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Mersenne Marin
1588-1648

Marin Mersenne

Né le 8 septembre 1588 à Oizé, mort le 1ᵉʳ septembre 1648 à Paris.

Il naît à Oizé dans la Sarthe dans une famille aisée. Il étudie au collège du Mans puis au collège des Jésuites à la Flèche.

En 1609 il entre au collège royal de Paris. Il étudie à la Sorbonne. En 1611 il entre dans l'ordre des minimes.

Il réside au couvent de Saint-Pierre à Jabline près de Meaux, puis à Paris. En 1613 il célèbre sa première messe.

De 1614 à 1619 il enseigne la philosophie et la théologie au couvent des Minimes de Nevers.

En 1615 il donne une formule mathématique  de la cycloïde.

En 1619 il s'installe au couvent de la place Royale à Paris.

En 1628-1630 il effectue de courts voyages aux Pays-Bas. En 1630 il attire l'attention de Roberval sur les problèmes liés à la cycloïde.

En 1634 il traduit et édite sous forme de paraphrases les Mécaniques de Galilée, peu après le procès intenté au physicien à Rome.

En 1639 il traduit et édite les Nouvelles Pensées de Galilée (les Discorsi sont imprimés à Leyde en 1638).

En 1640-1645 il effectue de courts voyages en France et en Italie.

Il est en relation avec l'Europe scientifique et philosophique, dont Peiresc, Constantin et Christian Huygens, Gassendi, Doni, Galilée, Hobbes, Fermat, Descartes, Torricelli.

Il fait imprimer à Paris les Méditations de Descartes et rassemble les Objections (dont les siennes). Il a également édité Roberval, Hobbes (De Cive), La Mothe Le Vayer, Fermat qui étaient de ses amis.

On trouve chez lui une critique virulente contre l'alchimie, l'astrologie, la sorcellerie et le naturalisme de la Renaissance, représentés par Pomponazzi, Cardan, Paracelse, Fludd.

Il publie en 1624, L'Impiété des déistes, athées et libertins de ce temps, combattue et renversée de point en point par des raisons tirées de la philosophie et de la théologie, puis en 1625, La Vérité des sciences contre les sceptiques et les pyrrhoniens. Pour lui, le mécanisme est propre à sortir la science des ornières alchimistes, mais il n'accepte pas la métaphysique de Descartes, car la science n'en a pas besoin.

Voir Arbeau T. (1520-1595), Maillard P. (1550-1622), Titelouze J. (1563-1633), Fludd R. (1574-1637), S. de Caus (1576-1626), Maugars A. (1580-1645), Lemaire J. (1581-1650), Trichet P. (1586-1644), Gassendi P. (1592-1655), du Cousu A. (1593-4658), Doni G. B. (1594-1647), Descartes René (1596-1650), Ban J. A. (1597-1644), Kircher A. (1602-1680)

Sur le contenu de l'œuvre

Mersenne, mathématicien, a touché toutes les questions scientifiques de son temps. Il a constamment cherché les avis et compétences dans les différents domaines abordés. Sa correspondance constitue la fresque de la pensée du XVIIè. siècle et des événements qui ont secoué le monde scientifique, comme la condamnation de Galilée, ou l'émergence de nouveaux mouvements ésotériques. Il est avant tout un religieux. Pour lui, les athées sont des imposteurs effrontés, de grands criminels (amalgame entre athées et hérétiques). Contre les déistes ou les kabbalistes, il est moins virulent. Il tente de prouver qu'Aristote croyait à l'immortalité de l'âme, contre Copernic, il défend l'idée de miracle. Il reproche à Bacon de tout attendre de l'expérience. Mais il appartient aussi à ce courant qui marque le XVII ème. siècle et qui révèle le dépassement de la pensée médiévale, par une attitude nouvelle face au livre, au langage, aux choses du monde, qui n'est pas sans rappeler certains aspects du mouvement universitaire des XII / XIIIe siècles : le catholique n'a pas de parti pris. Il n'a peur ni de la raison ni de la science. Lorsqu'une vérité a été mise à jour, la religion doit l'accueillir. Ainsi, Kepler est un athée, mais ses théories sont bonnes. Il polémique avec Amama sur le texte hébreux de la genèse (1593-1629) au nom de la Vulgate qu'il défend, mais reconnaît ses mérites dans la connaissance de l'hébreux et entretient par la suite une correspondance avec lui. Défenseur de la foi et de la raison, il s'attache à la critique du renouveau ésotérique, notamment avec l'apparition de la confrérie des Rose Croix qui se manifeste à Paris vers les années 1625. Sur le chemin de cette critique est Robert Fludd. Il lui reproche sa chiromancie, et affirme que les astres ne sont pas les signes des événements futurs. Il condamne l'astrologie. Il fait parvenir à Robert Fludd le dessin d'une paire de mains exécutées par un excellent peintre et le défie de prédire l'avenir du modèle. Entretenant une correspondance avec des alchimistes (Henri de Stanihurst), il adoucit son jugement sur eux, mais combat alors ceux qui veulent faire des écrits saints un acte de nature. Et sur cette voie se trouve encore Robert Fludd

