Biographies
décembre 2011

Synopsis de « Dédé » de Chrisitiné

Acte I

Pour conquérir la jeune et belle Odette, André de la Huchette dit "Dédé", jeune noceur, achète le magasin de chaussures « Au pied meurtri » de M. Chausson. Mais il ignore qu'Odette est la femme de ce fameux M. Chausson et qu'elle lui a fait acheter le magasin pour arranger les affaires financières de son époux. Fine mouche, elle lui a fait miroiter que ce serait le lieu idéal de leur rendez-vous.

Le magasin est dirigé par Denise, amoureuse de Dédé. Les vendeuses, toutes de jolies filles, sont, le soir, danseuses de cabaret. Intervient alors Robert Dauvergne, un ami de Dédé qui a joyeusement dilapidé sa fortune : Dédé lui confie la gérance de la boutique.

Voici Odette. C'est la première fois qu'elle vient dans le magasin depuis le changement de propriétaire. Dédé s'empresse amoureusement et tente de lui faire avouer son identité menaçant même de la faire suivre si elle ne veut rien dire. Affolée, la jeune femme prétend être la femme du Préfet de Police. Denise a tout entendu.

Acte II

Ignorant que le Préfet n'est pas marié, Denise, par jalousie, adresse une lettre anonyme à la Préfecture, dans laquelle elle dénonce l'adultère de sa femme.

Par ailleurs, la « Délégation de la Fédération » ayant déclenché un ordre de grève, vient demander à Dédé de fermer sa boutique ; mais les petites vendeuses se chargent de distraire les grévistes du but de leur venue.

Odette se retrouve seule avec Dédé. Il ne peut profiter de la situation, car la jeune femme aperçoit la tête de son mari à travers la vitrine. Elle se cache dans la réserve.

Tout le monde se retrouve dans le magasin et un commissaire de police vient chercher les grévistes. Dédé et ses amis croient qu'il s'agit du Préfet lui-même qui accourt au sujet de sa femme. Pour sauver la situation, Denise apparaît en tenue légère et se fait passer pour la maîtresse de Dédé. Pendant que Dédé et Robert retiennent l'attention générale, Odette parvient à sortir du magasin sans être remarquée.

Le commissaire dévoile alors son identité et indique la raison de sa présence. Dédé n'y comprend plus rien. Mais de qui donc Odette est-elle la femme ?

Acte III

Le dénouement approche. Dédé se rend compte que son bonheur est auprès de Denise. Il lui demande sa main. Le magasin ne lui étant plus d'aucune utilité, il en fait cadeau à M. Chausson qui n'en espérait pas tant. Robert ne reste pas inactif. Il profite de l'intérêt que porte Dédé à Denise pour s'occuper des charmes d'Odette.

Il sait se faire convaincant, et, lorsque la jeune femme apprend la générosité de Dédé, elle propose à son époux de garder Robert comme gérant. M. Chausson accepte avec enthousiasme.

Dominique Trottein

Après des études musicales complètes aux conservatoires de Tourcoing, Lille et Paris, Dominique Trottein débute comme chef de chant à l'Opéra de Nantes puis comme assistant de chef de choeur. En 1989, après concours, Antoine Bourseiller l'engage pour diriger les choeurs de l'Opéra de Nancy, et, très vite, lui confiera des ouvrages lyriques et des concerts à diriger (Mikado, Irma la Douce, concerts éducatifs, fêtes de la musique).

En 1995, il quitte Nancy et se consacre à sa carrière de chef d'orchestre. Il devient assistant de Patrick Fourniller à Saint-Étienne et dirige régulièrement dans les théâtres français, des opéras, des ouvrages légers et ballets (Metz, Avignon, Montpellier, Marseille, Rennes, Tours, Saint Etienne, Nantes, festival de Saint-Céré….) ainsi qu'à l'étranger Turin, Milan, Düsseldorf, Ecosse Russie et Pologne.

Il travaille régulièrement avec Jérôme Savary, Jean Louis Pichon, Robert Fortune, Jacques Duparc, Michel Fau, Gilles Bouillon.

