jeudi 5 mars 2015
Names and Naming in Early Modern GermanyCall for papers 5-7 mars 2015, Vanderbilt University; Nashville, Tennessee The seventh international conference sponsored by FNI will address the nature and influence of naming in early modern Germany. The human tendency to experience and understand the world through names is an epistemological imperative as old and universal as language itself. All of the diverse social and cultural developments in German lands between 1450 and 1750 were characterized by an explosion of new names and the appropriation or redefinition of existing names, in each instance shaping individual and collective understanding of those very changes. The organizers of this conference seek to explore the dynamics and impact of this naming process in a variety of contexts: social, artistic, literary, theological, and scientific. How and why were specific names chosen, contested, and ultimately accepted or not? What was the relationship of these naming processes to larger cultural or political developments? How do these findings enhance our understanding of individual and collective experiences during this period of German history? Papers are invited from scholars in all Early Modern fields focusing on any aspect of names and naming, including the following: • Naming oneself: early modern personal and group identity. Abstract submission: Group proposals (three papers and a commentator) as well as individual submissions are welcome. Papers may be in English or German. Some travel support will be available to doctoral students. Please send your contact information and abstract of no more than 250 words per paper to: FNI at vanderbilt.edu. All other queries can be addressed to: joel.f.harrington at vanderbilt.edu. Deadline for submissions: August 15, 2014. For a more detailed version of the call for papers, please visit https://fni.ucr.edu/callforpapers.html
Transitions des arts, transitions esthétiques: processus de subjectivation et des-croissances5-7 mars 2015, Saint-DenisCe colloque souhaite accompagner certaines évolutions notables qui surviennent actuellement dans le champ des arts (musique et arts sonores, arts visuels, danse…) ainsi que dans le champ des discours théoriques sur l'art qui, récusant l'enfermement de ce dernier dans la sphère du « surplus civilisationnel », sont à l'écoute de questionnements découlant des crises écologique, économique, sociale ainsi que de la crise des représentations que nous traversons. Nous proposons d'utiliser la notion de transition– bien connue dans la sphère de l'écologie – pour aborder des évolutions, radicales ou modérées, qui ne relèvent pas des mutations ou ruptures qu'il est d'usage d'étudier dans l'art moderne : les “mutations” et “ruptures” sont davantage d'ordre formel, alors que les transitions dont il sera question pourraient même aller jusqu'à redéfinir la notion d'art en tissant autrement les rapports de ce dernier avec l'environnement, la société et la subjectivation. Le colloque s'intéressera à deux types de transition. D'une part, il sera question d'une possible redéfinition de la notion d'esthétique : sans nier l'idée d'une autonomie de l'art, on pourrait évoquer la possibilité de déplacer la notion d'esthétique pour revenir à son étymologie – la sensation, la perception ; parallèlement, la notion d'esthétique est de plus en plus débattue dans sa relation avec le champ de l'éthique. D'autre part, seront abordées les transitions des pratiques artistiques qui, rompant avec l'isolement et l'autocentrement de l'art moderne, s'intègrent davantage dans le monde et par là même, redéfinissent la notion d'art dans sa frontière avec les pratiques quotidiennes, sociales, écologiques. Deux enjeux traversent ces transitions. Le premier réside dans la question renouvelée du “sujet”: si ce dernier constitue l'objet classique de l'esthétique et de l'art, on peut désormais élargir le débat à l'idée de processus de subjectivation. L'art est un lieu privilégié de production et de recomposition des subjectivations individuelles et collectives. Avec le second enjeux, le mot “transition” renvoie également à la notion de décroissance. Décroître (au sens de l'homoœconomicus) pour croître : s'il est capable de quitter le mode productiviste qu'il a intériorisé, l'art pourrait proposer un modèle tourné vers la qualité plutôt que la quantité, vers l'expérience plutôt que vers l'éphémère consumériste, vers l'interaction avec la nature plutôt que son exploitation pure et simple, pour ne nommer que quelques domaines que plusieurs artistes actuels explorent. La Péniche Opéra accoste au Vingtième Théatre et au Théâtre Jean-Vilar de Vitry avec « 100 miniatures »En résidence dans un quartier difficile de Roubaix, Philippe Minyana a conçu cent mélodrames ou cent images de ce qu'il a vu et entendu, de courts textes instantanés poétiques ancrés dans la réalité sociale, où les super héros sont les bibelots posés sur la commode, vous et moi, des bouts de vie très ordinaires. Le compositeur Bruno Gillet, son compagnon de route au sein de l'Oulipo, mouvement littéraire qui n'est pas un mouvement littéraire (Raymond Queneau, ou Georges Perec excusés pour cause de décès, Italo Calvino...), s'est joint à l'aventure. Il a mis, derrière le poème en cent paragraphes laconiques confiés à des acteurs-chanteurs appuyés par un quatuor vocal, de la musique pour violon, guitare, accordéon et piano, instruments familiers. Lire sur le site de la Péniche Opéra
Philippe Minyana - Bruno Gillet
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Dimanche 15 Mars, 2015 19:03
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