Bonnal Ermend
1880-1944

Joseph Ermend Bonnal, dit Ermend Bonnal, également connu sous le pseudonyme de Guy Marylis. Né à Bordeaux le 1er juillet 1880, mort à Bordeaux le 14 août 1944.
Son père, Émile Bonnal, domicilié 14 rue de la Bourse à Bordeaux, est ferblantier, mais également violoniste. Il joue de la musique de chambre deux fois par semaine avec ses amis, et tient pendant plus de vingt ans le pupitre de second violon dans l'orchestre de la société Sainte-Cécile de Bordeaux.
Il est le premier professeur de musique de son fils Joseph et de sa fille Marthe.
En 1892, Joseph Bonnal entre au Conservatoire de Bordeaux, dans la classe de piano de Gaston Sarreau, trois ans plus tard, à l'âge de 15 ans, il est suppléant à l'orgue de l'église Saint-Pierre de Bordeaux.
En 1897, est admis dans la classe de piano de Charles-Wilfrid Bériot au Conservatoire national supérieur de Paris. Attiré par l'orgue, il intègre par la suite, la classe d'Alexandre Guilmant, et celle de composition de Gabriel Fauré, où il croise Florent Schmitt, Albert Roussel, Maurice Ravel et Paul Ladmirault. Il partage avec Nadia Boulanger, avec laquelle il restera très lié sa vie durant, un premier accessit.
Aimant danser et les musiques de bal de son époque, il adopte le pseudonyme de Guy Marylis, pour ses tangos et fox-trots ou autres, considérant que musique classique et légère sont deux mondes étrangers l'un à l'autre. Il accompagne également les films muets.
En 1900, il crée, Salle Pleyel, sa sonate pour violon et piano, avec son compatriote bordelais, le violoniste André Dulaurens (1873-1932), et en 1903 la Petite Rhapsodie sur un thème breton, composée en 1898, à l'église Saint-Pierre de Bordeaux.
En 1904, sa Rapsodie landaise pour piano et orchestre, créée Salle Pleyel, reçoit le Prix Pleyel du Concours de la Société des compositeurs et le second Prix pour son Paysage landais pour orgue.
La même année, nanti de ses Premiers prix d'orgue et d'improvisation, il quitte le Conservatoire pour se perfectionner auprès de Charles Tournemire et de Louis Vierne, et assure les remplacements de Widor à Saint-Sulpice et d'Albert Périlhou à Saint-Séverin où il rencontre Saint-Saëns.
Il se marie à Bordeaux le 17 août 1903 avec Suzanne Marie Bonnal (1881-1920), cantatrice et professeur de chant, avec laquelle il n'aucun lien de parenté. Ils logent alors 16 place du Parlement à Bordeaux. Ils auront deux enfants, Marguerite-Paule, dite Édith (1904-2014) et Franck (1912).
En 1906, la Société des compositeurs de musique lui décerne un deuxième Prix (doté de 200 francs) au concours de fantaisie pour piano et orchestre (1er Prix pour Aimé Kunc).
Vers 1910, il demeure à Villeneuve-le-Roi. En 1911, il est organiste à Notre-Dame de Boulogne-sur-Seine et de l'orgue de Saint-Médard à Paris.
En 1915, à l'occasion de tournées avec Édmond Clément, il collecte des thèmes populaires, et passe la période de la guerre dans le Sud-Ouest.
En 1919, il séjourne à la pension des Arènes à Arcachon durant la saison d'été .
En 1920, il est nommé à la demande de Gabriel Fauré, membre du jury des concours d'orgue au Conservatoire national de Paris, et remporte le concours pour le poste de professeur d'orgue du Conservatoire de Strasbourg, mais le résultat est annulé par la municipalité, qui ne veut pas à ce poste un catholique pratiquant.
Son épouse Suzanne Marie décède le 26 mai 1920, il se remarie avec Hélène Chevenot (1894-1982), pianiste amateur, et professeur d'histoire de l'art, le 27 novembre à Montrouge. Ils auront neuf enfants.
Ermend Bonnal et Hélène Chevenot (toile de Rigeaud ?)
Le 31 mars 1921, il est nommé, par arrêté, directeur du Conservatoire national de musique de Bayonne, après la démission de Constant Stiévenard.
Le 7 mai 1926, il crée les Poèmes franciscains sur des textes de Francis Jammes (1868-1938), à l'Alhambra de Bordeaux.
Ermend Bonnal,
Poèmes franciscains, n
o 2, « Présentation de la Vierge ».