Passionné de comédie musicale et de ballets, il crée au théâtre Mogador une nouvelle version de l'Auberge du Cheval Blanc, et une version modernisée de Dédé qui tournera dans toutes les villes de province, citons également la création en France de Candide de Bernstein à Tours et Nancy, Hello Dolly à Nancy. Dominique Trottein écrit et arrange aussi Les Embûches de Noël à l'Opéra de Nancy.

Il participe aussi à de nombreux concerts à Marseille dans le cadre du festival de musique sacrée (création en France du Mysterium de Nino Rota). En juillet 2004, il est invité par l'orchestre Verdi de Milan en collaboration avec l'Université de Yale ; cette prestigieuse école l'invite en 2006 pour Cosi fan tutte et à nouveau à Milan pour L'enfant et les sortilèges de Ravel en Juillet 2006.

En septembre 2002, Claude Meiller l'appelle pour prendre la direction musicale du nouveau Duo Dijon où il dirige Werther, Hoffman, Lohengrin, Tosca, Don Carlo, Carmen et de nombreux concerts (Mozart, Berlioz). En Septembre 2005, il est le directeur artistique de la Jeune troupe d'opéra crée à Besançon avec la collaboration du Ministère de la Culture et des Conservatoires de Paris et Lyon, il y a dirigé il Signor Bruschino, Madame Butterfly, la Flûte enchantée, la Traviata. Il est nommé membre du conseil d'administration du CNIPAL où il est intervenant régulier.

En 2005, il dirige au festival de Saint-Céré Falstaff , Don Giovanni en 2006 et La Traviata en 2007, les Contes d'Hoffmann en 2008.

A l'étranger, Dominique Trottein a dirigé le Royal National Scottish Orchestra en janvier 2007 et y sera invité pour les « PROMS ». Ses projets l'ont conduit en 2007/08 à diriger avec la compagnie Opéra Eclaté une nouvelle version du Roi Carotte d'Offenbach, et Macbeth à Dijon.

En Avignon, il a dirigé Orphée aux enfers et la Belle Hélène. L'Opéra de Marseille l'invite à nouveau en décembre 2008 pour La Veuve joyeuse et celui d'Avignon pour Marius et Fanny en 2009.

Jacques Duparc

Durant ses études universitaires à la faculté de droit et de lettres de Nantes, il poursuit le cycle intensif à vocation professionnelle de Comédie au Conservatoire National de Région auprès de Jacques Couturier.

Il collabore ensuite avec Jean-Luc Tardieu à la Maison de la Culture de Nantes dans plusieurs spectacles dont Irma la Douce et Si Guitry m'était conté à la Comédie de Paris puis se présente au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il obtient, deux ans plus tard, un premier Prix, à l'unanimité du jury.

Cela le conduit à interpréter des rôles de jeune premier, jeune premier comique sur les scènes lyriques françaises, avec une préférence pour Offenbach, Lehar, Messager, …

Il participe, en tant qu'interprète, à l'Homme de la Mancha, mis en scène par Antoine Bourseiller à Liège, aux côtes de Jose Van Dam, ainsi qu'à la comédie Musicale Titanic, mise en scène par Jean-Louis Grinda. Il continue avec 3 valses à Liège & à l'Opéra Comique.

Il se tourne parallèlement vers la mise en scène de Comédies Musicales, Opérettes et Opéras Comiques : La Veuve Joyeuse, Le Pays du Sourire, La Chauve Souris, Valses de Vienne au Capitole de Toulouse, Phi-Phi, Ta Bouche, La Vie Parisienne à l'Opéra de Bordeaux, Dédé de Willemetz et Christiné (plus 70 représentations). La Route Fleurie de Lopez est jouée dans une quinzaine de villes, tout comme Yes d'Yvain, Le Mikado de Guilbert & Sullivan.

A Paris, il met en scène Dédé à l'Opéra comique, l'Auberge du Cheval blanc à Mogador (spectacle repris en Avignon, Reims et Toulon). Il écrit et met en scène la revue French Cancan pour les Folies Bergère et Le Sporting Club de Monte-Carlo.

