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lundi 20 avril 2015

 

Study Day on Computer Simulation of Musical Creativity

20 avril 2015, Huddersfield (UK)

Abstract Submission Deadline: Monday 20 April 2015
Conference Date: Saturday 27 June 2015
Website: https://goo.gl/MPpRcY

Venue: University of Huddersfield, Huddersfield, UK

Keynote Speaker: Prof. Eduardo Miranda (https://goo.gl/EoKQpL).

The main goal of the "Study Day on Computer Simulation of Musical Creativity" is to bring together scholars from different backgrounds, interested in musical creativity, providing an interdisciplinary platform to promote, present and discuss their work.

Submissions can cover both theoretical and/or practical aspects of computer simulation of musical creativity. Interdisciplinary proposals at the intersection of musicology, music theory, computer science, psychology and philosophy are warmly invited. Topics of interest may include, but are not limited to:

Computer simulation

- systems capable of creating musical pieces and sound;
- systems capable of performing music;
- systems capable of online improvisation;
- simulation of music societies;
- robot-based systems;
- systems that enhance the creativity of human users;
- computational aesthetics, emotional response, novelty/originality

Theory

- surveys of the state of the art techniques;
- validation methodologies;
- philosophical foundations of music creative systems;
- evolutionary-based models for music creative systems;
- cognitive-based models for music creative systems;
- studies on applicability of techniques to other areas;
- new models for improving music creative systems.

Abstract submission

We accept proposals for papers, posters and workshops. We welcome abstracts of no more than 300 words for papers

and posters, and 500 words for workshops. For details about the Study Day and the abstract submission process, please visit the conference website (https://goo.gl/MPpRcY).

For any enquiries, please contact Valerio Velardo (u1370329 at hud.ac.uk)

Tous à l'opéra les 9 et 10 mai 2015 pour la statistique

Les 9 et 10 mai, fin de semaine « Tous à l'Opéra », 28 maisons françaises d'art lyrique ouvrent largement leurs portes au public.

Contrairement aux concerts de musique classique, le public des spectacles d'opéra a tendance à rajeunir. L'âge médian du public des concerts de musique classique est de 61 ans. À l'opéra de Paris il est de 46 ans, à l'Opéra national du Rhin on compte 30 % de spectateurs de moins de 26 ans. Encore faut-il nuancer ces belles statistiques, car ces maisons font d'importants efforts en direction des scolaires (il faut former le public de demain), qui évidemment font baisser les moyennes. Il reste que le taux officiel de remplissage des salles au cours de l'année est de 94 %, avec plus de 2,2 millions de spectateurs.

Mais cette année, il y a une baisse des subventions publiques de 3 %, et donc de l'activité. Les Opéras ont réduit de 5% le nombre de levers de rideau l'an dernier (2.666 contre 2.819 en 2012). Outre le repli d'activité, le risque augmente de voir toujours les mêmes titres populaires à l'affiche.

Bref, on l'a compris, la réussite n'est pas une belle production, une création marquante, influente, qui fait causer, mais le taux de remplissage. Quand on parle de Woodstock, on parle du phénomène social, des choses incroyables qui ce sont passées sur scène. De Même pour le Ring de Boulez et Chéreau, du concert de Cologne de Keith Jarrett, des Oiseaux de Peter Brook, le théâtre populaire de Jean Vilar, etc. Aujourd'hui, quand on parle d'un festival, on ne parle que du nombre des entrées et de l'équilibre financier. Le bénéfice culturel, ce que cela entraîne, fonde, le raffermissement des liens sociaux, l'enrichissement humain ... Mais de quoi parlons-nous là ?

jmw

Richard Anthony est mort

Dans les années 1960, Richard Anthony s'était fait connaître avec des reprises de twists ou de rocks et de slows américains.

Il avait un répertoire de 600 chansons, dont 21 classées en tête du Hit Parade, il a vendu 50 millions de disques.

Né le 13 janvier 1938 au Caire, Richard Btesh (Anthony en second prénom) mène une enfance nomade, d'Argentine en Grande-Bretagne puis en France, avec son père entrepreneur dans le textile et sa mère fille de diplomate britannique.

Éduqué dans les meilleurs établissements, polyglotte, il reste à Paris quand ses parents repartent pour Milan où son père meurt brutalement. Il a alors 18 ans, vend des réfrigérateurs pour vivre puis bifurque vers la musique. Il deviendra un temps le rival de Johnny Hallyday.

Son troisième 45 tours en 1959, Nouvelle vague est un succès, inspiré de Three Cool Cats, des Coasters. Suivront Itsy bitsy petit bikini en 1960, Let's Twist Again ou Fiche le camp Jack (repris de Ray Charles), en 1961, et surtout son célèbre slow J'entends siffler le train, en 1962, vendu à plus de 1,5 million d'exemplaires.

Écoute dans le vent, adapté de Bob Dylan, en 1964, Je me suis souvent demandé, en 1965, etc. En 1967, Aranjuez mon amour, sur la mélodie du Concerto d'Aranjuez de Joaquin Rodrigo, se serait vendu à dix millions d'exemplaires dans le monde. En 1968, Sirop Typhon, en 1975, Amoureux de ma femme.

Après un séjour aux États-Unis, il est rattrapé par le fisc, et fait même quelques jours de prison. Endetté, il tente sans grand succès de remonter sur scène. Dans les années 1970, il enregistre ses tubes et rédige un livre autobiographique, Il faut croire aux étoiles. En 1998, il fête ses 40 ans de carrière au Zénith, à Paris. Il revient à nouveau sur scène en 2006, pour une tournée « Âge tendre et Têtes de bois ».

