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vendredi 12 juin 2015

Music of the Sea : Mystic Seaport's 36th Annual Symposium

12-13 juin 2015, Avery Point

Sponsored by Mystic Seaport Museum, Connecticut College, and the University of Connecticut at Avery Point

We are seeking proposals for papers in History, Literature, Folklore, Ethnomusicology, or other appropriate disciplines that address any aspect of music or verse of the sea or inland waters from the Age of Sail through the present day. The two-day symposium is part of a three-day event whose focus celebrates the lives and work of sailors through musical performance.

The Friday, June 12, session will be held in the Olin Science Center on the Connecticut College campus in New London, CT, and the Saturday session, June 13, at Mystic Seaport, in Mystic, CT.

Topics of interest have included: shipboard work songs, songs of maritime or other occupational trades, songs of rivers and lakes, seafaring cultures and cultural change, ethnicity and ethnic influences, cultural exchanges, ballad and broadside traditions, technology, regional interests, the use of sea music in literature, and popular culture.

SUBMISSION DEADLINE is February 15, 2015. Audiovisually illustrated presentations welcome.

Graduate students are encouraged to submit a proposal.

Proposals should be 1-2 pages and should include a thesis, an explanation, and a list of sources.

PLEASE SUBMIT PROPOSALS and a brief curriculum vita or resume to Tom Brillat, Director of Interpretation, via e-mail at <tom.brillat@mysticseaport.org> or via standard mail at:

Tom Brillat—Attn: Symposium
Interpretation Dept.—Mystic Seaport
75 Greenmanville Ave.
Mystic, CT 06355-0990

La musique et l'ultime : esthétique des dernières œuvres

8-9 décembre 2015, Évry

Colloque organisé par l'axe RASM du laboratoire SLAM (université d'Évry-Val d'Essonne).

Ce colloque s'intéresse au corpus des œuvres composées à l'orée de la mort. Cependant, on ne manquera de noter un certain flou quant à ses délimitations conceptuelles et chronologiques. Ceci peut s'expliquer de plusieurs manières :

  • tous les compositeurs n'ont pas le même rapport à la mort, et tous les compositeurs n'ont pas eu la même conscience de l'imminence de leur mort (parfois même, pas conscience du tout). Il peut donc être plus ou moins pertinent, voire infructueux, d'envisager une œuvre sous l'angle de son ultimité ;
  • il pourra être plus judicieux de prendre en considération un ensemble d'œuvres – dont on suppose qu'il forme une unité cohérente – plutôt que la dernière œuvre – qu'il n'est d'ailleurs pas toujours évident d'identifier.

De plus, la problématique de ce colloque repose sur un certain nombre de présupposés, qu'il conviendra de discuter :

  • la singularité. Les dernières œuvres se démarquent des œuvres qui les précèdent, mais pour des raisons très diverses, voire antagoniques :

a) soit qu'elles incarnent une maturité stylistique qui demeurera indépassée, et en ce sens, le point culminant de toute une vie créatrice (Schubert) ;

b) soit qu'elles représentent une forme de rupture (historique, stylistique, esthétique), dont il faudra analyser la teneur (Beethoven) ;

c) soit qu'elles aient été reçues comme le signe d'un déclin, par les contemporains, ou par la postérité, par exemple parce qu'elles ne répondent plus aux critères de la modernité ou de l'avant-garde (Schoenberg) ;

  • la réception. Les dernières œuvres sont d'emblée pensées et entendues, selon les cas, comme un testament, ou comme un adieu ; ce qui, en réalité, est rarement le cas, à quelques exceptions près : l'Action ecclésiastique de Bernd Alois Zimmermann constitue un cas limite. Il s'agira donc d'évaluer dans quelle mesure l'irruption de la mort a modelé notre appréhension de l'œuvre.