Parmi les dernières productions qu'il met en scène figurent Passionnément de Messager, ue nouvelle production de L'Auberge du Cheval blanc, Princesse Czardas, une nouvelle production de Un de la Canebière, Chanteur de Mexico, pour Avignon, Reims, Toulon ou l'opéra de Bordeaux.

Outre la mise en scène et l'interprétation de rôles, il écrit des Comédies Musicales (musique et livret) : Charrette ou la victoire des vaincus (orchestration symphonique de François Rauber), la DIVA, Clémenceau, La tranchée des baïonnettes, 1588, De sel et de Braise (2007) pour le festival Musical de l'Abbaye de L'Ile Chauvet en Vendée.

Bonchamps, la Force du pardon, son dernier ouvrage, est créé en Vendée au printemps 2010.

Parallèlement à ses activités artistiques, il soutient et participe à la formation de jeunes chanteurs dans le cadre de l'Académie Internationale de Comédie Musicale à Paris.

Marie-Frédérique Girod

Après des études de flûte traversière et de danse classique, elle débute le chant en 2005 au Conservatoire de région de Lyon, parallèlement à ses études en lettres supérieures. Elle intègre en 2009 le CNSMD de Lyon dans la classe de chant musique ancienne. Choriste, elle chante au festival d'Ambronay sous la direction de Mirella Giardelli, Graham O'Reilly, Marie- Laure Teissèdre, dont elle intègre le Choeur, Emelthée, en 2008. Elle participe à de nombreux projets musicaux ou pluridisciplinaires sous la direction de Serge Baudo, Bernard Tétu, avec Il delirio fantastico, les Pockemon Crew, ou l'ONL et Dominique Hervieux et Philippe Forget.

Elle se produit aussi sur scène, avec l'Ensemble Boréades, Yves Pignard, le CNSM de Lyon. Soliste, elle chante Bach, Charpentier, Lully, Vivaldi, Fauré, Brahms, ainsi que Orff.

Fanny Mouren

Fanny débute le chant au conservatoire de Marseille puis à Bourgoin-Jallieu où elle obtient un DEM de culture musicale. Elle suit également les classes de maître de Alain Garichot, Alain Buet, Caroll Bagott-Forte, Margreet Honig, Michel Piquemal... Parallèlement à ses études elle participe à des productions en concert, en soliste et scéniques. C'est ainsi qu'elle se produit à l'Opéra de Dijon, à l'Auditorium de Lyon... Elle chante sous la direction de D. Kawka, Ph. Forget, M-L. Teissèdre... et aborde des répertoires variés : Musique baroque (Purcell, Bach, Pergolesi...), opérette, opéra (Traviata, Nabucco), musique contemporaine (Busoni, Bartok...). Elle est membre du Choeur Emelthée.

Julien Drevet-Santique

Diplômé du Conservatoire de Grenoble en 2010, Julien Drevet-Santique se produit sur scène ou en concert avec des ensembles de renom tels que Le Concert de l'Hostel-Dieu, les Choeurs de Bernard Tétu, l'ensemble Epsilon, ou encore Emelthée. Il fait ses premiers pas sur scène dans King Arthur de Purcell, puis dans Idoménée de Campra, ainsi que dans Comédie sur un pont, de Martinù. En concert, il aborde un répertoire allant de Bach (Magnificat, Oratorio de Noël, cantates), à Puccini (Messa di Gloria), en passant par Charpentier (Messe de minuit, Magnificat, te Deum) et Mozart (Requiem). Admis au PESM Bourgogne en 2011, Julien travaille désormais avec le ténor français, Jean-Paul Fouchécourt.

Nicolas Josserand

Baryton-basse, originaire de Madagascar. Il commence le saxophone, la formation musicale et la pratique chorale à l'âge de sept ans à l'école de musique de Moirans. Il entre au Conservatoire à Rayonnement Régional de Grenoble en 2005, en chant lyrique, dans la classe d'Angèle Garabédian.

