneck.
Le 10 septembre 1838, Benvenuto Cellini, opéra en deux actes sur un livret de Léon de Wailly et d'Auguste Barbier (assistés par Alfred de Vigny), d'après les Mémoires de Benvenuto Cellini, créé à l'Opéra de Paris, est un échec.
Le 24 novembre 1839, il dirige la création de Roméo et Juliette, symphonie dramatique, sur un texte d'Émile Deschamps d'après Shakespeare, à la Société des concerts du Conservatoire de Paris.
28 juillet 1840, il dirige (avec un sabre et en unifrome) la création de La Grande Symphonie funèbre et triomphale, pour célébrer le dixième anniversaire de la révolution de 1830, au pied de la colonne de Juillet (place de la Bastille).
Il compose Les Nuits d'été, six mélodies sur des poèmes de Théophile Gautier extraits de la Comédie de la mort.
En 1841, il
commence lé rédaction d'une série d'articles pour la «
Revue et gazette musicale », articles qui feront la
matière de son Grand traité d'instrumentation publié en 1843.
À l'automne 1842, il fait sortir en cachette ses partitions et quitte le domicile conjugal, et fuit en Allemagne avec son nouveau grand amour, Marie Recio, une cantatrice « qui miaule comme un chat » selon Berlioz lui-même.
Le 3 février 1844, il crée Le carnaval Romain, Salle Herz à paris.
Il entreprend de
nombreux voyages à l'étranger où sa musique est mieux accueillie qu'à Paris
(Belgique, Allemagne, Autriche, Angleterre,) Le 6 décembre 1846, La damnation
de Faust est créée à l'Opéra-Comique de Paris sous sa direction est un échec. Couvert de dettes, il part pour la Russie l'années suivante. La tournée est financièrement bénéfique, il réitère sans succès l'expérience en Angleterre, il est de nouveau à Paris prendant les événements de 1848, alarmé par l'état de santé d'Harriet Smithson qui est paralysée (elle meurt en 1854).
Le 2 décembre 1852, son Te Deum est joué pour le sacre de Napoléon III.
Dans les années
1850, grâce à sa positon à la cour de Weimar, Liszt popularise la musique de
Berlioz en Allemagne, particulièrement en organisant une « semaine Berlioz
» en
1852 au cours de laquelle on produit Benvenuto Cellini (modifié en 4 actes pour
public allemand), Roméo et Juliette, et deux parties de La
damnation de Faust (qui sera dédicacée à Liszt, et ce dernier dédicacera en
1854 sa Symphonie Faust à Berlioz). Ses relations avec Liszt le poussent
à poursuivre dans le grand opéra, avec les Les Troyens en 1858.
La mort de son père en octobre 1854, lui apporte par héritage quelque aisance financière. Il épouse Marie Recio.
Il dirige la création de sa trilogie L'enfance du Christ, sur ses propres textes, le 10 décembre 1854 à Paris (Le songe d'Hérode, La fuite en Égypte, L'arrivée à Saïs).
Au Théâtre municipal de Baden-Baden, il dirige la création de son opéra-comique Béatrice et Bénédict, le 9 août 1862.
4 novembre 1863, la seconde partie des des Troyens est créée au Théâtre-Lyrique, à Paris (la première intégrale esr donné à Londres en 1969).
En 1865, 1 200
exemplaires de ses Mémoires révisées, sont stockés au Conservatoire ou
distribués à quelques amis intimes. Elles sont destinées à être
rendues publiques après
sa mort.
musicologie.org
Après avoir été
officier dans la marine de Guerre, son fils, Louis, capitaine au long cours,
meurt de la fièvre jaune à La Havane en 1867.
Berlioz est enterré
au Cimetière de Montmartre à Paris.
Catalogue des œuvres
1817-1818, Pot-pourri concertant sur des thèmes italiens pour flûte, cor, 2 violons, alto et basse [Perdu]
1817-1818, Quintette pour flûte et quatuor à cordes [perdu]
1818-1819, Quintette pour flûte et quatuor à cordes [perdu sauf la réutilisation de la mélodie dans dans l'ouverture des Francs-Juges mesures 119-150]
1818-1819, Romances et piano [Perdu]
1819, Accompagnement de guitare pour Le Fleuve du Tage. Musique de Jean-Joseph-Benoît Pollet, texte de Joseph Hélitas de Meun
1819, Je vais donc quitter pour jamais mon doux pays, ma douce amie, romance en mi bémol majeur, avec accompagement de piano ou guitare, texte de Jean-Pierre Claris de Florian [réutilisé dans la Symphonie fantastisque 48, 3-16]
1819, Le dépit de la bergère : De mon berger volage romance en ré majeur, avec accompagnement de piano [texte anonyme]
1819-1822, Recueil de romances, extraites d'une anthologie manuscrite de 25 chants avec accompagnement de guitare
1819-1822, Le maure jaloux : Je vais revoir, romance en la majeur pour voix de ténor avec piano texte de Jean-Pierre Claris de Florian [1819-1821, 1 ère version sous le titre L'Arabe jaloux ; 2 ème version en 1822, sous le titre Le Maure jaloux]
1819-1822, Amitié reprend ton empire, romance et invocation à 3 voix avec piano, texte de Jean-Pierre Claris de Florian [1 ère version en la majeur, pour 2 sopranos et ténor avec piano sous le titre Invocation à l'amitié ; seconde version en 1823 en fa majeur pour 2 sopranos et basse]
1822, Pleure, pauvre Colette, romance en do majeur, à 2 voix égales (soprano, soprano ou ténor, ténor) avec piano texte de Jean-Marc de Bourgery
1822, Le cheval arabe, cantate pour 1 voix avec orchestre, texte de Charles-Hubert Millevoye [Perdu]
1822, Canon à trois voix [Perdu]
1822, La nuit de son voile épais, canon, en do majeur, à 2 voix (alto et baryton) avec piano texte de Jean-Marc Bourgery
1823, Le montagnard exilé, pour 2 voix de sopranos avec piano ou harpe, texte de Albert-Marie Du Boys
1823, Toi qui l'aimas, verse des pleurs, romance en sol majeur pour ténor avec piano, texte de Albert-Marie Du Boys
1823, Estelle et Némorin, opéra, texte de Hyacinthe-Christophe Gerono [Perdu]
1823, Le passage de la mer rouge, oratorio, texte de la Vulgate [Perdu]
1823-1824, Beverley ou Le joueur (scène dramatique pour basse avec orchestre), texte de Bernard-Joseph Saurin [Perdu]
1824, Messe solennelle pour solistes, chœur et orchestre [1828, Et resurrexit (Le Jugement dernier) ( 2 ème version), en sol mineur, pour chœur avec orchestre (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 4 trompettes, 3 trombones, ophicléide, serpent d'harmonie, 4 timbales, cymbales, harpe, cordes) [réutilisé dans le Requiem]