Le 18 septembre 1928, le Prix international de la Synagogue Emanu-El de San Francisco lui est attribué (doté de 500 dollars = 10 800 francs), pour sa mise en musique du psaume Adom Olan.
De 1930 à 1939, il est organiste de l'église Saint-André.
Ermend Bonnal, « Cloches dans le ciel », extrait de
Paysages Euskariens, par Tatiana Konina.
En 1931, l'Académie des Beaux-Arts lui décerne le Prix Trémont.
Il se fait remarquer comme compositeur à la création de sa symphonie pour orgue d'après Media Vita créée en 1932, à l'occasion du concours de la Société les Amis de l'Orgue, qu'il remporte contre André Fleury et Daniel-Lesur. Dans le jury : Nadia Boulanger, Gabriel Pierné, Maurice Emmanuel, Florent Schmitt, Arthur Honegger.
Le 14 mai 1932, l'Académie des Beaux-Arts lui décerne un prix de 1 000 francs.
En 1933, il partage le Prix Jacques Durand de l'Académie des Beaux-Arts avec Guy Ropartz.
Le 8 juin 1935, l'Académie des Beaux-Arts lui attribue le Prix Chartier (doté de 500 francs).
En 1936, il entame une collaboration avec Ferdinand Earle (peintre, il travaille sur les décors et les titres de cinéma), pour la réalisation de films. Il compose plusieurs musiques pour quelques projets qui ne verront pas le jour.
Le 12 juin 1937, l'Académie des Beaux-Arts lui octroie 2 000 francs pris sur la dotation de la Fondation Barbier-Muret, en raison de ses lourdes charges de famille.
En 1838, il reçoit le Prix Lasserre pour la musique, doté de 8 100 francs (Marcel Jouhandeau reçoit quant à lui celui pour la littérature doté de 8 000 francs).
Ermend Bonnal avec sa fille Marylise.
En 1939, son trio à cordes enregistré par le Trio Pasquier reçoit le Grand prix du disque. La même année il succède à Charles Tournemire à l'orgue de Sainte-Clotilde.
Par arrêté du 18 décembre 1941, il est nommé après le départ à retraite de Max d'Ollone, inspecteur de l'enseignement musical, pour une durée de cinq ans.
Sous le pseudonyme de Guy Marylis il a publié de nombreuses œuvres de musique de variété et de danses à la mode.
Enterré provisoirement à Bordeaux, ll est inhumé en 1974 au cimetière d'Arcangues selon ses voeux.



Catalogue des œuvres
- 1898, Petite rhapsodie sur un thème breton, pour orgue
- 1899, Le rossignol, pour voix et piano.
- 1899-1903, Sonate pour violon et piano, dédicacée à Thérèse Humbert-Daurignac (inachevée).
- 1899, IIe esquisse, pour piano, dédicacée à son Altesse Royale Monseigneur le prince Guy de Lusignan.
- 1902, Nuit pâle, pour voix et piano.
- 1903, Vaine prière, pour voix et piano.
- 1899, Esquisse, pour piano
- 1904, Paysage landais, pour orgue.
- 1904 (opus 16, no 2), Complainte douce, mélodie sur un poème de V. Claudius Jacquet, dédicacée à Mme Mellot-Joubert.
- 1905 (opus 17), Reflets solaires, pour orgue.
- 1905, Laudate Dominum, pour choeur mixte (SATB) et orgue.
- 1906 (entre 1906 et 1944), Ballade provençale, pour chœur, ad libitum, soliste, piano, dédicacée à André Balbon [attaché à l'Opéra-Comique].
- 1906 (opus 16, no 3), Le fiancée, mélodie sur un poème d'Émile Despax, dédicacé à Mme Cléricy du Collet.
- 1907 (opus 23), Improvisations, pour violon et piano, dédicacées à son père [conducteur] [violon] [alto]
- 1907 (opus 25, no 1), Le chêne gaulois, sur un poème de Stéphen, chansonLiégeard, dédicacé Georges Petit de la Gaîté Lyrique.
- 1908, Prière et choral (instumental), dédicacés à Samuel Rousseau, créés à Lausanne en 1936 (existe pour orgue solo).
- 1909 (opus 28), La sago kaj la canto (la flèche et la chanson), sur un poème espéranto de A. Grabowski, « kanto por una voco kaj pianoforto » , pour voix et piano, dédicacées à Paul Deslaurier.