A la fin de son cursus, en 2009, il réussit le concours d'entrée du Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon où il poursuit sa formation sous l'enseignement de Françoise Pollet. Dans le cadre de ses études, il participe à des Master-Classes animées par Alain Garichot, François Leroux, Christian Immler, Udo Reineman, Jean-Philippe Laffont … ll est membre d'Emelthée au sein duquel il se produit régulièrement en soliste.

Marion Hély

Diplômée du CNSMD de Paris en flûte traversière baroque et du CNSMD de Lyon en pédagogie, spécialité musique ancienne, Marion est aussi licenciée en musicologie. Elle pratique la basse continue et les instruments traditionnels andins. Elle partage ses activités entre le concert et l'enseignement. Elle enseigne à l'école de musique de Meyzieu et participe à des spectacles musicaux pour enfants.

Elle se produit régulièrement avec les ensembles de musique baroque comme Il delirio fantastico, Unisoni, Concert de l'Hostel-Dieu, ou encore les Siècles, en formation orchestrale comme en musique de chambre.

Maxime Point

Il étudie l'accordéon au Conservatoire de Saint-Etienne dans la classe de Philippe Bourlois, et le bandonéon avec Hervé Esquis. Parallèlement il suit des cours de commentaire d'écoute, d'écriture et d'analyse, et de musique de chambre.

Il mène de concert une carrière de pédagogue dans les écoles de musique de Haute-Loire et de musicien. Il est membre de l'Orchestre Tango du Puy en Velay sous la direction d'Hervé Esquis. Avec le collectif «Roulotte Tango» il se produit en France et notamment lors du Festival d'Avignon. Il est aussi membre du groupe « Doïna Quintet » axé sur la musique improvisée, jazz, klezmer et tango. Il vient d'enregistrer un album avec Doïna Quintet.

Yves Pignard

Comédien, metteur en scène, il crée des spectacles de théâtre musical et d'autres projets artistiques associant art et science. C'est dans ces contextes qu'il travaille avec des personnalités diverses telles que Marie-Laure Teissèdre, chef de choeur, Dimitri Naïditch, compositeur et musicien, Dominique Proust, astrophysicien, Francis Hallé, botaniste, Hubert Reeves, astrophysicien, Dominique Padirac, journaliste scientifique et des compagnies telles que Sueno en la Fabrica, la Compagnie Michel Hallet-Eghayan, compagnie Les Enjoliveurs, la compagnie des Foussages… Il est également directeur du théâtre des Marronniers de Lyon et du Centre Culturel Associatif Beaujolais, structure culturelle itinérante regroupant plusieurs communes au Nord du département du Rhône. Il est le concepteur de différentes productions de la structure telles que Euroscènes, Festival en Beaujolais-Continents et cultures, Festiplanètes, Scène de Caves, Cafés en fête…

Marie-Laure Teissèdre

Titulaire du Certificat d'Aptitude de chef de choeur, elle a été Directrice du Centre Départemental de Formation Chorale des Alpes-Maritimes, chef de choeur assistante à la Maîtrise du Centre de Musique Baroque de Versailles et chef de choeur de la Maîtrise de l'Opéra National de Lyon. Elle est à la tête à la Maîtrise du Conservatoire à Rayonnement Régional de Lyon et a participé, en 2000, à la création du Centre de la voix Rhône-Alpes. Elle fonde en 2009 l'association Emelthée pour jeunes chanteuses et chanteurs amateurs et professionnels dont elle assure la Direction Artistique.

La musique baroque et la musique contemporaine, constituent son répertoire de prédilection. Elle est invitée régulièrement à diriger lors de festivals, Bratislava, Ambronay, Labeaume, Vienne... Elle a travaillé avec Corboz, Minkowski, Mac Creesh, Tétu, Baudo, Malgoire...

Sonia Wieder-Atherton

Interprète d'un très large répertoire reflétant son imaginaire, conceptrice de projets, musicienne recherchée par de nombreux compositeurs contemporains, Sonia Wieder-Atherton occupe une place à part dans le monde musical d'aujourd'hui.