Il est opéré d'un cancer du côlon, et publie une nouvelle autobiographie en 2010, Quand on choisit la liberté.

En février 2012, donne un dernier concert à l'Olympia.

Pianos romantiques : la musique à Tours de 1830 à 1915

Expositions, conférences, concerts autour de la collections de pianos de Jean Jude. du 19 au 24 mai à la Ferme de Milletière (Tours nord),

19-24 mai, exposition de pianos historiques de facture tourangelle de la collection Jean Jude et archives liées à la vie musicale à Tours de 1830 à 1915

Mercredi 19 mai, répétition ouverte au public. Alice Diéval, Armelle Guldner, pianistes : œuvres pour piano d'Emmanuel Chabrier

Jeudi 21 mai, Concert abec les pianistes Alice Diéval et Armelle Guldner, œuvres pour piano d'Emmanuel Chabrier, sur un grand piano Erard de la collection Jean Jude. Visite commentée de l'exposition par Jean Jude.

Vendredi 22 mai, Répétition ouverte au public : Alice Diéval, Armelle Guldner, pianistes : œuvres pour piano de Francis Poulenc.

Vendredi 22 mai, Concert avec le pianiste Alain Kremski : hommage à Liszt, Paysages romantiques, transcriptions dans l'esprit du concert donné par Liszt à l'Hôtel de Ville de Tours le 5 janvier 1846. Grand piano Erard et grand piano Bachmann fabriqué à Tours. Collection Jean Jude. Visite commentée de l'exposition par Jean Jude.

Samedi 23 mai, répétition ouverte au public, Alain Kremski, Armelle Guldner, pianistes : œuvres pour piano de Francis Poulenc.

Samedi 23 mai, concert avec les pianiste Alice Diéval et Armelle Guldner, œuvres pour piano de Francis Poulenc. Grand piano Pleyel et piano droit Etesse fabriqué à Tours. Collection Jean Jude. Visite commentée de l'exposition.0

Dimanche 24 mai, 15 heures à l'hôtel de ville de Tours, concert avec Daria Fadeva, pianiste, le Quintette Pugnani, « Frédéric Chopin à l'Hôtel de Ville de Tours le 3 septembre 1833 ». La pianiste jouera sur deux grands pianos Pleyel datant de 1841 et 1 855 de la collection Jean Jude.

10 euros pour chacun des concerts proposés à la Milletière et le libre accès à l'exposition ; 15 euros pour le concert Chopin à l'Hôtel de Ville ; 2 euros pour accéder à l'exposition Milletière.

Site de la ville de Tours

Un antisémitisme sans gants : « La Juive » de Halévy

La Juive de Halévy, Opéra de Gand, avril 2015.
Photographie © Annemie Augustijns.

Par Frédéric Norac ——


Berlioz qui détestait tant cette « misérable » Juive où il ne voyait que platitude et boursouflure, aurait peut-être changé d'avis devant cette étonnante production. Du « grand opéra » et de ses excès spectaculaires, il ne reste rien dans l'approche de Peter Konwitschny et ses dramaturges qui ont ramené l'opéra d'Halévy à l'essentiel, un drame humain sur fond d'intolérance et de fanatisme. Pour en arriver à ce point de force expressive, le metteur en scène prend pas mal de libertés avec l'œuvre et demande au spectateur d'accepter quelques sacrifices, non tant dans les importantes coupures que subit la partition que dans le traitement radical qu'il fait subir au livret de Scribe. En effet pas moins de quatre numéros disparaissent au  premier acte dont la très attendue sérénade de Léopold mais aussi au troisième, la pantomime — celle du fameux « dais » incriminé par Berlioz — et bien sûr le ballet. Mais ces coupures sont peu de choses au regard d'autres audaces sûrement difficiles à accepter pour les puristes mais d'une efficacité théâtrale redoutable. Ainsi du finale du premier acte dont le quatuor — impossible à réaliser — est purement et simplement occulté au plan visuel et sonore par le chœur qui envahit le parterre et ses rires de dérision, ne laissant percevoir de l'action sur scène qu'une gesticulation des protagonistes, grotesque et dénuée de sens.

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Authority and Materiality in the Italian Songbook: From the Medieval Lyric to the Early-Modern Madrigal

1-2 mai 2015, Binghamton University

Presented by the Center for Medieval and Renaissance Studies
Co-organized by Paul Schleuse and Olivia Holmes

This conference will feature talks by musicologists and literary and book historians
with an interest in the shared material sources of Italian poetry and music from the thirteenth to the seventeenth centuries, focusing especially on Francesco Petrarca (1304–1374) and his legacy.

Keynote speakers: Giuseppe Gerbino (Columbia University), “Music of Words and Words in Music: The Pursuit of Gravità in the Late Renaissance Madrigal”

Martin Eisner (Duke University), “Dante's Songs: Authority and the Afterlives of the Vita nuova”

Other papers and sessions will address the following (and related) topics:

• Constructions of authorship in early Italian and Provençal lyric collections
• The 13th-century Italian “divorce” between poetry and music
• Visual argumentation in Petrarch's Canzoniere
• Composers and poets in 14th-century anthologies
• Autobiographical poetic practices and women as petrarchiste
• Organizational strategies in madrigal books
• Poetry and music in print

Concert : Un petrarchino cantato: Renaissance settings of Petrarch's poetry
Blue Heron, directed by Scott Metcalf

for more information: https://conferences.cemers.info

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