Né à Looz, aujourd'hui Borgloon, près de Hasselt, vers 1610, mort à
Paris, le 8 mai 1684.
Ses parents sont Henry De Thier (en latin à Montagne), de Villiers-l'Évêque, et Élisabeth Orbaen. Ils s'intallent à Looz.
Looz.
Vers 1613, sa famille s'installe à Maastricht.
En 1621, avec son frère Lambert, il entre dans les
choeurs de la Onze-Lieve-Vrouwekerk (Notre-Dame de Maastricht). Il y étudie l'orgue (son frère le
basson), et continue ses études au collège des jésuites.
Maastricht, Onze-Lieve-Vrouwekerk en 1740.
En 1629, il est nommé organiste. L'année suivante il lui est accordé la permission de deux mois sans perte sur ses rémunérations, pour se former auprès de maîtres. Il fréquente peut-être Saint-Lambert de Liège sous la direction de Léonard de Hodemont, où il aurait fait la connaissance de Lambert Pietkin, organiste également réputé (leurs familles étaient en ralations).
En 1632, il est remplacé par un certain Joannes Silvius, puis par son frère Lambert, qui passe du basson à l'orgue, mais il conserve un bénéfice de Saint-Anne, ce qui atteste une présence asssez régulière à Maastricht, obtient un nouveau congé en 1633, et « disparaît » de Maastricht. Il réapparaît à
Paris sous le nom de Du Mont en 1643, comme organiste de Saint-Paul à
Paris, dans le quartier du Marais.
En 1647 il devient sujet du roi de France. En 1652,
il est claveciniste du duc d'Anjou. La même année il publie ses Cantica sacra cum vocibus tum instumentis modulata, dans lequel il
prétend à tort être le premier à avoir employé la basse continue.
Entre 1652 et 1681, 114 petits motets sont publiés dans
5 collections. En 1653, il retourne quelques temps à Maastricht et s'y
marie avec la fille du bourgmestre de Maastricht, Mechthilde Loyens. De ces
années date sa correspondance et ses rencontres avec Cristian Huygens, mais aussi son, père Constantijn.
En 1657, il publie ses Meslanges, recueil de musique profane et religieuse.
En 1660, année du décès de son épouse, il est organiste de la reine, en 1662, il en est
le claveciniste (il revend sa charge auprès du duc d'Anjou pour mille livres), et en 1663, maître de musique la chapelle
royale (pour 1 quartier, d'octobre à décembre). La même année il publie ses Airs à quatre parties (paraphrases des psaumes).
Sa mère décède fin août (le 30 ?) 1633. Elle est inhumée sous l'orgue de l'église Saint-Martin de Wyck (aujourd'hui un quartier de Maastricht. L'église médiévale a été démolie et reconstruite au xixe siècle).
En 1667, il est abbé de Notre-Dame de
Silly-en-Gouffern (Alençon).
En 1672, il est compositeur de la chapelle royale (pour un quartier de janvier à juillet).
En 1669, il publie 5 Messes en plain-chant.
En 1673, il est nommé maître de musique de la reine. En
1676, il reçoit le bénéfice d'un canonicat à St.-Servatius de
Maastricht.
Son frère décède le 27 novembre 1678.
Sinfonia & Grand Motet, L'Harmonie des Saisons,
Granby, Quebec avril 2012.
Henri Dumont, Magnificat, Céline Scheen, Hanna Bayodi-Hirt, Mathias Vidal, Lluis Vilamajo, Stephan MacLeod, Collegium vocale de Gant, Ricercar Consort, sous la direction de Philippe Pierlot.
Henri Dumont,
O Dulcissima (extrait des grands motets), Ensemble Correspondances, sous la direction de Sébastien Daucé.
Documents
émile Vuillermoz, Histoire de la musique [8e édition, Arthème Fayard, Paris 1949, p.
