Staffani, Stefani, Stephani. Né à Castelfranco (Venise) le 25 juillet 1654, mort à Frankfurt le 12 février 1728.
La famille, originaire de Padoue, s'installe à Castelfranco vers 1570. Des six ou sept enfants, il est avec son frère le librettiste Vantura Terzago (né en 1648), le seul survivant.
De 1664 à 1667, il est chanteur à la maîtrise de l'église S Antonio de Padoue, sous la direction du maître de chapelle Antonio dalla Tavola, alors que Carlo Pallavicino (1640-1688) est l'un des organistes.
Il chante également à Ferrare, Vicenza, Monselice et au carnaval de 1666, dans un opéra de Pallavicino, et dans un autre opéra l'année suivante.
Il est engagé dans la maison du prince électeur Ferdinand Maria de Bavière. Il se rend à Munich en juillet 1667, il y reste durant vingt-et-une années.
Il y continue sa carrière de soprano, mais peut-être en raison de la mue, il est confié au maître de chapelle Johann Kaspar Kerll (1627-1693) pour y prendre des leçons d'orgue, pendant trois ans, et passe une année auprès d'Augustin Sayler, valet de chambre et trésorier de la cour.
En 1672, il gagne Rome où il suit des cours de composition avec le maître de chapelle de l'église San Pietro, Ercole Bernabei. Il publie plusieurs de ses compositions de musique d'église.
Il est de retour à Munich en 1674, avec Ercole Bernabei qui remplace Kerll comme maître de chapelle. Steffani devient organiste de la cour. Le titre officiel apparaît dans les comptes en 1678.
Il est ordonné prêtre en 1680.
Après la mort de Ferdinand Maria, la succession de Maximilian Emanuel est bénéfique à Steffani. Le 1er janvier 1681, il est nommé directeur de la musique de la chambre, un poste ouvert à son intention. Il crée son premier opéra Marco Aurelio sur un livret de son frère.
En 1683 il est nommé abbé de Löpsingen, une prébende dans le comté protestant d'Öttingen-Wallerstein, entre Augsburg et Nuremberg.
Agostino Steffani, Stabat Mater. Chœur de la Radio suisse (Diego Fasolis), ensemble I Barocchisti sous la direction de René Clemencic.
On lui confie la mission diplomatique d'explorer la possibilité d'un mariage entre le prince électeur et la princesse Sophie Charlotte Von Hanover. Les négociations le mettent en contact avec les cours de Hanovre, Düsseldorf, Vienne et avec Ortensio Mauro, son futur librettiste.
Steffani compose de nouveaux opéras, sur des livrets de son frère ou de Luigi Orlandi, dont Servio Tullio, pour célébrer le mariage du prince électeur avec Maria Antonia, Archiduchesse d'Autriche.
À l'été 1688, il entre au service de la cour ducale d'Ernst August Von Hanover. Son départ est peut-être motivé par l'impossibilité d'accéder au poste de maître de chapelle, qui est occupé par Giuseppe Antonio, le fils d'Ercole Bernabei. Steffani reste quinze années à la cour de Hanovre.
Ernst August érige en 1689 une maison d'opéra et fait venir une troupe italienne. Steffani est maître de chapelle, l'orchestre est dirigé par Jean-Baptiste Farinel ou Giovanni Battista Farinelli (1655-1725).
La mort du duc en 1697 marque la fin de l'entreprise, qui reste célèbre dans toute l'Europe. Sur les dix opéras qui y ont été créés, huit sont de Steffani sur des livrets d'Ortensio Mauro.
Dans les années 1690, Steffani est de nouveau requis pour des missions diplomatiques. Il est à Vienne en 1691 pour négocier l'élévation de la cour de Hanovre à l'électorat, en 1693, il est envoyé extraordinaire de la cour d'Hanovre à celle de de Bavière à Bruxelles, où il séjourne juste'en 1695, date à laquelle il est protonotaire apostolique.
Il jour encore un rôle dans les échanges qui ont précédé la guerre de succession d'Espagne, où il tente en vain de convaincre Maximilian Emmanuel de soutenir l'empereur plutôt que Louis xiv. Il est de retour à Hanovre en 1702.
Des mars 1703 à 1709, il est au service de la cour de l'électeur palatin de Düsseldorf, Johann Wilhelm, et abandonne et renie ses activités musicales. Il tente de faire attribuer ses compositions à l'un de ses copistes, Gregorio Piva. Des trois opéras joués à Düisseldorf qui lui sont attribués, deux ne sont pas de lui, et le troisième est un pastiche de plusieurs de ses œuvres précédentes à l'écriture duquel il n'a peut-être pas participé.
Il est nommé conseiller privé et président du Haut Conseil du Palatinat et des duchés de Jülich et de Berg. Fin 1703, il est nommé président général du gouvernement Palatin, de 1703 à 1705, il est Recteur puis curateur de l'Université de Heidelberg.