Les thèmes suivants pourront donc être abordés (liste non exhaustive) :

  • la question de la légitimité, des limites et de l'intérêt musicologique et conceptuel d'une catégorie telle que celle des « dernières œuvres » ;
  • la position des œuvres ultimes par rapport aux œuvres précédentes (perspectives historiques et esthétiques) ;
  • la mort, comme présence ou comme objet de représentation ;
  • la notion de maturité stylistique (et l'idée d'accomplissement ou d'aboutissement qu'elle sous-entend) ;
  • le style tardif. S'il faudra bien évidemment étudier cette notion dont l'œuvre beethovenien, par le biais d'Adorno, nous offre l'exemple le plus célèbre, il ne s'agit en rien de s'y cantonner. Non seulement parce que œuvres tardives et dernières œuvres sont des concepts qui ne se recouvrent pas (dans une perspective adornienne, le style tardif ne peut pas s'appliquer à n'importe quelle œuvre ultime, et inversement, certaines œuvres composées par le Beethoven de la deuxième période peuvent être analysées selon le paradigme du style tardif), mais aussi parce qu'Adorno pense essentiellement le style tardif via le filtre beethovenien ;
  • l'œuvre testamentaire ;
  • le déclin, la sénescence ;
  • l'inachevé.

Les propositions de communication (un titre et un résumé de 3000 signes max., espaces compris ; joindre également une courte biographie) sont à adresser par courriel conjointement à gregoire.tosser@univ-evry.fr et inesguittard@yahoo.fr au plus tard le 14 septembre 2015 (réponse le 28 septembre 2015).

Le colloque se déroulera à l'université d'Évry, les 8 et 9 décembre 2015.

Comité scientifique : Christian Accaoui, Maître de conférences HDR (CNSMDP – université Paris 8), Florence Fabre, Maître de conférences (université d'Artois), Philippe Gumplowicz, Professeur des universités (université d'Évry), Odile Jutten, Maître de conférences (université d'Évry), André Lischke, Maître de conférences HDR (université d'Évry), Inès Taillandier-Guittard, ATER (université d'Évry), Grégoire Tosser, PRAG (université d'Évry)

L'art du taqsīm et l'école Sami Chawa (1885-1965)

17-18 juin 2015, Hadat-Baabda (Liban)

La 8e Rencontre Musicologique Internationale de l'Université Antonine (8RMIUA)

Cette rencontre vise à mettre en commun dans un esprit pluridisciplinaire des recherches axées sur la pratique de l'improvisation instrumentale traditionnelle arabe à l'époque de la Nahḍa. Il s'agit d'abord de l'analyse et d'une modélisation contextualisée des enregistrements (sur disques 78 tours) de taqsīm, de taḥmīla et de raqṣ, par le violoniste Sami Chawa et ses confrères, notamment, le qānūniste Muḥammad al- ‘Aqqād, le ‘ūdiste Muḥammad al-Qaṣabjī, le nāyiste Amīn al-Būzarī et le buzuqiste Muḥyī d-Dīn Ba‘yūn. De même, ce colloque s'intéresse aux rapports (effectifs et/ou comparatistes) entre cette tradition instrumentale du Mašriq et ses homologues du Maghreb, d'Iran et de Turquie, voire de l'Europe médiévale. Au centre de cette réflexion se tiennent cinq problématiques complémentaires :

(1) celle du rapport à la fois dialectique et modélisateur qu'entretient l'improvisation instrumentale tradition- nelle avec la parole cantillée, le responsorial vocal rituel et le geste chorégraphique ;

(2) celle de la possibilité d'une description du processus d'improvisation en termes de grammaire générative musicale ;

(3) celle de la spécificité morphophonologique d'une tradition musicale instrumentale improvisative arabe, envisagée en tant que dialecte musical particularisé au sein d'une langue modale commune de l'Orient musical ;

(4) celle d'une modélisation qui reste tributaire d'analyses de l'improvisation instrumentale qui sont médiati- sées par le biais du support (fixiste, voire fossilisateur) de l'enregistrement sonore ;

(5) celle de la faisabilité de la transmission initiatique d'une tradition instrumentale en contexte académique moderne.