113]
Le XVIIe a donné également à la musique religieuse
française la curieuse formule des messes d'Henry Du Mont (1610-1684) qui
font encore les beaux jours de nos paroisses provinciales parce qu'elles
vulgarisent d'une façon aimable et facile une formule approximative de
plain-chant modernisé accessible aux masses ignorantes qui entonnent le
populaire Credo avec la foi touchante des «charbonniers» du chant
grégorien. Ajoutons que du Mont a composé, d'autre part, de grands motets
pour la chapelle du roi d'une écriture et d'un style beaucoup plus
élevé
Robert Bernard, Dans Encyclopédie des musiques sacrées [3 vol.]., Labergerie, Paris 1969
(3) p. 522-523
[Henry de Thiers, dit Henry Du Mont ou Dumont] Né à
Liège, ce dernier fut un organiste illustre et il a composé des motets
qui, s'ils ne les égalent pas, peuvent cependant soutenir la comparaison
avec ceux de Delalande. Cest dans ses Cantica sacra de 2 à 4 voix avec
instruments, que se trouve l'admirable Peccator ubi où dialoguent l'ange
et le pécheur. Nous citerons aussi ses Meslanges, le Magnificat, les
lItanies de la Vierge, ses 5 Messes en plain-chant (dont il faut détacher
la célèbre Messe Royale et, sur les textes d'Antoine Godeau que Gobert a
également utilisés, la Paraphrase de quelques psaumes. Du Mont est l'un
des rares compositeurs pour lequel Lully professa de l'admiration ; le
fait est que ce dernier lui est manifestement inférieur sur le plan de
l'intensité mystique et celui de la fécondité et de la variété de
l'imagination créatrice.
Le monument funéraire d'Henry Du Mont, érigé dans l'église Saint-Paul de Paris, détruite pendant la Révolution. La plaque représentant « la musique éplorée » est aujourd'hui conservée au Musée du Louvre. Dession réalisé par Louis Boudan pour François-Roger de Gaignières (1642–1715), collectionneur, qui a réuni à la fin du XVIIe siècle, des milliers
de dessins notamment de monuments.
Catalogue des œuvres
Henri Du Mont, Motets à deux voix (édition Nathalie Berton-Blivet). « monumentales », Éditions du Centre de musique baroque de Versailles, 2016.
1552, Cantica sacra, 2-4 voix,
instruments
1652, Bernardus doctor, hymne, 2 sopranos, alto,contre-ténor basse continue
1652, Christus natus est nobis, invitatorium,
soprano, contre-ténor, ténor, basse, viole ou violon
ad libitum, basse continue
1652, Congratulamini,
soprano ou contre-ténor, alto ou ténor, basse continue
1652, Litaniae Beatae Mariae Virginis, soprano ou contre-ténor, soprano
ou contre-ténor ad libitum, alto ou ténor, basse ad libitum, viole ou violon
ad libitum, basse continue
1652, Magnificat,
soprano ou contre-ténor, alto ou ténor, basse continue
1652, Non defrauderis, soprano ou contre-ténor, basse ad
libitum, basse continue
1652, O Domine Deus, soprano, alto,contre-ténor
basse, basse continue
1652, O foelix Roma, hymne, contre-ténor
ou soprano,
ténor ou alto, basse continue
1652, O gloriosa Domina (II), soprano
ou contre-ténor, alto ou ténor, viol, violon, basse viol, basse continue
1652, O panis
angelorum, soprano, 2 altos, basse, basse continue
1652, O salutaris hostia (II),
alto,contre-ténor basse, basse continue
1652, Panis angelicus (II), soprano, 3
ou 4 violes (ou soprano ou ténor, alto
ou ténor, contyre-ténor ou soprano, basse), basse
continue
1661, Troisième partie adjoustée aux préludes des Meslanges … avec la basse continue
des motets à plusieurs parties, pour la commodité des instruments
1663, Airs à 4, basse continue, et quelques-uns à 3 en forme de motets à la fin
du livre, sur la paraphrase de quelques psaumes et cantiques de Messire Antoine