En septembre 1706, il est nommé évêque de Spiga in partibus infidelium (Asie Mineure). Il est ministre et grand aumônier de l'électeur Johann Wilhelm.
De novembre 1708 à avril 1709, il est à Rome en tant que médiateur efficace dans un conflit opposant le pape à l'empereur. En remerciement, le pape le fait prélat domestique adjoint au trône.
En avril 1709, il est nommé vicaire apostolique en Allemagne du Nord, et s'installe à Hanovre.
De septembre 1714 à décembre 1718, il est coadjuteur de Münster.
Rencontrant des difficultés diverses, particulièrement dans la collecte de fonds nécessaires à sa mission (l'un de ses collecteurs est un escroc,des recettes saisies par les jésuites français à Strasbourg, disparition de ses donateurs et soutiens), il se retire à Padoue en 1722, mais suite à l'insistance de Rome, il repart à Hanovre en 1725.
En novembre 1725 il est à Frankfurt pour lever des fonds par la vente de domaines. Il meurt d'apoplexie le 12 février 1728. Il est inhumé dans la cathédrale St Bartholomäus.
Quanta certezza habbia da suoi principii la musica et in qual pregio fosse perciò presso gli antichi [Risposta di D. A. Steffani abbate di Lepzing [...] ad una lettera del signor marchese A. G. in difesa d'una proposizione sostenuta da lui in una assemblea, Hannovera, settembre 1694
Amsterdam 1695 [D. A. Steffani [...] Send-Schreiben, darinn enthalten, wie grosse Gewissheit die Music aus ihren Principiis und Grund-Sätzen habe und in welchen Werthe und Würkung sie bey denen Alten gewesen. Aus dem Italiänischen ins Hochdeutsche befördert, dann um der Würde und Nutzen, so darinnen enthalten, mit einigen Anmerckungen erläutert und dem Druck übergeben von Andr. Werckmeister] (12 exemplaires conservés)
Quedlinburg und Aschersleben, Gottlob Ernst Struntz 1700 (10 exemplaires conservés)
Mühhausen, Johann Christoph Brückner 1760 [Jetzt aber aufs neue übersehen, an vielen Orten verbessert, von denen vorigen Fehlern gereiniget, mit einer Vorrede und etlichen Zusätzen von mehret, und zum Druck befördert von Johann Lorenz Albrecht] (21 exemplaires conservés) [Fac-similé numérique, Bayerische Staatsbibliothek Digital]
A : Admont, Benediktinerstift - Wien, Gesellschaft der Musikfreunde - B : Bruxelles, Bibliothèque Royale - : Bruxelles, Bibliothèque du conservatoire royal de musique - Liège, Bibliothèque du conservatoire
D : Berlin, Staatsbibliothek Preußischer Kulturbesitz - Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Frankfurt am Main, Stadt- und Universitätsbibliothek, Musik- und Theaterabteilung, Manskopfsches Museum - Hamburg, Staats- und Universitätsbibliothek, Musikabteilung - Harburg, Fürstlich Oettingen-Wallerstein'sche, Bibliothek und Kunstsammlung - Heidelberg, Musikwissenschaftliches Seminar der Universität - Leipzig, Musikbibliothek - Lindau, Stadtbibliothek - München, Musiksammlung der Bayerische Staatsbibliothek - Quedlinburg, Stadtbibliothek - Regensburg, Proskesche Musikbibliothek - Rostock, Universitätsbibliothek - Rudolstadt, Landeshauptarchiv - .Soest, Stadtbibliothek im Stadtarchiv - Stuttgart, Württembergische Landesbibliothek
DK : København, Det kongelige biblioteket
F : Paris, Bibliothèque de France, département de la musique
GB : Edinburgh, Reid library - London, British Museum
I : Bologna, Biblio-teca del Conservatorio (Liceo Musicale ; oggi civico Museo Bibliografico Musicale) - Roma, Biblioteca Vaticana - Venezia, Biblioteca nazionale Marciana
S : Stockholm, Kungl. Musikaliska Akademiens Bibl.
SF : Helsinki, Yliopiston Kirjasto (Bibl. de l'Université)
US : Bethlehem, Pa., Archives of the Moravian Church - New Haven, Conn., School of Music Library - New York, N. Y., Music Division, New York Public Library - Washington, D.C., Music Division, Library of Congress
Écrits
Amor Vien Dal Destino : Dramma Da Recitarsi Per Ordine Di Sua Altezza Elettorale Palatina In Dusseldorff Anno MDCCIX. Margherita Thil, 1709 [fac-similé numérique, BSB]
1680, No, no, no, non voglio se devo amare, duo de chambre avec basse continue.