- 1909 (opus 29), Petit poème, pour alto, violon et piano, dédicacé à Marcel Chailly et Philippe Jungersen [conducteur] [violon]
- 1910, Flaïolet, sur un texte du 13e siècle, pour voix accompagnement de flûte ad libitum.
- 1910, Pour mes petits amis, pour piano.
- 1910 (opus 33), Légende, pour violon et piano.
- 1910 (août), La pluie tombe, pour harpe, dédicacé à Paulette Marly.
- 1903, Colinette, « petite romance », pour piano, morceau facile en grosses notes, dédicacée à Colette Roudanez.
- 1913, Jacqueline, petite valse pour piano, dédicacée à Jacque Charbonnez.
- 1913, J'ai cassé ma poupée, pour piano facile en grosses notes.
- 1913, La mazurka du crabe, pour piano.
- 1913, Petit menuet, pour piano.
- 1913, Toto sait danser, pour piano.
- 1916, Sur le lac triste, pour violon et piano.
- 1918, Noël landais, pour orgue.
- 1919-1922, Soir aux Abatilles, pour piano, dédicacé à Blanche Selva.
- 1920, Roland, ouverture héroïque pour orchestre, dédicacée à Francis Salabert.
- 1921, Menuet triste, « en marge de Verlaine », pour piano, dédicacé à sa sœur Marthe.
- 1921 (?), Menuet triste, pour flûte et et cordes : 1 flûte, 6 premiers violons, 5 seconds violons, 3 altos, 3 violoncelles, 2 contrebasses.
- 1921, Noël désuet, pour piano, dédicacé à son ami, F. de la Tombelle.
- 1921 (août, Bayone), Quand les pins chanteront, pour voix et piano, dédicacé à sa femme, Hélène Bonnal.
- 1922, À la manière de, pour piano, dédicacé à Lucie Deslaurier.
- 1922, Pour bercer Nicole, « sur le rythme classique », pour piano, dédicacé à sa chère nièce Nicole.
- 1923, L'amour, sur un poème d'Émile Despaz, pour chœur à deux voix et orchestre.
- 1926, L'étoile du soir, sur un poème d'Alfred de Musset, pour choeur féminin et orchestre (existe réduction pour piano).
- 1924-1927, Chansons d'Agnoutine [12], sur des poèmes de Loys Labéque, avec un Poème-préface de Francis Jammes, Illustrations de R. & G. Chevenot, pour voix et piano.
1. La chanson d'Agnoutine, 2., Notre-Dame de Buglose (dédicacée à Mme René d'Avezac de Castéra), 3. Ronde de la bergeronnette (dédicacée à sa fille Édith), 4. Pélerin, ô gué, 5. Où allez-vous, mes songes ? (Noël, Bayonne, 1926) , 6. Sous les pins (dédicacé à Mme Paul Chevenot), 7. Berceuse marine (dédicacée à Mlle Mady Galtier), 8. Chanson d'aventure, 9. Complainte de saint Vincent de Paul (dédicacée à Georges Périé), 10. Chanson de l'alouette (dédicacée à la Comtesse Christian Delbée), 11. Chanson de la tour (dédicacée à Madame Yvette Guilbert), 12. Cantique de joie (dédicacé à Mme Francis Jammes).
- 1927, premier quatuor.
- 1928, Les carillons de Buglose, pour piano. Pièces composées pour le carillon de la basilique Notre-Dame de Buglose, créées en 1928 par le compositeur : Pour un matin de printemps ; En pensant à Clément Marot ; Pour la Toussaint et le Jour des morts ; Un Noël du temps des échasses [transcription pour piano par le compositeur].
- 1929, Adon Olam,prière hébraïque pour basse solo, choeur, orgue et orchestre.
- 1930-1931, Paysages euskariens, pour orgue : 1. La vallée de Béhorléguy au matin, 2. Le berger d'Ahusky, 3. Cloches dans le Ciel.
- 1930, Poèmes franciscains, oratorio sur un texte de Francis Jammes en 19 parties.
- 1930, Chant nuptial, pour voix et piano.
- 1930, Noël pyrénéen, pour piano, dédicacé à sa nièce Colette Baudin.
- 1931, Je m'en vais jusqu'au marché, sur un thème populaire basque, pour 4 voix masculines a cappella.
- 1932 (Amentcha, mai), Symphonie d'après « Media Vita », symphonie pour orgue, dédicacée « Au cher André Fleury en lui disant mon désir de connaître son triptyque et en lui redisant mon amitié ».
- 1933, Il était un enfançon, chanson landaise, à quatre voix mixtes, sur un poème de Loys Labèque. Chant seul.
- 1930-1931, 4 chansons populaires basques, à 4 voix (harmonisations) : Réunit : Lurraren pian (Désespoir d'amour) ; Inchauspeko (La jeune couturière) ; Ithurrira goizean (A la fontaine); Jeiki! Jeiki! (Appel aux armes).
- 1934, trio à cordes, dédicacé au Trio Pasquier.
- 1934, Complainte pour l'enfant rêveur, pour piano, dédicacée à son fils Francis.
- 1934, (Saint-Jean-le-Vieux), Madalena gure patroina, Madeleine notre patronne, cantique basque, paroles basques de l'abbé Pierre Amestoy, adaptation française de Mme de Castéras.
- 1934, Monsieur le sénéchal, pour piano, dédicacé à son fils Jean.
- 1936, Hymne au vin, pour chœur.
- 1936, Chansons de l'aube et du soir, sur des textes de Claude Chantal et Loys Labèque, pour voix et piano : Le vieux pommier, Fleurs des dunes, Les premiers pas, Le retour, Mon coeur est content, Complainte Sur les clochers.
- 1936-1937, 3 Noëls, pour solistes et chœur mixte.
- 1936, Suite basque, pour orchestre, : 1. Passe-rue à Bayonne, 2. Aïtatchi (l'Aïeul), 3. Partie à Chistera en Guipuzcoa, 4. Le char basque, 5. Jeunes filles à la fontaine, 6. Danseurs et Txixularis. 2 petites flûtes, flûte, 2 hautbois, cor anglais, petite clarinette, 2 clarinettes, clarinette basse, 2 bassons, contre-basson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, 3 timbales, triangle, tambour, tambour de basque, castagnettes, claquette, cymbales, grosse caisse, cloches, harpe, jeu de timbres, xylophone, quintette à cordes, dédicacée au marquis d'Headfort.
- 1936, Danse du verre, pour piano (d'après la 5e partie de la suite basque pour orchestre).
- 1937 (27 juillet), Bosphore, pour violoncelle et piano.
- 1937 (novembre), Trois noëls pour chœur féminin ou chœur mixte, soli, et piano, sur des poèmes du xvie siècle1. Cantique de Noël, en tambourin, 2. Noël nouvelet.
- 1937, Laissez paistre vos bestes, pastoureaux, pour choeur de femmes, et piano, sur un poème du xvie siècle.
- 1938, La cloche qui pleure et la cloche qui rit, pour piano., dédicacé à sa fille Agathe (Mayette) et à son fils Bertrand.
- 1938, La petite sabotière, pour piano.
- 1938, Itxas eta mendi (mer et montagne), pour piano.
- 1938, 7 chœurs ou trios, sur des textes de F. Eon et A. Spire.
- 1938, deuxième quatuor.
- 1938, Ma mère était une paysanne, chanson sur un texte de Loys Labèque, pour voix et piano
- 1938 (21 juillet), Ave Verum, pour chœur, dédicacé au Chanoine Aurat.
- 1940, Sujetak dira Kamboho, chanson basque (adaptation française de Mme de Castera).
- 1944, Adios ene maïtea (Adieu ma bien aimée), chanson basque harmonisée à 4 voix mixtes.
- 1944, Au pays des chansons, pour choeur à 2 ou 3 voix avec accompagnement facultatif de piano ou d'orchestre, sur des paroles de Jean Labourd.
- 1944, Ave Imperator, pour chœur.
- 1944, Maritchu-Maritchou, pour chœur à 4 voix.
- s.d., Ballet basque, pour orchestre.
- sd., Fantaisie landaise, pour piano et orchestre.
- s.d., Première symphonie avec voix.
- s.d., Deuxième symphonie.
- s.d., Le tombeau d'Argentina, pour orchestre.
- s.d. (opus 30), For my little friends, pour mes petits amis 6 pièces faciles pour piano : Il était une fois ; La chasse du prince charmant ; Conseils de poupée ; Menuet de l'éléphant ; Cendrillonnette ; Le bon petit garçon.
- s.d. (après 1918), Après la tourmente, romance, pour violon et piano ou orgue, dédicacé à la reine lisabeth de Bel
- s.d., Au pays des pommiers innombrables, pour hautbois et piano.
- s.d., Berceuse pour mon petit Bertrand, pour piano.
- s.d., Chanson triste, pour voix et orchestre, dédicacé à sa femme.