Les conférences et les communications sont présentées en arabe, en français ou en anglais, avec traduction simultanée.

Conseil scientifique (par ordre alphabétique) : M. Frédéric BILLIET, Université Paris-Sorbonne et IReMus, M. Jérôme CLER, Université Paris-Sorbonne et IReMus, M. Jean DURING, Centre National de la Re- cherche Scientifique (CNRS, France) ; M. Kifah FAKHOURI, Académie Arabe de Musique (AAM, Ligue des États Arabes) (Liban) ; M. Abdelhamid HAMAM, AAM (Jordanie) ; M. Frédéric LAGRANGE, Universi- té Paris-Sorbonne et Centre de Recherches Moyen-Orient Méditerranée (CRMOM-INALCO, France) ; Père Youssef TANNOUS, Université Saint-Esprit de Kaslik.

Directeur : M. Nidaa ABOU MRAD, Université Antonine (UA, Liban).

Rapporteurs : M. Hayaf YASSINE, UA (Liban) et M. Hisham SHARAF, AAM (Iraq).

Le proramme complet

Myung-Whun Chung désigné Directeur musical honoraire de l'Orchestre Philharmonique de Radio France

A l'occasion de son dernier concert à la Maison de la radio en tant que directeur musical de l'Orchestre Philharmonique de Radio France vendredi 12 juin, le Président-directeur général de Radio France, a décerné à Myung-Whun Chung le titre de « Directeur musical honoraire de l'Orchestre Philharmonique de Radio France » en remerciements pour ces 15 années « d'exigence et de passion ».

Myung-Whun Chung est également honoré dans deux autres pays : En Italie : « Prix Abiatti », élu chef de l'année 2014 par la critique italienne, au Japon : « Special stage 2015 » du Suntory Hall de Tokyo, artiste de l'année ayant oeuvré pour une cause exceptionnelle : le 50e anniversaire du rapprochement entre le Japon et la Corée.

Ce concert du vendredi 12 juin 2015 est à retrouver sur francemusique.fr et concert.arte.tv .

Ni pompier, ni funèbre. La dernière nuit : concert théâtral au Festival de Saint-Denis

La Dernière Nuit, Funérailles royales au temps de Louis XIV, Festival de Saint-Denis, 8 juin 2015.

Par Frédéric Norac ——

On attendait la « reconstitution » d'un rituel funéraire royal et l'on assista  à une méditation humoristique sur la mort. Le dispositif aurait dû nous mettre la puce à l'oreille. Le grand rideau rouge qui occulte le chœur de la basilique — par pudeur sans doute car il va y avoir quelques grossièretés dans les textes et un peu de peau dénudée —, la double guirlande de loupiottes qui fait chemin entre les deux estrades, celle du grand orchestre pour les motets de Lully et celle de l'ensemble vocal pour la messe des morts de Charles d'Helffer et le plain-chant, appartiennent plus à l'univers des forains, cher au metteur en scène Jean Bellorini, qu'à celui de la pompe funèbre royale.

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Frank Bridge (1879-1941)

Né à Brighton, 26 février 1879, mort à à Friston, près d'Eastbourne, 10 janvier 1941

Il est plus important des compositeurs britanniques entre Ralph Vaughan Williams (1872-1958) et Benjamin Britten (1913-1976).

Son père, lithographe, chef d'orchestre dans un music-hall, 'est reconverti en professeur de violon.

En 1886, il entre au Royal College of Music à Londres pour y étudier le violon avec Achille Rivarde, et le piano.

En 1899, une bourse lui permet d'étudier la composition pendant quatre années avec Charles Villiers  Stanford (1852-1824), professeur dans l'établissement depuis 1883.

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