Les métaux et la résonance

(Harmonicorum libri, 1635, page 39)

Je prouve cette proposition par l'expérience que j'aye faite et par la raison.. Avec des chordes passées par le même trou de la filière, et qui sont aussi égales en grosseur et en longueur que l'art des hommes les peut esgaler- Leur longueur est d'un pied et demi de roy; le poids que j'y aye attaché à chaque chorde pour la faire bander et sonner est de trois livres; le poids de chaque chorde est dans la table qui suit. Les balances avec lesquelles les chordes ont été pesées, sont si justes qu'elles ont le gravis divisé en 64 parties: Enfin, la qualité des métaux est telle que je m'en vay la décrire. L'or fin, dont je me suis servy est à 23 carats et demi et vaut cette année 1625 à Paris 36 livres l'once; l'or de travail est à 22 carats car il a deux derniers moitié de cuivre rouge et moitié d'argent et vaut 32 livres l'once.. Voyons maintennant le poids et les sons de toutes les chordes, dont chacune a son diamètre de la sixième partie d'une ligne; et la chorde de boyau, dont le diamètre est 3/7 de ligne fait l'unisson avec 2 livres et demie, et celle qui a 4/7 de ligne, le fait avec trois livres neuf onces et 1/2..

Marin Mersenne 

Pour les métaux moins ductiles, « j'ay fait fondre des pièces dans le même moule» 

Marin Mersenne

Mersenne établit par ailleurs que le nombre de vibrations d'une corde est proportionnel à la racine carrée de sa longueur.

Raison et perception

(Harmonie Universelle, tome I, 1636, Livre des consonnances, propositions 22-23)

Cette difficulté est l'une des plus grandes de la musique, car il semble que l'experience et la raison se combattent icy d'autant que la pluspart des praticiens maintiennent que les tierces et leurs répliques, particulièrement la tierce majeure et la dixième sont plus agréables que la quarte.. Et neanmoins, la raison est contraire, car la proportion de la quarte est plus proche de l'octave et de l'unisson..

Fludd et Kepler

(Harmonie universelle, 1637, page 352)

...Celuy là, dit que la musique prend son origine des figures et des corps géométriques [Kepler,] et celuy cy asseure que le rapport des cieux à la terre et de la nature à Dieu se fait par l'harmonie [Fludd]; Celuy là prend ses fondements des mathématiques et celuy cy de la chymie; l'un se sert des compas et l'autre des fourneaux et du feu, et tous deux ont escrit l'un contre l'autre. Enfin, ils ne parlent tous deux que d'harmonie et de consonnance...

Les battements des tuyaux d'orgue

(Harmonie universelle, (II), 1637, livre VI, des orgues Proposition: 25, page 359. 28, page 362. 30, page 366. 39, page 389)

En étudiant les battements émis par le jeux des tuyaux d'orgues mal accordés en l'octave ou unisson, il approche le formulation de Joseph Sauveur (1700) : Le nombre des battements est égal à la différence entre les nombres des vibrations. Mersenne ne remarque que la proportion.

Lettre de Merserne supposée de 1626

(inspirée des idées de Descartes)

Or, je veux ajouter la raison d'un excellent mathématicien, laquelle poura satisfaire à toutes ces difficultéz, pourveu que nous supposions. premièrement que tous les sons plus aigus sont actuellement dans les plus graves, comme les chordes les plus courtes sont dans les plus longues; conséquement le son grave peut estre divisé en sons aigus, comme la plus longue chorde en chordes plus courtes. deuxièmement le son est plus facile à diviser en deux parties par la simple et par la double ou triple octave, etc, qu'en aucune autre manière. troisièmement, l'octave est naturellement plus facile à diviser en quinte vers le grave et en quarte vers l'aigu, qu'en aucune autre manière. quatrièmement, la quinte peut plus facilement estre divisée en tierce majeure et mineure, et la tierce majeurs en ton majeur et mineur; et ainsi conséquement le reste de l'octave et autres intervalles harmoniques. cinquièmement, si on veut autrement faire cette division ou si on veut poursuivre plus avant, les parties seront dissonantes d'autant qu'elles n'auront pas une proportion si simple. Ce que nous pouvons démontrer par cette ligne AB.