Godeau [A peine de mes jours ; Bienheureux
à qui Dieu (psaume xxxi) ; Ces voûtes claires et solides (psaume xviii) ;
Contre ces cruels envieux (psaume xxv) ; Espoir de toute âme affligée
; Fils des hommes, peuples divers ( psaume xlviii) ; Grand Dieu dont la bonté (psaume xxxvii), soprano,contre-ténor, ténor, basse, basse continue; Grand Dieu preste l'oreille (psaume l);
Grand Dieu qui sur les roys (psaume vi) ; Heureux de qui l'âme est atteinte
(psaume xl) ; Heureux qui n'ouvre point son coeur (psaume i)
; Il
est temps que l'ennuy ; J'ay d'une extresme impatience psaume xxxix) ; Justes, avec plaisir (psaume xxxii)
; Le cerf qu'une meute inhumaine (psaume xli)
; Le Dieu de tous les Dieux (psaume xlix) ; Le meschant pour flater son vice (psaume xxxv) ; Louez par des chansons nouvelles (psaume xcvii)
;
Mon Dieu, mon Dieu, regarde-moy (psaume xxi) ; Monarque souverain (psaume xxvii)
; Objet dont mon âme est ravie (psaume cxlv)
; Peuples battez des
mains (psaume xlvi) ; Peuples racontez les
louanges (psaume cxii) ; Poussons dans l'air
des cris de joye ; Preste l'oreille
à ma plainte (psaume lxiii) ; Puisque la grâce du Seigneur (psaume xxxiii)
; Quand l'esprit accablé (psaume iv)
; Quand l'esprit
accablé (psaume iv) ; Seigneur de
qui la terre (psaume cxxxviii) ; Seigneur dont la bonté (psaume xvi)
; Seigneur ma suprême puissance (psaume xvii)
; Seigneur pour m'acquitter (psaume ix)
; Seigneur puisque mon espérance
(psaume xv) ; Seigneur que jusqu'icy (psaume liii) ; Seigneur qui connais
le danger (psaume xi) ; Seigneur qui vois
les maux (psaume ci) ; Suprême arbitre des monarques
(psaume viii)
;
Toy qui vois d'un œil plein d'envie (psaume xxxvi)
; Vous qui dans cet
estat (psaume xxviii)
1663, Airs à 4, basse continue, et quelques-uns à 3 en forme de motets à la fin
du livre, sur la paraphrase de quelques psaumes et cantiques de Messire Antoine
Godeau
1663, Benedico te, soprano, basse continue
1663, Domine salvum fac
regem (VI), soprano, basse, basse continue
1668, Veni creator (2), hymne, soprano ou contre-ténor, alto ou ténor, basse continue
1668, Benedicam Dominum, 2 sopranos
ou ténors, violon ad libitum, basse continue
1668, Dic mihi o bone Jesu, contre-ténor
ou soprano,
ténor ou alto, basse continue
1668, Dignare Domine, soprano ou contre-ténor, alto
ou ténor, basse continue
1668, Domine in virtute, soprano
ou contre-ténor, alto ou ténor.
basse continue
1668, Domine non secundum, alto ou ténor, basse continue
1668, Gloriosissima
Maria, 2 sopranos ou contre-ténors, basse continue
1668, Iste confessor,
hymne, soprano ou contre-ténor, alto ou ténor, basse continue
1668, Te timeo, sur un texte de P. Perrin, , ténor ou alto, basse, basse continue
1668, Tota
pulchra es, soprano ou ténor, soprano ou ténor, basse continue
1668, Allemande, orgue ou 2 violons, basse
continue
1668, Ave verum corpus,
soprano ou contre-ténor, basse, basse continue
1668, Ego enim accepi, contre-ténor ou soprano, ténor ou alto, basse continue
1668, In lectulo meo (II), soprano ou contre-ténor, basse, basse continue
1668, Media vita in morte, 2 sopranos, contre-ténor, ténor, basse, viol, basse viol, basse continue
1668, Memorare,
o piissima, soprano ou ténor, basse, violon ad libitum, basse continue
1668, Miserere mei, Domine,
contre-ténor ou soprano, ténor ou alto, basse continue
1668, Non amo te, sur un texte de
P. Perrin, soprano, alto, (ou 2 contre-ténors,
basse de violon), basse continue
1668, O aeternae
misericors (De aeternitate), alto ou ténor, basse continue
1668, O dulcedo amoris, contre-ténor ou soprano, ténor ou alto, violon ad libitum, basse continue
1668, O fideles!