1824, La révolution grecque, scène héroïque pour solistes, avec ou sans chœur, orchestre, texte de Humbert Ferrand. Version 1825-1826, pour solistes et chœur, orchestre (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, ophicléide, timbales, grosse caisse, cymbales, 2 harpes, cordes) ; version 1833, version pour chœur et orchestre militaire (2 piccolo, 2 hautbois, 3 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 4 trompettes, 3 trombones, ophicléide, timbales, grosse caisse, tambour, cymbales, tam-tam, contrebasse)
1825-1834, Les francs-juges, [opus 3] opéra en 3 actes, livret de Humbert Ferrand. [Fragments]
1827, La mort d'Orphée, cantate pour ténor et chœur voix de sopranos avec orchestre (2 flûtes - petites flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 cors, 2 trompettes, 2 cornets, 3 trombones, timbales, cymbales, harpe, cordes), livret de Henri-Montant Berton
1828, Marche religieuse des mages
1828, Fugue [perdu]
1828, Herminie, scène lyrique pour soprano avec orchestre (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, timbales, cymbales, cordes), livret de Pierre-Ange Vieillard de Boismartin
1828, Variations pour guitare sur La ci darem la mano de Wolfgang Amadeus Mozart [Perdu]
1828, Le Roi de Thulé «chanson gothique» en sol majeur, pour soprano avec piano, texte de Johann Wolfgang von Goethe [traduit par Gérard de Nerval]
1828-1829, Salutaris, motet pour 3 solistes avec orgue ou piano [Perdu]
1828-1829, Huit Scènes de Faust [opus 1], texte de Johann Wolfgang von Goethe [traduit par Gérard de Nerval] [réutilisées dans la Damnation de Faust]
1829, Chanson des pirates, texte de Victor Hugo [perdu]
1829, Fugue à trois sujets, en do majeur
1829, Cléopâtre, œuvre lyrique pour soprano avec orchestre (2 flûtes/piccolo, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, timbales, cordes), livret de Pierre-Ange Vieillard de Boismartin
1829, Le ballet des ombres : Formez vos rangs, ronde nocture, en do mineur, pour chœur avec piano, texte d' Albert-Marie Du Boys
1829, 9 Mélodies irlandaises, une et deux voix et chœur avec piano ou orchestre, texte de Thomas Moore
1830
1829, Je veux dans l'inconstance, nocturne en la majeur, à 2 voix de soptrano avec guitare, texte anonyme
1831, Méditation religieuse, Ce monde entier, en sol majeur, pour chœur & accompagnement, texte de Thomas Moore
1831, Chœur de toutes les voix, chœur à 4 voix, Texte de Berlioz [perdu]
1831, Chœur d'anges pour les fêtes de Noël, texte inconnu [perdu]
1831-1833, Le dernier jour du monde, fragment d'oratorio, texte de Berlioz [perdu]
1831-1835, Le cinq mai : Des espagnols m'ont pris sur leur navire[opus 6], sur la mort de Napoléon pour voix de basse et chœur avec orchestre (2 flûtes, 2 clarinettes, 4 bassons, 4 cors, trompette, 3 trombones, grosse caisse, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), texte de Pierre-Jean de Béranger
1832, Quartetto e coro dei maggi : Il Redentore e nato, en fa majeur, pour chœur et orchestre (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 cors, 2 bassons, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), texte anonyme [perdu]
1832, Si je n'étais captive [opus 12] pour voix avec accompagnement, texte de Victor Hugo [plusieurs versions]
1832-1836, Dans l'alcôve sombre, pour voix et piano, texte de Victor Hugo
1832, Le retour de l'armée d'Italie, symphonie militaire en 2 parties
1833, La chasse de Lutzow : marche favorite des hussards de la mort [musique de Carl Maria von Weber : Lutzow's Wilde Jagd, opus 42 / 2] arrangement pour 10 voix d'hommes, texte de Karl Theodor Korner [traduit par Émile Deschamps et Humbert Ferrand] [perdu]
1833, Le chasseur des chamois : Sur les Alpes, quel délice ! arrangement d'une musique de Ferdinand Huber pour 10 voix d'hommes
1833, Le jeune pâtre breton : Dès que la grive est éveillée, pour voix avec accompagnement, texte de Julien-Auguste-Pélage Brizeux [plusieurs versions]
1833, Romance de Marie Tudor, pour voix de basse avec piano, texte de Victor Hugo [perdu]
1833, Les champs, romance, voix de pour ténor avec piano, texte de Pierre-Jean de Béranger [plusieurs versions]
1834
1833, Harold en Italie, symphonie avec alto principal [opus 16]
Harold en Italie, ouverture
1833, Sara la baigneuse : Sara belle d'indolence, ballade, pour voix ou chœur avec orchestre, texte de Victor Hugo [opus 11, plusieurs versions, certaines perdues]
1833, Je crois en vous : Quand mon âme ravie, romance, pour voix de ténor avec piano, texte de Léon Guérin [réutilisé dans dans la scène carnaval et l'ouverture de Benvenuto Cellini]
1833, Le chant des Bretons : Oui, nous sommes encore [opus 13] pour voix solistes ou chœur avec piano, texte de Julien-Auguste-Pélage Brizeux [plusieurs versions]
1834-1838, Benvenuto Cellini [opus 23], opéra semi-séria en 3 actes, livret de Léon de Wailly, Auguste Barbier, Alfred de Vigny
Benvenuto Cellini, ouverture
1835, Fête musicale funèbre [ réutilisés dans le Resurrexit et Le dernier jour du monde] [perdu]
1835, Au levant là-bas, romance pour voix de soprano ou de ténor avec piano, texte de Léon de Wailly [réutilisé dans Chœur des masques et De Profundis)]
1835-1838, Ménade ou Bacchante qu'ombrage l'acanthe, intermède voix soliste et chœur avec orchestre, texte de Pierre-Simon Ballanche
1837, Requiem ( Grande messe des morts) [opus 5]
1838, Assez dormir ma belle, pour voix de soprano ou de ténor avec cuivres, texte d' Alfred de Musset [plusieurs versions jusqu'en 1850]
1839, Roméo et Juliette [opus 17], symphonie dramatique pour solistes, petit et grand chœurs et orchestre, livter d' Émile Deschamps d'après Shakespeare
1839, Grande Symphonie funèbre et triomphale [opus 15] (orchestre militaire suel ou avec et instruments à cordes ou pour orchestre militaire, diverse vesrions ou réductions]
1840-1841, Les nuits d'été (6 mélodies, opus 7), avec piano ou orchestre, poèmes de Théophile Gautier [diverses versions]
1841, Rêverie et Caprice [opus 8], romance pour violon, avec piano ou orchestre (piccolo, flûte, 2 haubtois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), Arrangement de la cavatine : Ah que l'amour une fois dans le cœur de Benvenuto Cellini
1841, Récitatifs pour Le Freyschutz, de Carl Maria von Weber, texte traduit par Émilien Pacini