Marin Mersenne

qui représente la chorde d'un monochorde, dans laquelle AB ou CA contient la différence qu'il y a de l'octave à l'unisson, or cette différence estant divisée en deux parties égales au point D, AD contre AC fera la quinte. Par conséquent CD est l'intervalle qui fait la quinte. De plus, si nous divisons CD en deux parties égales au point E, la différence AC à AE sera d'une tierce majeure: Enfin si on divise CE en deux parties égales au point F, AC et AF feront le ton majeur. Les résidus de cette division AD et AB font la quarte, AE et AD la tierce mineure, et AF, AE le ton mineur.

De Claude Bredeau à Mersenne

13 juillet 1628

... car je pense que neantmoins que la musicien doibt faire estat de cela comme de lexclamation de l'interrogeant, de la paranteise, de la parolle égalle, des mouvements de la voix et du corps, parce que quand une lettre se rencontre à mettre en musique, il faut que la musique corresponde à toutes des choses là, autrement elle sera muette, et manquera de grâce, quelque art qu'on y apporte. Au reste je n'entends pas bien ce que vous appelés monter et descendre à l'unisson, car si je dis la sol fa mi ré ut en descendant pour faire qu'une voix se rencontre en ut qui fasse un unisson, je diray peut-estre fa sol la mi fa sol, et ce sol dernier sera l'unisson de l'ut, la première notte faisant tierce majeure, la seconde une quinte, [erreur: unisson ou octave] la troisième une tierce majeure, la quatrième une quinte, la cinquième faisant une tierce majeure, et la sixième l'unisson: où il ne se voit pas qu'on puisse dire des tierces plutost monter que dessanfre, mais elles vont ainsy de laur nature. Et à ce que vous demandés qu'elles differance il y a entre monter et descendre, puisque l'on use de mesmes nottes, elle parait manifestement en ce que, quand je dis ut ré mi fa sol la, ce ne rétrogade pas par les mesmes nottes quand je dis la sol fa mi ré ut, mais j'en écris d'autres qui descencent par les mesmes lieux et font comme le sommet d'une montagne et la vallée. Or je vous ay dit en une autre lettre qu'entre monter et desendre il y a cette différance que celuy qui monte se lasse et ne se foulle pas, et celui qui descend ne se foulle plus qu'il ne se lasse, accause de la masse du corps qui surcherge les cuisses et les jambes. [..] J'ai vu monsieur le chantre [de l'église de Nevers].. il me dict avoir veu et ouy quelques hommes qui formaient de leur bouche deux voix, mais n'en avait ouy aycun qui peust faire deux parties en musique [..] quelques uns formaient une voix de telle façon qu'étant tout proche, il semblait à l'ouy qu'ils fissent fort esloignez. [..] un qui se cachait en un lieu obscur de la chambre, et la menait un bruit comme si cx'eussent esté plusieurs personnes. [..] Il me dict encore en avoir veu un depuis peu dans leur coeur de st. Lire qui à l'ayde d'une feuille , eslevait sa voix merveilleusement par dessus tous les autres ce qu'il apprit à faire à quelques uns de cette ville, et disait l'avoir appris parmy quelques indiens.

à Peiresc

1635

Au sujet d'un manuscrit que Peiresc pensait très ancien. Mersenne juge son propos, issu d'un livre de musique arabe, comme des niaiseries.