1681, Marco Aurelio, drama per musica, en 3 actes sur un livret de V. Terzago d'après Aelius Spartianus et Julius Capitolinus dans « Scriptores historiae Augustae », créé à la cour de Munich en janvier 1681 [Fac-similé numérique du livret, Bavarica Digitale]
1682, Serenata, pour le mariage de la comtesse Von Preysing (perdu)
1683, Duetti da camera (cités par Fétis), œuvres fantômes.
1685, Audacia e rispetto, opéra sur un livret de Terzago, créé à la cour de Munich, perdu.
1685, Servio Tullio, drama per musica, en 3 actes et un prologue, sur un livret de Vantura Terzago, d'après « Ab urbe condita libri » de Tite-Live, créé à la cour de Munich en janvier 1686. Dédicacé à Maximilien Emmanuel et à Maria Antonia [Fac-similé numérique du livret original, Bayerische Staatsbibliothek]
1685, Solone, drama per musica, en 3 actes sur un livret de Terzago, d'après « Les amours des grands hommes » de Marie Cathérine Hortense Desjardins de Villedieu, créé à la cour de Munich en 1685 (perdu).
1687, Alarico il Baltha, cioè L'audace re de' gothi, drama per musica, en 3 actes sur un livret de L. Orlandi, d'après P. Orosius, Paul le diacre, Jornandes, saint Augustin, Procopius, Emanuele Tesauro, créé à la cour de Munich le 18 janvier 1687 [Fac-similé numérique du livret original, HAB Wolfenbüttel]
1688, Niobe, regina di Tebe, drama per musica, en 3 actes sur un livret de Luigi Orlandi et MelchiorArdespin, d'après « Les métamorphoses » d'Ovide, créé à la cour de Munich en 1688. Dédicacé à Maria Antonia, Archiduchesse d'Autriche [Fac-similé numérique du livret original, Bayerische Staatsbibliothek]
1688, Dir che giovi al dio d'amore, duo de chambre avec basse continue.
1689, La lotta d'Hercole con Acheloo, divertimento drammatico, en 1 acte sur un livret de Mauro, d'après « Les métamorphoses » d'Ovide, créé au château d'Hanover en 1689.
1690, La superbia d'Alessandro, drama, en 3 actes et prologue, sur un lvret de Mauro, créé au château d'Hanover en février 1690.
1700, Io mi parto, o cara, texte de « Abbate Paglia », duo de chambre avec basse continue.
1702, Lungi dall'idol mio, duo de chambre avec basse continue.
1702-0703, M'hai da piangere, duo de chambre avec basse continue.
1705, Les ouvertures, chacconnes et les autres airs à joüer, Amsterdam, cers 1705 (= Sonate da camera).
1705, Sonate da camera, pour 2 violons, alto et basse continue, Amsterdam, vers 1705.
1707, Arminio, tragedia per musica, en 5 actes sur un livret de Stefano Benedetto Pallavicino, d'après Tacite, créé à Düsseldorf en 1707.
1709, Confitebor tibi Domine, à 3 voix, 2 violons et basse continue, attribution incertaine.
1709, Tassilone, tragedia per musica, en 5 actes sur un livret de Stefano Benedetto Pallavicino, créé à Düsseldorf, le 17 janvier 1709.
1711, Dolce è per voi soffrire, duo de chambre avec basse continue.
1712, Dolce labbro, amabil bocca, duo de chambre avec basse continue.
1712-1713, Quando ti stringo, o cara, duo de chambre avec basse continue.
1727, Qui diligit Mariam (Filium / Christum), pour chœur SSATB et basse continue.
1728, Stabat mater, à 6 voix, cordes et basse continue.
1976, Beatus vir, à 8 voix et basse continue.
1699, Placidissime catene, duo de chambre avec basse continue.
s.d., 6 scherzi, pour 1 voix, instruments et basse continue
s.d., Academia per musica (Ecco l'alba, ecco l'aura), créé à Hanore en bovembre 1695, pou rle mariage de Charlotte Felicitas of Brunswick-Lüneburg et Rinaldo I of Modena, perdu, attribution incertaine.
s.d., Ah! che l'hò sempre detto, sur un poème de B. Bianchi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Al rigor d'un bel sembiante, madrigal pour soprano, alto, ténor, et basse continue
s.d., Alle lacrime, homai, occhi lucenti, cantate pour alto et basse continue, attribution incertaine.
s.d., All'or ch'in grembo all'ombra, cantate pour alto, 2 violons et basse continue, attribution incertaine.
s.d., Aure, voi che volate, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Beatus vir, à 3 voix, 2 violons et basse continue
s.d., Begl'occhi, oh Dio, non più, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Bel tempo addio, duo de chambre avec basse continue, œuvre fantôme.
s.d., Cangia pensier, mio cor, duo de chambre avec basse continue, œuvre fantôme.