Après ses études au CNSM de Paris dans la classe de Maurice Gendron et des cours avec Rostropovitch, elle choisit de partir pour Moscou étudier deux ans dans la classe de Natalia Chakhovskaïa au conservatoire Tchaïkovsky. En 1986, peu après son retour, elle devient lauréate du concours Rostropovitch.

Elle joue en soliste avec l'Orchestre de Paris, l'Orchestre National de France, l'Orchestre National de Belgique, le Philharmonique de Liège, le Philharmonique d'Israël, l'Orchestre Gulbenkian de Lisbonne, l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg, l'orchestra de la NDR de Hanovre… Reconnaissant en Sonia Wieder-Atherton l'une des plus puissantes personnalités musicales actuelles, l'Académie des Beaux-Arts en France lui a décerné le « Grand Prix Del Duca de l'Académie des Beaux-Arts » en 1999.

L'Orchestre Français des Jeunes

L'Orchestre Français des Jeunes a été créé en 1982 par le Ministère de la Culture afin de répondre au besoin d'une formation professionnelle au métier de musicien d'orchestre, à l'instar de structures similaires existant dans d'autres pays européens.

L'Orchestre Français des Jeunes offre ainsi chaque année à une centaine d'étudiants issus des conservatoires et écoles de musique la possibilité de travailler dans des conditions professionnelles sous la direction d'un chef de renommée internationale et de jouer dans les plus belles salles de France et d'Europe.

L'orchestre a été dirigé notamment dirigé par Marek Janowski, Jesus Lopez Cobos, Emmanuel Krivine, Jean-Claude Casadesus et Kwamé Ryan. En 2011, 2012 et 2013, son directeur musical sera Dennis Russell Davies.

Depuis sa création, l'Orchestre Français des Jeunes a formé près de 2000 musiciens dont un grand nombre sont membres des orchestres professionnels français et étrangers.

Depuis 2006, un ensemble baroque vient compléter la mission de l'Orchestre Français des Jeunes en proposant aux jeunes musiciens étudiant sur instruments anciens une formation professionnelle à la discipline collective dédiée au répertoire des xvii^e et xviii^e siècles.

Dirigé les deux premières années par Christophe Rousset, puis par Paul Agnew, cet ensemble aura pour directeur musical Reinhard Goebel en 2011 et 2012.

L'Orchestre Français des Jeunes est subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication. Il est soutenu par Radio France, la Spedidam et la Fondation France Télévisions. Il est membre de la Fédération européenne des orchestres nationaux de jeunes (EFNYO) et de l'Association Française des Orchestres (AFO).

Depuis 2007, l'Orchestre Français des Jeunes est en résidence au Grand Théâtre de Provence d'Aix-en-Provence.

Dennis Russell Davies

Dennis Russell Davies est né à Toledo (Ohio) et a étudié le piano et la direction d'orchestre à la Juilliard School à New York. Ses activités comme chef d'opéra et de concert, et comme pianiste et chambriste, se caractérisent par un très large répertoire allant du baroque au contemporain.

De 1980 à 1987, il a été directeur musical du Staatsoper de Stuttgart, puis, de 1987 à 1995, chef principal de l'orchestre de la Beethovenhalle et directeur musical de l'opéra de Bonn et du festival international Beethoven. Il est retourné à Stuttgart en 1995 comme chef de l'orchestre de chambre, poste qu'il a occupé jusqu'en 2006.

En Autriche, il a été chef principal de l'orchestre symphonique de la radio de Vienne de 1997 à 2002 et enseigne la direction d'orchestre au Mozarteum de Salzburg depuis 1997.

Il est depuis 2002 directeur musical du Bruckner Orchester de Linz et directeur de l'opéra de cette ville.

En 2009, il a été nommé directeur musical de l'orchestre symphonique de Bâle en Suisse.

Dennis Russell Davies est régulièrement invité aux Etats-Unis par les orchestres de Cleveland, de Philadelphie, de Chicago, de San Francisco, de Boston, et le New York Philharmonic, et en Europe par l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig, la Philharmonie de Dresde, l'Orchestre Philharmonique de la Scala de Milan, le Philharmonique de Munich et l'Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam.