Dans cette production de chambre décidément pléthorique, mentionnons encore, même s’ils ne recèlent pas de pages majeures, quelques recueils qui méritent d’échapper à l’oubli : l’opus 3 avec ses six duetti pour deux violons ; l’opus 5, composé pour un salon parisien et constitué de six sonates (G 25-30) pour violon et clavecin ; l’opus 16 (G 461-466) et ses six sextuors (ou divertimenti) pour flûte et cordes, œuvres qui conjuguent avec bonheur des qualités très boccheriniennes d’inventivité, de fraîcheur, de virtuosité et de luminosité ; l’opus 23 (G 454-459) et ses six sextuors à cordes ; enfin l’opus 38 de 1787, écrit pour diverses combinaisons instrumentales, dont on retient surtout le no 4 (G 470), un octuor (ou notturno) en sol majeur pour deux violons, alto, deux violoncelles, flûte, cor et basson.
Luigi Boccherini, Octuor (notturno) opus 38 no 4 en sol majeur G 470, III. Finale-Allegro vivo, par Jeanne Lamon, Anner Bylsma et le Tafelmusik.À propos - contact | S'abonner au bulletin | Biographies de musiciens | Encyclopédie musicale | Articles et études | La petite bibliothèque | Analyses musicales | Nouveaux livres | Nouveaux disques | Agenda | Petites annonces | Téléchargements | Presse internationale| Colloques & conférences | Collaborations éditoriales | Soutenir musicologie.org.
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Vendredi 20 Septembre, 2024