- s.d., Gavotte, pour violon et violoncelle.
- s.d., Madrigal en dialogue, pour 2 violons et orchestre.
- s.d., O quam suavis est, pour choeur mixte (SATB) a cappella.
- s.d., O salutaris, pour choeur à 3 voix (STB), dédicacé à l'Abbé Pinsolles.
- s.d., Petit dialogue, pour flûte et violon, dédicacé à Régine et Elie d'Elbée.
- s.d., La poupée qui a désobéi à sa maman ! pour piano à 4 mains.
- s.d., Verbum supernum, chœur mixte a cappella (SATB).
- s.d., 3 Ave Maria, pour soprano ou ténor, violon et orgue.
- s.d., 3 Tantum ergo,pour choeur mixte (SATB) et orgue.

Sous le pseudonyme Guy Marylis
- 1910, (opus 10), La force du destin !, valse.
- 1911 (opus 27), Princess Edith, chanson anglaise, piano.
- 1909 (opus 8), Vaine Caresse, valse pour piano.
- 1911, Pour toi, chant et piano. Sur un poème Ségur, dédicacé à Joachim Cerdan de l'Opéra.
- 1912 (opus 34), Mohica, Intermezzo pour orchestre.
- 1912 (opus 38), Kisse Dance, pour orchestre.
- 1912, Fanchonette, polka caractéristique, pour piano.
- 1913 (opus 40), La dans d'Aladine, intermezzo, trio.
- 1913, Mendoza, véritable tango argentin, sur des paroles de Léon Charbonnel, voix et piano.
- 1913, Amadores, royal tango, sur des paroles de Léon Charbonnel.
- 1913, Ciudad, real trango, pour piano.
- 193, Marie, mélodie sur un poème d'Alfred de Musset.
- 1927, Douglas One Step, pour orchestre.
- 1927, Fatalidad, tango milonga, pour orchestre.
- 1927, Hammourabi, fox-blues, pour orchestre.
- 1927, Ariette du matin, trio, pour violoncelle avec second violon, contrebasse ad libitum.
- 1927, Ayadé, valse boston pour orchestre.
- 1927, Les bons petits vieux, polka pour piano.
- s.d., Tambours battez, sonnez clairons, paroles de Léon Charbonnel, dédicacé à Édmont Clément de l'Opéra-Comique.
- s.d., Marquise et page, sur des paroles de Léon Charbonnel , chant et piano.
- s.d., Les clochers de France, sur des paroles de Léon Charbonnel , chant et piano.
- 1er recueil de trios (piano, violon et violoncelle): 1. Un souvenir, 2. La délaissée, 3. Berceuse orientale, 4. Tendre plainte, 5. Jalousie de Pierrot, 6. Caballero.
- s.d., Girandola, la dernière furlana, pour piano.
Écrits
- Saint-Saëns à Saint-Sévérin. Dans «Bulletin des amis de l'orgue » (24) 1935.
- Charles Tournemire, l'homme et l'œuvre. Dans « L'orgue » (40), 1939 ; (41), 1940.
Bibliographie
- Le site de l'Association Ermend Bonnal.
- D'Arcangues Michel, Joseph Ermend Bonnal - 1880-1944, Séguier 2003.
- Dufourcq Norbert, La musique d'orgue française de Jehan Titelouze à Jehan Alain, Paris, 1941.
- —, Ermend Bonnal. Dans « L'orgue » (42) 1947.
- Sabatier François, Joseph Ermend-Bonnal. Dans Gille Cantagrel, «Guide de la musique d'orgue », Fayard, Paris, 1991.
- —, Une correspondance inédite entre Charles Tournermire et Joseph Ermend Bonnal. Dans «L'orgue » (244) 1997, p. 22-34
- Shuster Fournier Carolyn, Joseph Ermend Bonnal, a French Organist-
Composer: His Quest for Perfection. Dans « The Diapason » (1170), mai 2007.
Discographie
Ermend Bonnal, Idylle : Roselyne Martel-Bonnal (soprano), David Maw (piano). Calioppe 2017 (CAL 1634).
Lire la présentation de Jean-Marc Warszawski.
Ermend Bonnal, Media Vita. Vincent Grappy (orgue), Christophe Giovaninetti (violon)
: Légende, symphonie d'après « Media Vita », Improvisation, Paysages euskasiens, Après la tourmente. Hortus 2016 (HORTUS 132).
Lire la présentation de Jean-Marc Warszawski
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Jeudi 17 Novembre, 2022