...Et pour le manuscrit, j'ajoute qu'il n'est pas vieil et d'écriture nouvelle: Je vous écris ce qu'il y a de plus rare, sans que vous puissiez requerir d'avantage. Au commencement du monde l'arithmétique vint saisir avec le nombre 12 toute la nature, et soudain les 12 lumières procédants de la révélation du nom sacré de Dieu influèrent toutes leurs vertus dans les 12 signes du zodiaque et le fatum de toutes choses, comme 4 qui est le diviseur pour trouver le nombre sympathique. La divinité s'est communiqué à l'univers par 4 et 9, dont il a ordonné l'union par 8 et 27, pair et féminine, impair et masle, qui viennent de 2 et 3. Chaque chose a son nombre et son harmonie et de corrompt quand ils cessent. Or le fondement de tout cecy se prend de ce que les platoniciens représentaient les 12 Dieux par 12, qui tous se réduisent à Jupiter, c'est à dire à l'unité. Ainsi Dieu a choisi le dodécoeche pour bâtir l'univers; de là les 12 signes du zodiaque, 12 pentagones, les 5 triangles dans le dodecoeche, et en chaque dodecoeche 360 triangles comme 360 degrez au ciel : Et Platon a limité la durée des républiques par le nombre 728 ans.

Lettre supposée du frère Fleury à Mersenne

22 janvier 1636

.. Un certain me demanda il y a peu de jours pourquoi les violes accordées de tons en tons, on ne pouvait y trouver aucune octave, no quinte juste. Je lui fit répondre qu'il n'y avait point de division arithmétique, ni harmonique, estant accordés de la sorte, parce que il ni avait point mille raison , égale en proportion. Si j'ay mal dit, c'est par avanture, et si j'ay mal dit, c'est par nature. Vous m'en scaurés à dire vostre sentiment par la première quej'espère recevoir de vous, cer que j'attend avec impatience.

De Doni à Mersenne

27 février 1636

Un orgue qui prononce les voyelles :

... Je crois que votre invention d'orgues qui prononcent les voyelles (dont vous me dites que vous en faisiez faire le cabinet) sera fort éstimé et qu'elle réussira très bien. J'aurois bien grand doute que cela se peut pratiquer aux consonantes, mais je croy que ne l'avez point entrepris...

Une épinette à archet

Je ne sçaurais imaginer comme.. l'archet puisse aller et venir pour faire sonner les cordes; mais si cela réussi, je tiens pour asseuré que le son en sortira plus net.. que celle que vous avez veus à plusiers roues, qui est à Florance faict en Allemagne avec très grande dépense.

Sur les tons

...Nos tons d'aujourd'hui ne sont tons qu'en peinture; et qu'au contraire il y a diversité de vrays tons aux orgues et épinettes de plusieurs lieux d'Italie (comme aussi d'ailleurs); et toutefois ce ne sont pas ces tons qui se prennent par les anciens.. mais cette ambiguité provient de ce qu'on ne se souvient pas de plusieurs sentiments qu'à ceste voix tonus, comme remarque Cléonide, Bacchius et les autres.. Il n'y a doncque autre secret que cestoy là en ce que je vous ay escrit touchant cet instrument de Ramerini.

De Fermat à Mersenne

26 avril 1636

J'ai toujours cru qu'il était bien mal aisé de secouer et détruire les principes des sciences. Car, étant fondés sur l'expérience laborieuse de ceux qui les ont recherchés, il semble qu'il est bien malaisé d'en faire de plus précises, et il encore plus inutile d'appeler la raison qu secours des sens, puisque dans ces opérations, elle présuppose toujours celles des sens exactes et véritables. De sorte, par mon sentiment et par ces raisons, j'estime qu'il serait bien malaisé de trouver une proportion différente de la double qui fit l'octave plus exactement que celle-là. Je vous avoue bien qu'il y en a infinies qui effectivement feront accords différents et lesquels néanmoins la différence ne sera pas comprises par l'ouie la plus délicate qui puisse être; et de là on pourrait conclure que peut-être la vraie octave consiste pas précisément en la proportion double. Mais puisque'en ce principe que les anciens nous ont baillés, nous n'avons jusqu'à présent su découvrir d'erreur sensible, rendons leur ce respect de la croire véritablement, jusqu'à ce que le contraire nous ait apparu. Peut-être que, comme on a trouvé des lunettes qui rendent plus visible des choses qui ne l'estaient pas auparavant, et qui nous font connaître les différences les plus menues et les plus subtiles, on trouvera quelqu'unstrument qui fera tomber les sons les plus proches sous des différences remarquales et sensibles à l'ouie. Or de chercher les raisons pourquoi l'octave est en proportion double c'est ce me semble, traiter des choses hétérogènes. Le son de l'octave est l'accident et la qualité de la proportion doule qui consiste en quantité: la proportion se comprend par la vue; l'accord qu'elle fait, par l'ouie; et ainsi il semble qu'on ne saurait assigner une raison nécessaire pourquoi est-ce que l'un convient à l'autre. Car comme vous le savez, les raisons démonstratives s'arrêtent toujours entre des sujets homogènes. De sorte qu'il vaut mieux laisser décider aux sens toutes les questions de votre lettre que d'altérer des maximes reçues et qu'on ne saurait convaincre de faux.