miseremini, sur un texte de P. Perrin, soprano ou contre-ténor, basse continue
1668, O gloriosa Mariae, su run texte
de P. Perrin, contre-ténor
ou soprano, ténor ou alto,
basse continue
1668, O salutaris hostia (II), soprano
ou contre-ténor, alto ou ténor, basse
continue
1668, Panis angelicus (II), soprano ou contre-ténor, violon
ad libitum, basse continue
1668, Panis angelicus (III), soprano ou ténor, violon ad libitum, basse continue
1668, Paratum cor meum, soprano, soprano
ou contre-ténor,
basse continue
1668, Peccator ubi es, contre-ténor ou soprano, ténor ou alto, basse continue
1668, Quam pulchra es, soprano ou contre-ténor, alto ou ténor, basse continue
1668, Quare tristis
es, sur un texte de P. Perrin, , ténor ou soprano, ténor ou alto, basse continue
1668, Quemadmodum, soprano
ou contre-ténor, soprano ou ténor, basse continue
1668, Quis mihi det Domine, soprano ou contre-ténor, alto ou ténor, basse continue, 1668
1668, Symphonia, 2 violons, basse continue
1669, Cinq messes en plain-chant, composées et dédiées aux révérends pères de la
Mercy du Couvent de Paris [Premier ton ; second ton ; Quatrième ton
; Cinquième
ton ; Sixième ton]
s.d., Dum esset rex, violon, 2 altos, basse continue
s.d., Mater Jerusalem, voix, 2 violons, 2 altos, basse continue
s.d., Nisi Dominus ( psaume 126 ), 2 violons, 2 altos, basse de violon,
basse continue
s.d., O flos convallium (texte de P. Perrin), 2 violons, 2 altos, basse
continue
s.d., 2 allemandes, orguie ou clavecin
s.d., 5 allemandes, 1 courante, 1 pavane, orgue ou clavecin
s.d., Alma redemptoris mater, 4 voix, 3 instruments, basse continue
s.d., Anima mea in dolore est (Dialogus de Anima), soprano, contre-ténor, 2 ténors, basse, 2 violons, basse continue
s.d., Cantica sacra, 2-4 voix, instruments
Bibliographie
Anthony J. R., French Baroque Music from Beaujoyeulx to Rameau. London 1973; 1978
[trad. française 1981]
Auda antoine, La musique et les musiciens de l'ancien pays de Liège. Bruxelles
1930
Benoit M (éd.), Dictionnaire de la musique en France aux XVIIeet XVIIIesiècles. Paris 1992
Clercx Suzanne, Le dix-septième et le dix-huitième siècles. Dans E. Closson &
C. van den Borren, « La musique en Belgique du Moyen Age à nos jours »,
Bruxelles 1950, p. 145–233
Collard L.-H, Quelques documents inédits sur
Henry Du Mont. Dans ««Recherches sur la musique française classique» (15),
1975 p. 244-261
Decobert Laurence,Henry Dumont (1610-1684), Maistre et compositeur de la musique du Roy et de la Reyne. Mardaga 2011.
—, Quelques nouveaux éléments biographiques concernant Henry Du Mont.
Dans « Modus : revista do Instituto gregoriano de Lisboa » (3) 1989-1992),
p. 59-72
—, Henry Du Mont (1610–1684), sous-maître de la chapelle de Louis XIV :
contribution à l'histoire de la musique religieuse au Grand Siècle. Lille 1990
—, Henry Du Mont et le pays de Liège. Dans « Revue belge de
musicologie » (47) 1993, p. 105-105
—, Les choeurs dans les grands motets de Henry Du Mont. Dans « Revue de
musicologie » (80) 1994, p. 39-80
—, Les symphonies d'ouverture dans les grands motets de Henry Du Mont.
Dans «Ostinato rigore : revue internationale d'études musicales» (8-9)
1997, p. 293-310
Dufourcq Norbert, De l'emploi du temps des
organistes parisiens sous les règnes de Louis XIII et Louis XIV. Dans« Revue musicale » (266), 1955, p. 35-37
Duron J.,Henry Du Mont. Dans E. Lemaître, «Guide de la musique sacrée :
l'âge baroque (1600–1750)», Paris, 1992, p. 367-379
Garros M., Le motet à voix seule et basse continue (thèse). Paris, Sorbonne
1938, p. 50–94
—, La musique religieuse en France de 1600 à 1750. Dans Roland-Manuel, «Histoire de la musique» (1),
Paris 1960, p. 1591-1613.