1841, L'invitation à la danse, pour orchestre (piccolo, flûte, 2 hautbois, 2 clarinettes, 4 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 2 cornets, 3 trombones, timbales, 2 harpes, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse) pour le Le Freyschutz de Carl Maria von Weber
1841-1842, La nonne sanglante, opéra, texte de Eugène Scribe d'après M.G. Lewis [inachevé]
1841-1842, La mort d'Ophélie [opus 18], ballade pour voix soliste ou chœur avec piano ou orchestre, texte de Legouvé [diverses versions]
1843, Chasse à la grosse bête, pour hautbois et basson
1842, Andante, en si majeur
1843, Ondre nur diftungai nomira, chœur à 402 voix en langue (celtique) inconnue
1843, La belle Isabau, [opus 19], conte pour voix de mezzo-soprano et chœur avec piano, texte d'Alexandre Dumas (père)
1843-1844, Le carnaval romain, pour orchestre (2 flûtes, 2 hautbois/cors anglais, 3 clarinettes, 4 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 2 cornets, 3 trombones, piatti, 2 tambourins, triangle, timbales, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse) réutilisation d'un fragment de Benvenuto Cellini
Carnaval romain, ouverture, thème (cor anglais)
1844, Hymne à la France [opius 20], pour chœur et orchestre (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 2 cornets, 3 trompettes, tuba, timbales, grosse caisse, cymbales, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), texte d'Auguste Barbier
1844, Sérénade agreste à la madone sur le thème des pifferari romains, pour orgue
1844, Toccata, en do pour orgue
1844, Hymne pour l'élévation, en ré pour orgue
1844, Le Corsaire [opus 21], ouverture en do majeur pour orchestre [a aussi porté le titre La tour de Nice]
1844, Musique de scène pour Hamlet [en partie perdu]
1844, Entendez-vous dans la bruyère, pour voix de basse et piano ou orchestre (piccolo, flûte, 2 bassons, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 3 trombones, timbales, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), texte d'Adolphe Ribbing de Leuven
1845, Le vent gémit, la mer frisonne, sérénade sur un texte de François-Joseph Méry
1845, Ma ville, ma belle ville, [opus 19] boléro pour voix de soprano avec piano et castagnettes ou orchestre(flûte, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, timbales, castagnettes, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse) , texte de Roger de Beauvoir
1845-1846, La damnation de Faust, légende dramatique pour solistes et chœur avec orchestre, texte d'Hector Berlioz
1846, Orchestration de la Marche de Rakoczy [utilisée dans la Damnation de Faust>], (piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 2 cornets, 3 trombones, tuba, timbales, tambourin, grosse caisse, cymbales, triangle, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse)
1846, Chant des chemins de fer [opus 19 n° 3], pour voix de ténor et chœur avec orchestre, texte de Jules Janin
1846, Prière du matin, [opus 19 n° 4]pour chœur d'enfants avec piano, texte d'Alphonse de Lamartine
1846, Le Trébuchet, scherzo à deux voix avec piano, texte d'Antoine de Bertin et d'Émile Deschamps
1847, Nessun maggior piacere, pour voix de soprano ou de ténor avec piano
1848, Arrangement du Chant du départ d'Étienne-Nicolas Méhul, texte de Marie-Joseph Chénier [perdu]
1848, Arrangement de Mourons pour la patrie de Claude-Joseph Rouget de Lisle [perdu]
1848, La Menace des Francs, [opus 21] marche pour pour solistes (ou petit chœur), chœur avec piano ou orchestre (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 2 cornets, 3 trombones, tuba, timbales, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), texte supposé de Berlioz [diverses versions]
1848-1849, Te Deum
1848-1849, Tristia, [opus 18] œuvres chorales avec accompagnement de piano
1849, Méditation religieuse, pour chœur avec violon, violoncelle et piano [zussi une version orchestrée]
1849, La Mort d'Ophélie, ballade d'après Shakespeare, pour chœur avec piano [aussi une version orchestrée]
1849, Vox populi [opus 20], recueil d'œuvres chorales avec accompagnement de pian
1850, Feuillets d'album [opus 19], recueil d'œuvre chorales avec accompagnement de piano
1850, Texte et arrangement sur des musiques de Dmitri Stepanovich Bortnyansky
1850, Fleurs des landes, 5 mélodies avec accompagnement de piano
1850, La Fuite en Egypte, pour voix de ténor récitant et chœur avec orchestre, texte de Berlioz
1852, Feuille d'album pour Edouard Silas, pour 2 voix
1853-1854, L'Enfance du Christ, trilogie sacrée, pour solistes et chœur avec orchestre, texte de Berlioz
1854, L'Impériale, cantate, pour double chœur avec orchestre, texte de Pierre-Chéri Lafont
1855, Valse chantée par le vent dans les cheminées d'un de mes châteaux en Espagne, feuille d'album
1855-1856, Au bord de la rivière, étude pour voix avec piano
1856-1858, Les Troyens ou La prise de Troie, opéra en 5 actes, texte de Berlioz d'après Virgile
1859, Arrangement de Plaisir d'amour de Martini, pour voix de baryton, avec orchestre (2 flûtes, 2 clarinettes, 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse), textze de Jean-Pierre Claris de Florian
1859, Hymne pour la consécration du nouveau tabernacle, pour chœur avec orgue ou piano, texte anonyme
1860, Arrangement du Roi des aulnes de Schubert [Erlkonig], pour voix de ténor avec orchestre, poème de Johann Wolfgang von Gœthe traduit par Édouard Bouscatel
1860, Le Temple universel, [opus 28] pour chœur, a capelle ou avec orchestre, texte de Jean-François Vaudin
1860-1862
1860,Béatrice et Bénédict, opéra en 2 actes, texte de Berlioz d'après William Shakespeare
1863, 32 mélodies pour une ou plusieurs voix et chœur
1865, Salut matinal, feuille d'album, improvisation en langue et en musique kanaques
Grand traité d'instrumentation et d'orchestration modernes,
op.10. Paris 1843, 1855 ; traduction anglaise, 1856, 1882
Voyage musical en Allemagne et en Italie. Paris 1844
Les soirées de l'orchestre. Paris 1852, 1895 ; traduction
anglaise 1956 ; L. Guichard, Paris 1968
Le chef d'orchestre : théorie de son art. Paris 1856 ;
traduction anglaise 1917
Les grotesques de la musique. Paris 1859 ; L. Guichard, Paris
1969
A travers chants. Paris 1862 ; traduction anglaise E.
