Paris, comme New York et Londres, a aussi un River Café, une péniche luxueusement aménagée en restaurant par Mathieu Bucher, amarrée 146 Quai Stalingrad à Issy-les-Moulinaux. Il y a aussi une programmation Jazz avec un menu à 51 euros. Depuis peu, la programmation a été réduite, mais il y a encore deux soirées jazzeuses le mois. En avril il y encore la soirée du 15 avril qu'on promet être soul avec Émilie Hédou (voix), Michel Bonnet (trompette), Pierre-Louis Cas (saxophone ténor), Pierre Jean (piano), Michel Sénamaud (batterie), Laurent Vanhée (contrebasse).
Très beau programme Salle Érasme à Strasbourg les 6 et 7 avril, sous la direction de Baldur Brönnimann : Le lac enchanté, une des œuvres les plus connues d'Anatoly Lyadov (1855-1914), la 5e symphonie en mi mineur opus 64 de Tchaïkovski, et entre les deux un concerto pour sheng et orchestre de Tiensuu Teoton, avec le grand maître de l'instrument, Wu Wei. Vous savez pas quoi c'est le sheng ? Allez voir là-bas si on y est.
Le 7e Festival le chant de la rive se déroulera en 8 concerts, du 28 juillet au 2 août au Pays de Léon (pas celui des moules-frites). Le piano en sera roi à la cour musique de chambre, avec en invités d'honneur Schubert et Mozart. De belles œuvres, un ciné concert (The Kid de Chaplin) avec Pierre Yves Plat qui swinguera malicieusement et virtuose, Bach, Mozart, Chopin, sur des rythmes de rag-time ou de Boogie. Un max de pianistes Élise Kermanac'h, Laurent Wagschal, Viktor Yuandong Mattsson et donc Pierre Yves Plat, mais aussi la clarinettiste Joris Rühl, la soprano Jennifer Lindshield, le Quatuor Amarcord avec ou sans piano, ou Benjamin Berlioz à la contrebasse ou la flûtiste Emmanuelle Ophèle. 12 € - 10 € - 8 € - entrée libre moins de 18 ans (sauf ciné-concert : 4 €).
L'Ensemble Boréades associé au Chœur Emelthée (dirigé par Marie-Laure Teissèdre) a mis en scène les maximes de Jean de La Bruyère, qui fût aussi célèbre que Molière au temps de Louis XIV, et puisé dans la musique de Jean-Baptiste Lully, jouée… à l'orgue de barbarie ! Les pOules de la Bruyère, ce sont 8 chanteuses, qui chantent donc, mais aussi jouent un texte ironique et misanthrope, dansent et se poudrent le nez... Le 11 avril à 20h30 au Temple du Change à Lyon.
Soledad del Escualo, Solitude du Requin, titre de l'album, est un clin d'oeil humoristique et un immense « merci » adressés à tous ceux qui ont transgressé, dépassé, osé, refusé le cloisonnement des styles et écarté définitivement le risque de se sentir à l'étroit et de tourner en rond, tel un poisson dans son bocal. Le 13 avril le Trio Astoria Tango (Félicien Brut, accordéon, Nina Skopek, violon, Brigitte Coissard, piano), fêtera la sortie de son cédé consacré en 9 titres aux œuvres d'Astor Piazzola avec en salut la Valse à margaux de Richard Galliano.
Né le 28 novembre 1932, Gato (le chat) Barbieri a enregistré une cinquantaine d'albums au cours de sa longue carrière. Adolescent, il jouait dans des clubs de Buenos Aires où on l esurnomma « Gato ».
Il est l'instigateur du style latino jazz (notamment pour le cinéma), mais a expérimenté son temps, notamment avec Don Cherry dans les années 1960.
La musique du Dernier tango à Paris, film de Bernardo Bertolucci avec Marlon Brando et Maria Schneider, lui a valu un Grammy Award en 1972 et l'a fait connaître du grand public.
Le dernier tango à Paris.À propos - contact | S'abonner au bulletin | Biographies de musiciens | Encyclopédie musicale | Articles et études | La petite bibliothèque | Analyses musicales | Nouveaux livres | Nouveaux disques | Agenda | Petites annonces | Téléchargements | Presse internationale | Colloques & conférences | Collaborations éditoriales | Soutenir musicologie.org.
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Mercredi 9 Décembre, 2020