Lionnet J. (éd.), Le concert des muses: promenade musicale dans le Baroque français. Versailles 1997
Mongrédien Jean, (éd.), Catalogue thématique du grand motet français (1663–1792). Munich
1984
Prod'homme J.-G. (éd.), écrits de musiciens
(XVe–XVIIIesiècles). Paris 1912 [édition des dédicaces des Meslanges]
Quittard H., Un musicien en France au XVIIesiècle : Henry Du Mont. Paris 1906
Quitin J., Le livre des Meslanges de Henry Du Mont. Dans «Bulletin de la
Société liégoise de musicologie» (50), 1983, p. 1-19
Sawkins L., Chronology and Evolution of the Grand Motet at the Court of Louis
XIV. Dans J. H. Hajdu, «Jean-Baptiste Lully and the Music of the
French Baroque», Cambridge 1989, p. 41–79
Vitry P., Le tombeau de Henry Du Mont. Dans « Annales de la Fédération
archéologique et historique de Belgique » (21), Liège 1909
Discographie
Les litanies de la Vierge Ensemble Henri Dumont
Peter Bennett dir.
LINN RECORDS, 1996
01-Anonyme, Veni sponsa mea ; 02 - Henri Dumont, Pavane ; 03 - Henri
Dumont, Prélude ; 04 - Henti Dumont, Litanies de la Vierge ; 05 - Henri
Dumont, Allemande Gravis ; 06 - Henri Dumont, Antienne de sainte Cécile ;
07 - Henri Dumont, Anonyme, Pater Noster ; 08 - Henri Dumont, O Sponse mi
; 09 - Anonyme, Egredimini Filiae Sion ; 10 - Henri Dumont, Synfonia ; 11
- Anonyme, O veneranda Trinitas ; 12 - Henri Dumont, Prélude ; 13 - Henri
Dumont, Domine salvum fac Regem.
Motets pour la chapelle du roi La Chapelle royale
Philippe Herreweghe dir.
1981, numérisé en 1988
Harmonia Mundi 1901077
01- Memorare ; 02- Symphonie ; 03- Dialogue ; 04- Symphonie ; 05- Choeur A
3 Voix ; 06- Duo ; 07- Sy/mphonie ; 08- Choeur A 3 ; 09- Choeur A 5
; 10- Magnificat ; 11- Et Exultavit ; 12- Quia Respexit ; 13- Deposuit
Potentes ; 14- Suscepit Israel ; 15- Sic ut Locutus Est ; 16- Sicut Erat
In Principio ; 17- Super Flumina Babylonis ; 18- Quia Illic ; 19- Quodmodo
Cantabimus
Motets à voix seule
Ricercar Consort
Henri Ledroit haute-contre
Ricercar, 029004
01- O fideles ; 02- Memorare ; 03- Paratum cor meum ; 04- Symphonia ; 05-
In lectulo meo ; 06- Panis Angelicus ; 07- Allemanda gravis ; 08- Pavane ;
09- O aeterna misericors Deus ; 10- In lectulo meo ; 11- Domine non
secundum ; 12- Symphonia XXVIII ; 13- Ave Virgo ; 14- Regina Divina
Motets en dialogue
Les talents lyriques
Christophe Rousset dir., orgue et clavecin
Musique à Versailles
Centre de musique baroqude de Versailles, 1992
DDD
01- Allemande grave pour orgue, en ré mineur ; 02- Litanies à la Vierge à
5 voix avec la basse continue ; 03- Synphonia à 3 en sol mineur pour 2
dessus de violons et basse continue ; 04- Allemanda à 3 en sol mineur pour
2 dessus de violons et basse continue ; 05- Dialogus angeli et peccatoris
à 2 pour dessus, das-dessus et basse continue ; 06- Allemande en tablature
d'orgue en la mineur ; 07- Pavane à 3 en ré mineur pour 2 dessus de
violons et basse continue ; 08- Sarabande à 3 en ré mineur pour 2 dessus
de violons et basse continue ; 09- In lectulo meo, motet en écho pour
dessus seul avec la basse continue ; 10- Allemande sur les anches pour
orgue ; 11- In te domine, dialogue à 3 pour haute-contre, taille et basse
avec la basse continue ; 12- Dialogus De Anima à 5 avec 2 violons et basse
continue ; 13- Pavane en ré mineur ;