Lettres du père Marin Mersenne

de 1617 à 1637 seulement

Marin Mersenne

Cogitata physico-mathematico : plan

I- Tractatvs de Mensvris Ponderibvs, atqve, nvmmis tam Hebraicis, quam Graecis, & Romanis ad Parisiensia expensis

II- Hydravlica pnevmatica; arsqve navigandi. Harmonia theorica, practica. Et mechanica phaenomena

III- Ars navigandi. Hydrostaticae, liber primvus. Liber secvndus. De navigatione, sev histiodromia

IV- Harmoniae. Liber primvs, De numero, pondere, & mensura fonorum. Liber secvndus. De arte cantuum componendorum, seu Melopoeia. Liber tertivs. De arte symphonia, seu compositionis harmonicae plurium vocum. Harmoniae. Liber

V- F. Marsini Mersenni Minimi Tractatvs mechanicvs theoricvs et practicvs

VI- F. Marini Mersenni Minimi Ballistica et acontismologia. In qua Sagittarum, Iaculorum, & aliorum Missilium lactus, & Robur Arcuum explicantur

Index amplissimus omnium rerum.


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Les Écrits relatifs à la musique

F. Marini Mersenni ordinis minimorum S. Francisci de Paula. Quaestiones celeberrimae in Genesim, cum accurata textus explicatione. In hoc volumine athei, et deistae impugnantur, et expugnantur, & vulgata editio ab haereticorum caluminiis vindicatur. Graecorum, & hebraeorum musica instauratur. Francisci Georgii Veneti cabalistica dogmata fuse refelluntur, quae passim in illius problematibus habentur.. Cum indice quadruplici (1623)

La vérité des sciences. Contre les septiques ou pyrrhoniens.. Par F. Marin Mersenne (1625)

Traité de l'harmonie universelle, où est contenu la musique théorique et pratique des anciens et modernes, avec les causes de ses effets, enrichie de raison prise de la philosophie et des mathématiques. Par le sieur de Sermes

Questions harmoniques, dans lesquelles sont contenuës plusieurs choses remarquables pour la physique, pour la morale, et pour les autres sciences

Les préludes de l'harmonie universelle ou questions curieuses, utiles aux prédicateurs, aux théologiens, aux astrologues, aux médecins, et aux philosophes, composées par L. P. M. M.

Questions inouyes ou récréation des scavans qui contiennent beaucoup de choses concernantes la théologie la philosophie, & les mathématiques

Les questions théologiques, physiques, morales, et mathématiques. ou chacun trouvera du contentement ou de l'exercice. composéses par L. P. M

F. Marin Mersenni.. Harmonicorum libri in quibus agitur de sonorum natura; causis, et effectibus : de consonantiis, dissonantiis, rationibus, generibus, modis, cantibus, compositione, orbisque totius harmonicis instrumentis.. opus utile grammaticis, oratoribus, philosophis, jurisconsultis, medicis, mathematicis, atque theologis

Harmonie universelle contenant la théorie et la pratique de la musique, ou il est traité de la nature des sons, et des mouvemens, des consonances, des dissonances, des genres, des modes, de la composition, de la voix, des chants, et de toutes sortes d'instruments harmoniques, par F. Marin Mersenne de l'ordre des minimes

F. Marini Mersenni.. Cogitata physico-mathematica. In quibus tam naturae quam artis effectus admirandi certissimis demonstrationibus explicantur

marin MersenneNovarum observationum physico-mathematicarum F. Martini Mersenni,.. Tomus III. quibus accedit aristarchus samius (id est Ae. P. Roberval) de munidi systemate

Correspondance

Autres écrits

L'impiété des déistes, athées et libertins de ce temps, combattuë, et renversée de point en point par raisons tirées de la philosophie et de la theologie. Paris, P. Bilaine, 1624 [cet imposant ouvrage de plus de 800 pages est une réponse en dialogue à un pamphlet en 101 quatrains qui circulait vers 1623. Mersenne réfute au passage la philosophgie de Giordano Bruno, brûlé vif sur ordre de l'Inquisition en 1600]

Bibliographie

Jean-Marc Warszawski
Novembre 1995-2002
remise en page 24 août 2016


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Jeudi 30 Mai, 2024

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