s.d., Cangia pensier, mio cor, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Che sarà di quel pensiero, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Corri all'armi, duo de chambre avec basse continue. (parties instrumantales manquantes)
s.d., Cruda Lilla, che ti fece questo cor, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Desiava gioire sotto riche cortine, cantate pour soprano et basse continue, attribution incertaine.
s.d., Diligam te Domine, In Domino gaudebo, Laudabit usque ad mortem, Tota pulchra es, motets attribués à Steffani, œuvres fantômes
s.d., Dimmi, Cupido, e quando mai, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Dite la verità, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Dixit Dominus, à 5 voix, 2 violons, 2 altos et basse continue, attribution incertaine.
s.d., D'un faggio all'ombra assiso, duo de chambre avec basse continue. (parties instrumantales manquantes)
s.d., E così mi compatite, sur un poème de Bianchi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., E perchè non m'uccidete, sur un poème de Bianchi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., E spento l'ardore; Forma un mare il pianto mio, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Fredde ceneri gradite, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Fuggi da questo seno, duo de chambre avec basse continue. (parties instrumentales manquantes)
s.d., Gelosia, che vuoi da me, nel mio sen, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Gelosia, che vuoi da me? Folte schiere , sur un poème de B. d'Ariberti, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Gettano i re dal soglio, madrigal pour chœur SSATB et basse continue.
s.d., Già tu parti, io che farò, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Ho scherzato in verità, sur un poème de Bianchi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Il mio seno è un mar di pene, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Io mi rido de' tuoi dardi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Io voglio provar, duo de chambre avec basse continue.
s.d., La fortuna su la ruota, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Labri belli, dite un pò, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Libertà! l'infelice umanità, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Libertà! non posso, non voglio, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Lilla mia non vuoi ch'io pianga, Pria ch'io faccia, duo de chambre avec basse continue, œuvre fantôme.
s.d., Lilla mia, non vuoi ch'io pianga, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Lontananza crudel, tu mi tormenti, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Luci belle, non tanta fretta, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Lungi dall'idol mio, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., M'hai da piangere, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Mi voglio far intendere, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Mia speranza illanguidita, duo de chambre avec basse continue.
s.d., M'ingannasti, fanciullo bendato, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Navicella che ten vai, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Nel tempo ch'amai, duo de chambre avec basse continue.
s.d., No, no, no, mai nol dirò, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Non plus mi ligate, pour soprano, 2 violons et basse continue.
s.d., Non sò chi mi piagò, sur un text de « Abbate Averara », duo de chambre avec basse continue.
s.d., Non te lo dissi, o core, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Non ve ne state a ridere, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Non voglio, non voglio, no, no, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., O martirio d'amor, che mi trafiggi, cantate pour Soprano et basse continue, attribution incertaine.
s.d., Occhi belli, non più, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Occhi miei, lo miraste, cantate
s.d., Occhi, perchè piangete, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Parlo e rido, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Piange la bella Clori, e del suo pianto, cantate pour soprano et basse continue, attribution incertaine.
s.d., Più non amo e non vaneggio, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Porto l'alma incenerita, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Porto ne' lumi un mare, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Pria ch'io faccia, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Qual subterea mole, cantate pour soprano et basse continue, attribution incertaine.
s.d., Quando mai verrà quel dì sur un poème d'Anastasio Guidi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Quando un eroe che s'ama, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Quanto care al cor, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Quest'è l'ultima per me; Questo fior che involo al prato, sur un poème de Guidi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Ravvediti, mio core, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Ribellatevi, o pensieri, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Rio destin, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Saldi marmi che coprite, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Senti, Filli spietata, duo de chambre avec basse continue. (parties instrumantales manquantes)
s.d., Sia maledetto Amor, sur un poème de Bianchi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Siete il più bizzarro umore, duo de chambre avec basse continue.
s.d., S'intimi guerra a la beltà, duo de chambre avec basse continue. (parties instrumantales manquantes)
s.d., Sol negl'occhi del mio bene, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Son tutto contento, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Su, ferisci, alato arciero, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Tengo per infallibile, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Tien m'il cor la gelosia, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Torna a dar vita al core, sur un poème de (Bianchi, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Trionfate, o mie pupille, duo de chambre avec basse continue, attribution incertaine.
s.d., Troppo cruda è la mia sorte, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Tu m'aspettasti al mare, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Turbini tempestosi spinsero Enea, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Va girando intorno al suolo, cantate pour soprano et basse continue, attribution incertaine.
s.d., Vestite bruno, duo de chambre avec basse continue, perdu.
s.d., Vo dicendo al mio pensiero; Voi ve ne pentirete, duo de chambre avec basse continue.
s.d., Vorrei dire un non so che, duo de chambre avec basse continue.
Bibliographie
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Jean-Marc Warszawski
22 septembre 2012
musicologie.org