Csicsery-Rónay, 1994 ; L. Guichard, Paris 1971 ; Gründ, décembre 2000 [492
p., ISBN : 270002107X, 295.00 FRF]
Mémoires. Paris 1870 ; traduction anglaise oar D. Cairns 1969,
1970) ; P. Citron, Paris 1969, 1991
Les musiciens et la musique. A. Hallays, Paris 1903
Condé G. (éditeur), Cauchemars et passions. Paris 1981
Cohen H. R. & Gérard Y, Critique musicale (1) 1823–1834. Paris 1996
Articles dans :
Le corsaire (1823-18255)
Le correspondant (1829-1830)
Berliner allgemeine musikalische Zeitung (1829)
Revue européenne (1832)
Europe littéraire (1833)
Le rénovateur (1833–1835)
Gazette (Revue et gazette) musicale (1834–1861)
Journal des débats (1834–1863)
Journal des artistes (1834)
Monde dramatique (1835)
Italie pittoresque Paris 1836)
Chronique de Paris (1837–1838)
L'éclair (Bruxelles, 1842)
L'émancipation (1843)
L'artiste (1844)
Monde illustré (1858–1859)
VUILLERMOZ
ÉMILE, Hector Berlioz. Dans
Émile Vuillermoz, «Histoire de la musique», «Les grandes études
historiques», Arthème Fayard, Paris 1949 [8e édition], p. 232-240
AHOUSE J. B., The Centenary Years : a Bibliography of Articles in the Periodical Literature, 1967-1971. El Paso (Tex.) 1974
Anecdotes sur Berlioz. Dans «Revue d'histoire et de critique musicales», iii (1903), 422ff
BALLIF CLAUDE, Berlioz. Paris 1968
BARBIER A., Souvenirs personnels et silhouettes contemporaines. Paris 1883, p. 230-233
BARRAUD HENRI, Hector Berlioz. Paris 1955 ; 1966 (seconde édition)
BARTOLI JEAN-PIERRE, L'œuvre symphonique de Berlioz, forme et principes de développement (thèse). Université de Paris IV, Sorbonne 1991
BARZUN J., Berlioz and the Romantic Century. Boston 1950 [revu et adjoint à Berlioz and his Century. 1956. Revu et publié sous le titre original. en 1969]
—, Berlioz a Hundred Years After. Dans «Musical Quarterly» (56) 1970, p. 1-13
BENNETT J., Hector Berlioz. London 1883
BLONDEL R., La jeunesse médicale de Berlioz. Dans « Chronique médicale » 1 avrill 1908
BLOOM P. A. & HOLOMAN D. K. Berlioz's Music for L'Europe littéraire. MR, xxxix (1978), 100-09
BLOOM P. A., Berlioz in the Year of the Symphonie fantastique. Dans «Journal of Musicological ReSuper Musicalis Weboru (SMW)» (9) 1989, p. 67-88
—, Episodes in the Livelihood of an Artist: Berlioz's Contacts and Contracts with Publishers'. Dans «Journal of Musicological ReSuper Musicalis Weboru (SMW)» (15) 1995, p. 219
—, La mission de Berlioz en Allemagne: un document inédit. Dans «Revue de musiocologie» (66) 1980 p. 70-85
—, Berlioz à l'Institut Revisited. Dans «Acta musicologica» (53) 1981, p. 171-199
BOCKHOLDT R., Berlioz-Studien. Tutzing 1979
BOSCHOT A., Chez les musiciens du XVIIIe siècle à nos jours (1). Paris 1922
—, Portraits de musiciens (1). Paris 1946)
—, Histoire d'un romantique. Paris 1906-1913 ; 1946-1950 (seconde édition) [publié sous le titre Hector Berlioz, une vie romantique. Paris, 1951 ; 1965 (seconde édition)
—, Berlioz et l'Institut. Dans « Monde français » (15) 1949, p. 220
BOURGAULT-DUCOUDRAY L., Berlioz : souvenirs intimes. Dans « Le conseiller des dames et des demoiselles» (39) 1886, p. 276 et suivantes
BRENET MICHEL, Deux pages de la vie de Berlioz. Paris 1889
—, L'amitié de Berlioz et de Liszt. Dans « Guide musical » (50) 1904, p. 595-687
BRUNEAU ALFRED, L'influence de Berlioz sur la musique contemporaine. Dans « Musica» (7) 1908, p. 36
CAIRNS D., Berlioz (2) : Servitude and Greatness : 1832-1869. London 1999
—, Berlioz 1803-1832 : the Making of an Artist. London 1989
—, The Pinch of Snuff. Dans « Berlioz Society Bulletin » (40) 1962, p. 3-7 ; (.41 1963, p. 3-10
—, Berlioz and Criticism :Some Surviving Dodos. Dans «Musical Times» (104) 1963, p. 548-551
—, Berlioz, a Centenary Retrospect. Dans «Musical Times» (110) 1969, p. 249-251
CLARSON-LEACH R., Berlioz : his Life and Times. Tunbridge Wells 1983
CLAVAUD M., Hector Berlioz : visages d'un masque. Lyons 1980
CLÉMENT F., Les musiciens célèbres depuis le seizième siècle jusqu'à nos jours. Paris 1868 ; 1887 (4e édition), p. 514-521
CLOSSON E., Hector Berlioz à Bruxelles. Dans « Guide musical » (49) 1903, p. 33-39
CONE E. T., Inside the Saint's Head, the Music of Berlioz. Dans « Musical Newsletter » (1, 3) 1971, p. 3-13; (1, 4) 1971, p. 16-21 ; (2, 1) 1972, p. 19-22
CONSTANTIN L., Berlioz. Paris 1934
COQUARD J. A. Berlioz. Paris 1909
CORNELIUS P., Hector Berlioz in Weimar. Dans « Die Musik » (4) 1905-1906, p. 159-168
COURT G., Hector Berlioz and Alfred de Vigny. Dans «Music & Letters» (37) 1956, p. 118-127
CURZON HENRI DE, Les débuts de Berlioz dans la critique. Dans «Guide musical» (49) 1903), p. 28-31
DANISKAS J., Hector Berlioz. Stockholm 1947 (traduction anglaise 1949)
DAVISON H., (éditeur), Music during the Victorian Era, from Mendelssohn to Wagner : being the Memoirs of J. W. Davison. London 1912
DE LA SABLIÈRE F., Quel père fut Hector Berlioz ? Dans «Revue de Paris » (77,2) 1970, p. 94–103
DEMARQUEZ S., Hector Berlioz: l'homme et son œuvre. Paris 1969
DICKINSON A. E. F., The Music of Berlioz. London 1972
DONNET V. & MOUREAUX C., Le baccalauréat-ès-sciences d'Hector Berlioz. Dans « Marseille médical » (3) 1969, p. 1-7
DONNET V., Hector Berlioz et la médecine. Dans « Lettres et médecins » (1) 1969, p. 3-21
DUPUY E., Alfred de Vigny et Hector Berlioz. dans « Revue des deux mondes » (6e série, 2) 1911, p. 837-865
ELLIOT J. H., Berlioz. London 1938 ; 1967 (4e édition)
EMINGEROVA K., Hector Berlioz à Prague. Dans « Revue française de Prague » 1933, p. 167-186
EMMANUEL MAURICE, Berlioz. Dans « Le correspondant » (278) 1920, p. 237-261
ESCUDIER L., Mes souvenirs. Paris 1863, p. 222-257
ETEX A., Les souvenirs d'un artiste. Paris 1877
FARGA F., Der späte Ruhm: Hector Berlioz und seine Zeit. Zürich 1939 [revu et édité sous le titre Hector Berlioz, der Roman seines Lebens. 1952)
FEIS O, Hector Berlioz, eine pathographische Studie, Grenzfragen des Nerven- und Seelenlebens. Wiesbaden 1911, p. 81
FOUQUE O., Les révolutionnaires de la musique. Paris 1882
GANZ A. W., Berlioz in London. London 1950
GAVOT J., Berlioz à Nice. Dans «Cahiers de l'Alpe» (46) 1969, p. 122-124
GOUNOD CHARLES, Mémoires d'un artiste Paris 1896; traduction anglaise 1896/R)
GRENIER F., Cherubini et Berlioz. Dans «Guide musical» (49) 1903, p. 4-8
GRIEPENKERL W. R., Ritter Berlioz in Braunschweig. Brunswick 1843
GUICHARD L., Berlioz et Stendhal. Dans «Cahiers de l'Alpe» (46) 1969, p. 114-118
—, La musique et les lettres au temps du romantisme. Paris 1955
GUIOMAR MICHEL, Le masque et le fantasme. Paris 1970
HADOW W. H., Studies in Modern Music (1). London 1893 ;1926, p. 71-146
HAHN A & collectif, Hector Berlioz: sein Leben und seine Werke. Leipzig, 1901
HALLÉ C. E. &HALLÉM.(éditeurs), Life and Letters of Sir Charles Hallé. London 1896 [adjoint à The Autobiography of Charles Hallé, 1972]
HEYWORTH P. (éditeur), E. Newman : Berlioz: Romantic and Classic. London 1972
HILLER F., Künstlerleben. Cologne 1880, p. 63-143
HIPPEAU E., Berlioz intime. Paris 1883 ; 1889 (seconde édition)
—, Berlioz et son temps. Paris 1890
HOFMANN M., Hector Berlioz en Russie. Dans « Journal Musical Français musica-disques » (179) 1969, p. 28-30
HOLOMAN D. K. Catalogue of the Works of Hector Berlioz. Kassel 1987
—, Berlioz. Cambridge (Ma.) 1989
HOPKINSON C., A Bibliography of the Musical and Literary Works of Hector Berlioz 1803-1869. Edinburgh 1951 ; 1980 (revue par R. Macnutt)
HUEFFER F., Half a Century of Music in England, 1837-1887. London, 1889, p. 151-234
ISTEL E., Berlioz und Cornelius. dans « Die Musik » (3, 1) 1903-1904, p. 366-372
JACOBSON B., A Berlioz Discography. Dans «High Fidelity / Musical America» (19) 1969, p. 56-60
JENSEN E. F., Berlioz and Gérard de Nerval. Dans «Soundings» (11) 1983-1984, p. 46-51
JULLIEN A, Musiciens d'aujourd'hui. Paris 1892-1894
—, Hector Berlioz: la vie et le combat : les œuvres. Paris, 1882
—, Hector Berlioz: sa vie et ses œuvres. Paris 1888
—, Musiciens d'hier et d'aujourd'hui. Paris 1910, p. 105-157
KAPP J., Berlioz : eine Biographie. Berlin 1917 ; 1922
—, Das Dreigestirn : Berlioz, Liszt, Wagner. Berlin 1920
KHOKHLOVKINA A. A., Berlioz. Moscow, 1960
KLEIN J. W., Berlioz's Personality. Dans «Music and Letters» 1969, p. 15-24
KNUTTEL F., Hector Berlioz.Den Haag1948
KOECHLIN CHARLES, Le cas Berlioz. Dans «Revue musicale» (3, 3-5) 1921-1922, p. 118-134
KUFFERATH M., Wagner et Berlioz. Dans « Guide musical » (49) 1903, p. 24-27
KÜHNER H., Hector Berlioz: Charakter und Schöpfertum. Olten 1952
LABASTE H., Alfred de Vigny, collaborateur d'Hector Berlioz. Dans « Revue universitaire » (29) 1920, p. 369-74
LACK L., Berlioz à Londres. Dans «Revue musicale» (233) 1956, p. 87-90
LANGFORDJ., Hector Berlioz : a Guide to ReSuper Musicalis Weboru (SMW). New York 1989
LAZARUS D, Un maître de Berlioz : Anton Reicha. Dans «Revue musicale» (3,6) 1921-1922, p. 255-261
LEGOUVÉ L., Soixante ans de souvenirs. Paris 1886-1887 ; traduction anglaise 1893
LESURE FRANçOIS, Le testament d'Hector Berlioz. Dans «Revue de musicologie» (55) 1969, p. 219-223
LOCKE A. W., Music and the Romantic Movement in France. London, 1920
LOCKSPEISER E., Berlioz. London 1939
LOUIS R., Hector Berlioz. Leipzig 1904
MACDONALD H., Berlioz. London 1982 ; 1991 (seconde édition)
MACLEAN C., Berlioz and England. , Dans «Sammelbände der Internationalen Musik-Gesellschaft» (5) 1903-1904, p. 314-328
MALHERBE C., Une autobiographie de Berlioz. Dans «Rivista musicale italiana» (13) 1906, p. 506-521
MARETZEK N., Revelations of an Opera Manager in 19th-Century America : Sharps and Flats. New York 1890
MASSON P.-M, Berlioz. Paris 1923
MASSOUGNES G. DE, Berlioz: son œuvre. Paris 1870 ; 1919 (seconde édition)
—, Berlioz et les artistes d'aujourd'hui. Dans, «Monde musical» (15) 1903, p. 339-345
MELLERS W., A Prophetic Romantic. Dans «Scrutiny» (7) 1938-1939, p. 119-128
MEYERSTEINE. H. W., An Approach to Berlioz. Dans «Music Review» (9) 1948, p. 97-101
MIRECOURT E. de, Berlioz. Paris 1856 ; 1856 (troisième édition)
NIECKS F., Hector Berlioz and his Critics. Dans «Musical Times» (21) 1880, p. 272-274 ; 326-329
NOUFFLARD G, Berlioz et le mouvement de l'art contemporain. Florence 1883 ; 1885 (seconde édition)
OSBORNE G. A., Berlioz. Dans «Proceedings of the Musical Association» (5) 1878-1879, p. 60-75
PAYZANT GEOFFREY, Eduard Hanslick and Ritter Berlioz in Prague. Calgary 1991
POHL L., Hector Berlioz Leben und Werke. Leipzig 1900
—, Hektor Berlioz : Studien und Erinnerungen. Leipzig 1884
POURTALÈS GUY DE, Berlioz et l'Europe romantique. Paris 1939 ; 1948 (seconde édition revue)
PRIMMER B. The Berlioz Style. London 1973
PROD'HOMME J.-G., Bibliographie berliozienne. Dans «Revue musicale» no.233 (1956), 97–147
PROD'HOMME J.-G., Wagner, Berlioz and Monsieur Scribe : Two Collaborations that Miscarried. Dans « Musical Quarterly» (12) 1926, p. 359-375
PROD'HOMME J.-G., Berlioz anecdotique. Musica (7) 1908
—, Bibliographie Berliozienne, Dans «Sammelbände der Internationalen Musik-Gesellschaft» (5) 1903-1904, p. 622-659
—, Une aventure d'amour de Berlioz. Dans «Zeitschrift der Internationalen Musik-Gesellschaft » (12) 1911-1912), p. 137-145
—, Hector Berlioz (1803–1869) : sa vie et ses œuvres. Paris 1905 ; 1927 (3e édition)
—, Hector Berlioz jugé par Adolphe Adam. Dans «Zeitschrift der Internationalen Musik-Gesellschaft » (6) 1904-1905, p. 475-481
—, Hector Berlioz, bibliothécaire du Conservatoire. dans « Guide musical » (59) 1913, p. 783, 803
RABY P, Fair Ophelia : a Life of Harriet Smithson. Cambridge 1982
RAMAUT A., Hector Berlioz: compositeur romantique français. Arles 1993
RAYNOR H., Berlioz and his Legend. Dans «Musical Times» (96) 1955, p. 414-417
REYER E., La vie amoureuse de Berlioz. Paris 1929
—, Hector Berlioz: Biographical Notes and Personal Reminiscences. Dans «The Century Illustrated Monthly Magazine» (47) 1893-1894, p. 305-310
—, Notes de musique. Paris 1875
—, Berlioz: souvenirs intimes. Dans le Monde musical (15) 1903, p. 335
ROBERT P.-L., Étude sur Hector Berlioz. Rouen 1914
ROLLAND ROMAIN, Berlioz. Dans «Revue de Paris» (11) 1904, p. 65, 331 [repris dans Musiciens d'aujourd'hui. Paris 1908 ; traduction anglaise 1915]
RUSHTON J., The Musical Language of Berlioz. Cambridge 1983
SAINT-SAËNS CAMILLE, Souvenirs. Dans «le Monde musical» (15) 1903, p. 335
—, Portraits et souvenirs. Paris 1900 ; 1909, p. 3-14
—, Harmonie et mélodie. Paris 1885 ; 1923 (9e édition), p. 249-255
SAND R., Berlioz et ses contemporains. Dans « Guide musical » (49) 1903, p. 23-24
SCHACHER T., Idee und Erscheinungsformen des Dramatischen bei Hector Berlioz. Hamburg 1987
SCHENK E., Berlioz in Wien., Dans « Österreichische Musikzeitschrift » (24) 1969, p. 217-223
SCHLOESSER A.,Personal Recollections of Franz Liszt and Hector Berlioz. Dans «RAM Club Magazine» 1911
SCHURÉ E., Le génie de Berlioz. Dans « Guide musical » (59) 1903, p. 1-3
SHAW G. B., A Reminiscence of Hector Berlioz. Dans « Berlioz Society Bulletin» (81) 1973, p. 4-12 ; (82) 1974, p. 9-14
STASOV V. V., List, Shuman i Berlioz v Rossii. Dans « Severnïy vestnik (7) 1889, I, p 115-157 ; (8) I, p. 73-110 ; traduction anglaise 1968
SVYET G., Gektor Berlioz i Rossiya. Dans « Russkaya mïsl'» 2 mars 1967
TIÉNOT T., Hector Berlioz: esquisse biographique. Paris 1951
TIERSOT J., Hector Berlioz and Richard Wagner. dans «Musical Quarterly» (3) 1917, p. 453-492
—, Un pèlerinage au pays de Berlioz. Dans « Le ménestrel » 1884-1885
—, Hector Berlioz et la société de son temps. Paris 1904
—, La musique aux temps romantiques. Paris 1930
—, Berlioziana : Berlioz à l'Institut. Dans « Le ménestrel » 1910
—, Berlioziana : Berlioz, bibliothécaire du Conservatoire. Dans « Le ménestrel » 1910
—, Berlioziana. Dans « Le ménestrel » 1904-1905
—, Berlioziana: Berlioz, directeur de concerts symphoniques. Dans « Le ménestrel » 1909-1910
TURNER X. J., Berlioz, the Man and his Work. London 1934
VANDER LINDEN A., En marge du centième anniversaire de la mort d'Hector Berlioz (8 mars 1869). Dans « Bulletin de la classe des beaux-arts de l'Académie royale de Belgique » (51) 1969, p. 36-75
WECKERLIN J.-B., Musiciana. Paris 1877, p. 319-336
WEEDA R., Hector Berlioz bezoecken aan Belgiee. Dans « Mens en melodie » (24) , xxiv (1969), p. 374-375
BARZUN J. (éditeur), Nouvelles lettres de Berlioz. New York, 1954
BERNARD D., (éditeur), Correspondance inédite. Paris 1879 ; 1896 ;
traduction anglaise 1882 (Life and Letters of Berlioz,1)
BLOOM P. A.,Berlioz à
Ricordi: dix lettres inédites. Dans «Revue de musicologie» (82) 1996, p. 155-167
—, Berlioz to Ferrand : Eight billets intimes.Dans «Musical
Quarterly»
(79) 1995, p. 552-579
—, Berlioz and Officialdom: Unpublished Correspondence. Dans « 19th
Century Music » (4) 1980-1981, p. 134-46
CITRON PIERRE (éditeur), Hector Berlioz: Correspondance générale (1) 1803- 1832. Paris 1972
; (2) 1832-1842. Paris 1975 ; (3) 1842-1850. Paris 1978 ; (4) 1850-1855.
Paris 1983 ; (5) 1855-1859. Paris 1989 ; (6) 1859-1863. Paris
1995
CLARENCE G, Lettres inédites
de Berlioz. Dans «Revue musicale» (100-105) 1930, p.
400-416
DUPUIS S., Quelques lettres
inédites de Berlioz. Dands «Bulletin de la classe des beaux-arts de
l'Académie royale de Belgique» (1-2) 1927, p. 10-17
FEHR
M., Achtzehn Briefe von Hector Berlioz an den Winterthurer Verleger J.
Rieter-Biedermann. Dans «Schweizerisches Jahbuch für
Musikwissenschaft» (2) 1927, p. 90-106
FOUQUE O., Les
révolutionnaires de la musique. Paris 1882
GINSBURG S., Correspondance
russe inédite de Berlioz. Dans «Revue musicale» (100-105) 1930, p.
417-424
LA
MARA (M. Lipsius) (éditeur), Briefe hervorragender Zeitgenossen an
Franz Liszt. Leipzig 1895-1904
—, (éditeur), Briefe von Hector Berlioz an die Fürstin Carolyne
Sayn-Wittgenstein. Leipzig 1903
Lettres de Berlioz à sa
famille. Dans
«Bulletin de l'Académie
delphinale» 29 février 1924
Lettres inédites de Berlioz
à Edouard Monnais. Dans «Revue musicale» (4, 4-6) 19221923), p.
206-217
Lettres inédites de
Berlioz. Dans «Revue Musicale» (152-1656) 1935, p. 164-168
Lettres inédites de Hector
Berlioz. Dans «Nouvelle revue» (4) 1880, p. 801 ; publié séparément,
Lettres intimes. Paris 1882 ; traduction anglaise 1882 (Life and Letters
of Berlioz, 2)
LOCKE R.P., New Letters of Berlioz. Dans « 19th Century Music » (, i
(1977–8), 71–84
MACDONALD H., (éditeur), Selected Letters of Berlioz. London
1995
MARX-WEBER
M., Hector Berlioz: unbekannte Briefe an Peter Cornelius. Dans
«Musikforshung» (26) 1973, p. 235-240
PINCHERLE MARC (éditeur), Musiciens peints par eux-mêmes. Paris 1939
Pisma zarubyezhnïkh
muzïkantov iz russkikh arkhivov. Leningrad 1967
PROD'HOMME J. G, Nouvelles
lettres d'Hector Berlioz. Dans «Rivista musicale italiana» (12) 1905,
p. 339-382
—, Lettres inédites de
Hector Berlioz. Dans «Rivista musicale italiana» (30) 1913, p.
277-290
—, Les lettres de Berlioz à
Auguste Morel. Dans «Guide musical» (58) 1912, p. 605-710
SIETZ
R., (éditeur), Aus Ferdinand Hillers Briefwechsel (1). Cologne
1958
Sixty-One Letters by Berlioz. Dans «Adam» (34) 1969, p.
48-87
TIERSOT J. (éditeur), Hector
Berlioz, le musicien errant : 1842–1852. Paris 1919
— (éditeur), Hector
Berlioz: au milieu du chemin, 1852-1855. Paris 1930
— (éditeur), Hector Berlioz:
Les années romantiques : 1819-1842. Paris 1904
— (éditeur), Lettres de
musiciens écrites en français: du XVe au XXe siècle. Dans «Rivista
musicale italiana» (36) 1929, p. 1-25 & 408-429 ; (37) 1930, p. 1-20 ;
185-203 ; 329-349 ; 529-350 [tiré à part, Turin 1936]
— Lettres de Berlioz sur Les
Troyens. Dans «
Revue de Paris» (21, 4) 1921,
p. 449-73 & 749-770 ; xxi/5 (1921), 146–71
— Lettres inédites de
Berlioz. Dans «Revue d'histoire et de critique musicales» (3) 1903, p. 426-430
Une page d'amour romantique
: lettres à Mme Estelle F. Dans «Revue politique et litéraire» (Revue
bleue) 4, 11, 18, 25 avril 1903
VALLÉRY-RADOT P., Une lettre
inédite de Berlioz. Dans
«Fureteur médical» (23) 1964,
p. 35-38
WEEDA
R.,Vier brieven
van Hector
Berlioz. Dans « Mens en melodie» (24) 1969, p. 177-179
WILDER V., (éditeur), Vingt
lettres inédites [...] adressées à M. Adolphe Samuel. Dans «Le
ménestrel» 8, 15, 22, 29 juin et 6, 13 juillet 1879
Discographie
Hector Berlioz, Enregistrements inoubliables, Beecham, Martinon, Monteux, Münch, Scherchen, coffret de 11 volumes, Cascavelle 2019 (VEL 1590)
Hector Berlioz, Requiem.
Orchestre National de l'Opéra de Paris,
Choeurs de la Radiodiffusion Télévision Française,
Dir des choeurs René Alix,
Ténor, Jean Giraudeau,
Direction, Hermann Scherchen.
Disque Ades 14.085 (2 cédéroms), 1968 / 1986.
Hector Berlioz, Béatrice et Bénédict, opéra-comique,
livret d'Hector Berlioz,
d'après Beaucoup de bruit pour rien de William Shakespeare. London Symphony Orchestra,
John Alldis Choir,
Colin Davis dir..
Christiane Eda-Pierre, soprano ;
Janet Baker, mezzo-soprano ;
Helen Watts, contralto ;
Robert Tear, tenor ;
Thomas Allen, baryton ;
Jules Bastin, Basse ;
Robert Lloyd, basss ;
Richard Van Allan, récitant.
Enregistré à Londres en 1977,
Philips, 416 952 (2 volumes)
Hector Berlioz,
Béatrice et Bénédict, opéra-comique, lLivret de'ector Berlioz d'après Beaucoup de bruit pour rien de William Shakespeare. Opéra de Lyon,
John Nelson, dir.
Susan Graham,
Sylvia Mc Nair,
Catjerine Robbin,
Gilles Cachemaille,
Gabriel Bacquier,
Vincent Le Texier,
Philippe Magnant.
Enregistré en mars 1991, ERATO 2292-45773 (2 volumes)
Disque 1
Overture, Acte 1
Le More est en fuite!
Enfin cette guerre est treminée
Choeur : Le more est en fuite
Sicilienne
Air : Je vais le voir
Recevez mes félicitations général
Comment le dédain pourrait-il mourir ?
Ma fille suivez moi !
Me marier ? Dieu me pardonne !
Je vous quitte Messieurs. Vous me convertirez ?
Mourez, tendres époux!
Ah ! Mon Dieu vous me beuglez cet épithalame
Épithalame grotesque : Mourrez tendres époux
Comment ? Mourrez ?
Ah! Je vais l'aimer!
Voici la belle Hero
Vous soupirez madame. . . Nuit paisible et sereine
Disque 2
Entracte, Sicilienne
Acte 2 - Du vin ! Du vin
Improvisation et chanson à boire
Dieu ! Que vins-je d'entendre ?
Qu'as-tu donc Béatrice ,
n° 11 Trio : Je vais d'un coeur aimant
On nous attend cher Ursule
Choeur lointain : Viens! viens de l'hyménée
Ciel !
Marche nuptiale
Tout est-il prêt ?
n° 14 Enseigne : Ici on voit Bénédict l'homme marié
n° 15 : L'amour est un flambeau
Hector Berlioz,
Messe Solennelle. Orchestre révolutionnaire et romantique,
Monteverdi Choir,
John Eliot Gardiner dir.
Donna Brown, soprano ;
Jean-Luc Viala, Ténor ;
Gilles Cachemaille Basse.
Enregistré le 3 octobre 1993,
Cathédrale de Westminster, Disque Philips 442 137.
Introduction
Kyrie
Gloria
Gratias
Quoniam
Credo
Incarnatus
Crucifixus
Resurrexit (original)
Motet pour l'Offertoire
Sanctus
O salutaris
Agnus Dei
Domine, salvum
Resurrexit (révisé)
Hector Berlioz,La damnation de Faust. Texte de Hector Berlioz, Almire Gandonnières, Gérard de Nerval, London Symphonie Orchestra, Colin Davis dir.,
London Symphony Orchestra Chorus, Ambrosian Singers,
Wansworth School Boys'Choir.
Les bergers quittent leurs troupeaux...Mais d'un éclat guerrier
Marche hongroise
Sans regrets j'ai quitté les riantes campagnes
Christ vient de ressusciter!
Hélas! doux chants du ciel
Ô pure émotion!
A boire encor!
Certain rat, dans une cuisine...Amen
Vrai Dieu, messieurs
Une puce gentile
Assez! fuyons ces lieux
Voici des roses
Dors! heureux Faust
Ballet des Sylphes
Margarita!
Villes entourées
Prélude: La retraite
Merci, doux crépuscule!
Disque 2
Je l'entends!
Que l'air est étouffant!
Autrefois un roi de Thulé
Esprits des flammes inconstantes
Menuet des Follets...Maintenant chantons à cette belle
Devant la maison
Grands dieux!...Ange adoré
Allons, il est trop tard!...Je connais donc enfin
D'amour l'ardente flamme
Au son des trompettes
Nature immense
A la voûte azurée
Dans mon choeur retentit sa voix
Has! Irimiru Karabrao!...Tradioun merxil
Alors, l'Enfer se tut
Laus! Laus!...Remonte au ciel, âme naïve
Hector Berlioz,Benvenuto Cellini
Opéra comique Livret de Léon Wailly et Auguste Barbier, d'après les mémoires de Benvenuto Cellini (1500-1571, composé en 1837, révisé deux fois en 1852, création à l'Opéra de Paris le 10 septembre 1838.
BBC Symphony Orchestra,
Chorus of the Royal Opera House Covent Graden,
Colin Davis dir.
Enregistré à LOndres en 1972, Philips, 416 956 / 957 / 958,
3 volumes
Hector Berlioz,Les Troyens
Livret de Berlioz d'après Virgile, Orchestra and Chorus of the Royal Opera House,
Couvent Garden,
Colin Davis dir.
Enregistré à LOndres en 1969, Philips, 416 432, ,
4 volumes
Jon Vickers, Enée,
Joséphine Veasey, Didon,
Berit Lindholm, Cassandre,
Peter Glossop, Chorèbe.
Disque 1
Ha! ha! Après dix ans
Les Grecs ont disparu...Malheureux Roi!...Chorèbe...C'est Lui!
Reviens à toi, vierge adorée!...Pauvre âme égarée!
Dieux protecteurs de la ville éternelle
Combat de ceste - Pas de lutteurs
Andromaque et son fils!
Du peuple et des soldats
Châtiment effroyable!
Que la déesse nous protège...A cet object sacré formez cortège
Non, je ne verrai pas la déplorable fête
De mes sens éperdus...
Disque 2
Introduction orchestrale...O lumière de Troie!...Ah!...fuis, fils de V énus
Quelle espérance encor est permise...Le salut des vaincus est de n'enp lus attendre
Ah! puissante Cybèle
Tous ne périront pas...O digne soeur d'Hector
Complices de sa gloire...Le trésor! le trésor!
De Carthage les cieux
Gloire à Didon
Nous avons vu finir sept ans à peine...Chers Tyriens
Entrée des constructeurs
Entrée des matelots
Entrée des laboureurs
Peuple! tous les hinneurs...Gloire à Didon
Les chants joyeux...Sa voix fait naître dans mon sein
Echappés à grand peine...Errante sur les mers.
J'éprouve une soudaine et vive impatience
Auguste reine, un peuple errant et malheureux
J'ose à peine annoncer la terrible nouvelle!...Annonce à nos Troyensl 'entreprise nouvelle...Des armes! des armes!
Disque 3
Chasse royale et orage - Pantomime
Dites, Narbal, qui cause vos alarmes?
De quels revers menaces-tu Carthage...Vaine terreur
Marche pour l'entrée de la reine
Pas des Almées
Danse des Esclaves
Pas d'Esclaves nubiennes
Assez, ma soeur...O blonde Cérès
Pardonne, Iopas...O pudeur! Tous conspire
Mais bannissons ces tristes souvenirs...Tout n'est que paix et charme
Nuit d'ivresse et d'extase infinie!
Disque 4
Vallon sonore
Préparez tout, il faut partir enfin...Chaque jour voit grandir la colère des dieux
Par Bacchus! ils sont fous avec leur Italie!...
Inutiles regrets!...Ah! quand viendra l'instant des suprêmes adieux
Enée!...
Debout, Troyens, éveillez-vous, alerte!...Alerte!...entendez-vouz, amis, la voix d'Enée?
Errante sur tes pas...Italie!
Va, ma soeur, l'implorer
En mer, voyez! six vaisseaux!...Dieux immortels! il part!...
Ah! Ah! Je vais mourir...
Adieu, fière cité
Dieux de l'oubli, dieux du Ténare...S'il faut enfin qu'Enée aborde en Italie
Pluton...semble m'être procipe...
Ah! au secours! au secours! la reine s'est frappée
Hector Berlioz,L'Enfance du Christ
London Symphonie Orchestra,
Jophn Alldis Choir,
Colin Davis dir.
Enregistré en 1971, Philips, 416 949,
2 volumes
Disque 1
Dans la crêche, en ce temps, Jésus venait de naître
Marche nocturne
Qui Vient ?
Toujours ce rêve ! . . . misère des rois !
Seigneur !
Les sages de Judée
Évolutions cabalistiques
La voix dit vrai, Seigneur
Eh bien, par le fer qu'ils périssent !
Mon cher fils, donne cette herbe tendre
Joseph! Marie ! Écoutez-nous
Disque 2
Ouverture
Il s'en va loin la terre
Le repos de la Sainte Famille... Les pélerins étant venus
Depuis trois jours, malgré l'ardeur du vent
Dans cette ville immense
Entrez, entrez, pauvres Hébreux ! . . . Grands dieux ! Quelle détresse
Les Ismaëlites se dispersent
Sur vos traits fatigués
Trio pour deux flûtes et harpe : Allegro moderato - Andante espressivo
... Allegro vivo
... Andante
Vous pleurez, jeune mère
Lento . . . Ce fut ainsi que par un infidèle
mon âme, pour toi que reste-t-il faire
Hector Berlioz,Harold En Italie (op 16)
Radio-Sinfonie Orchester,
Frankfurt, Yuri Bashmet, violon,
Eliahu Inba, dir.
Enregistré en 1988l,
Denon 73207
Harold aux montagnes. Scenes de mélancolie, de bonheur, et de joie
Marche des pélerins chantant la prière du soir
Sérénade d'un montagnard des Abruzzes a sa maîtresse
Orgie de brigands. Souvenirs des scènes précédentes
Hector Berlioz,Harold en Italie,
Transcription pour piano et alto par Franz Liszt, Jean-François Heisser,
Bruno Pasquier
Harmonia Mundi 901246,
1988
Harold aux montagnes. Scènes de mélancolie, de bonheur, et de joie
Marche des pélerins chantant la prière du soir
Sérénade d'un montagnard des Abruzzes a sa maîtresse
Orgie de brigands. Souvenirs des scènes précédentes
Hector Berlioz, Symphonie Fantastique opus 14 (Épisode de la vie d'un artiste),
Tristia
The Cleveland Orchestra & Chorus,
(Chorus Master: Gareth Morrell), PIERRE BOULEZ, dir
Deutsche Grammophon, 1997
Symphonie Fantastique
Rêveries-Passions - Largo-Allegro agitato e appassionato assai
Un bal -
Scène aux champs - Adagio
Marche au supplice - Allegretto non troppo
Songe d'une nuit du Sabbat - Larghetto - Allegro - Dies irae - Ronde du Sabbat -
Tristia op. 18
6. I. Méditation religieuse: «Ce monde entier»
7. II. La Mort d'Ophélie «Auprès d'un torrent»
8. III. Marche funèbre pour la dernière scène d'«Hamlet»
Jean-Marc Warszawski
Révision 12 janvier 2008
Révision 23 juin 2016
Révision 13 août 2017