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Actualités musicales

jeudi 27 mars 2014

 

The Melodramatic Moment, 1790-1820

 

27-29 mars 2014, Londres

Deadline: Friday 15 November 2013
27-29 March 2014, King's College London

Supported by King's College London, the European Research Council, University of Warwick and the AHRC.

In the last two decades, melodrama and the melodramatic have been brought to mainstream scholarly attention in an effort to revisit long-standing assumptions about a much-maligned cultural form. Yet the relationship between the melodramatic technique (spoken word over or alternated with instrumental music), melodramatic aesthetic (strong contrast between good and evil, extremes of emotion), and the melodramatic genre (combining the two) has remained both historically and conceptually mysterious. In this conference, we aim to address these relationships by focussing on the period in which melodrama as a stage genre came to prominence, a period in which several of the key European traditions overlap and coincide.

We invite proposals for papers that engage with this melodramatic moment from all disciplinary perspectives. Particular points of focus include:

-the relationship between high-art and low-art variants of melodrama

-the relationship between melodrama as genre and melodrama as aesthetic

-musical and other adaptations of exported melodramas to new surroundings

-the relationship between music and stage action (gesture, scenery, lighting)

-melodrama's relationship to broader social and historical conditions

-the relationship between melodrama and romanticism, classicism, and the gothic

-issues of gender and identity in melodramatic performance

As it is envisaged that selected conference papers will be developed into an edited essay collection, we are asking for an abstract of 500-700 words, to be emailed to melodramaticmoment at gmail.com by Friday 15 November 2013. We aim to review applications as quickly as is reasonable and will notify applicants of our decisions by mid-December at the latest. Those invited to contribute to the symposium will be expected to send a 3000-5000 word draft of their paper for circulation to other delegates prior to the meeting. The meeting itself will include a performance workshop of representative repertoire. The conference language is English.

Katherine Hambridge (Warwick) and Jonathan Hicks (KCL)

"Contesting Freedoms" : A Colloquium on Post-1994 Music Studies in South Africa

 

27-28 mars 2014, Univiversity of South Africa, Pretoria

Deadline for proposals: 30 September 2013

South Africa celebrates twenty years of democracy in 2014 and this an appropriate time for reflection and debate on the complex new challenges that have emerged in the field of music studies since 1994. These are the result of many changes, including: institutional mergers and realignments, the revision of curricula to reflect cultural diversity and democracy, new critical agendas in musicology and ethnomusicology, the emergence of scholarship that is self-reflexive and sensitive to contexts of production and reception, a rethinking of issues of indigenization and ethnicity, the foregrounding of identity politics, and reflections on the nature of our roles and responsibilities as scholars and creators. There have also been persistent calls for the study of the music itself, the preservation of the conservatory cultural system, and the need to respect the authority and autonomy of individuals and institutions. These diverse and often contrasting positions have resulted in a series of controversies and conflicts both internal to institutions and apparent at academic forums, conferences and in published work. This colloquium reflects on the ways in which these tensions and freedoms are negotiated in current music studies. Presentations are invited on the following themes:

The challenges, process and progress of transformation at South African music departments

Accountability and transparency in higher education in music

Africanization and the recognition of indigenous knowledge systems

Musical autonomy and the music itself

Authoritarianism and institutionalized power

Censorship, intimidation and academic freedom

Ethics and academic integrity

Critical musicology and the role of critique

The place of interdisciplinary music studies

Technology and the reshaping of the academic landscape

We invite participation from all interested parties and stakeholders in the field of music studies in South Africa today.

Keynote speakers:

Achille Mbembe (Wits Institute for Social and Economic Research, University of the Witwatersrand)
Stephanus Muller (University of Stellenbosch)

Submissions:

Colloquium dates: 27-28 March 2014.

Hosted by: Department of Art History, Visual Arts and Musicology, UNISA, Pretoria.

Cost: R350 includes tea, lunch and a conference booklet.

Format:

- Papers: 20 minute presentation/10 minute discussion.

- Roundtable discussions: 1 hour presentation/30 minute discussion.

Proposals: Please submit an abstract of no more than 500 words by 30 September 2013. Presenters will be notified electronically by 30 October 2013.
Submission: Papers to be submitted by 1 March 2014. These will be peer-reviewed and published after the conference.

Please submit all abstracts to: stimia at unisa.ac.za

Contact:

Thomas Pooley: pooletm at unisa.ac.za
Annemie Stimie: stimia at unisa.ac.za

La création comme résistance

Lectures, analyses et récits du printemps étudiant québécois et de quelques autres mouvements sociaux contemporains sous l'angle de la production artistique.

Colloque international en deux volets

Montréal, 27 et 28 mars 2014 & Paris, mars 2015

    « L'art ne consiste pas à mettre en avant des alternatives, mais à résister, par la forme et rien d'autre, contre le cours du monde qui continue de menacer les hommes comme un pistolet appuyé contre leur poitrine. » – Adorno, Engagement, 1958

De la Place Tahrir au Parc Émilie-Gamelin, de Tunis à Istanbul en passant par la Puerta del Sol et la Défense, se sont succédés des Printemps et des occupations qui ne se ressemblent pas. Une caractéristique commune semble pourtant émerger de ces différents mouvements sociaux : tous se sont accompagnés d'une impressionnante créativité artistique.

Qu'il s'agisse de la chanson, de la sculpture, du graphisme, de la peinture ou de la poésie, de la performance ou encore du cinéma, des oeuvres électroniques et de la vidéo, il semble que nous assistions à de nouvelles manières d'embrayer la création, c'est-à-dire de brancher le discours artistique sur les discours ambiants – et de faire levier pour transformer le monde. Une fois passée la fièvre de l'événement et l'instant de l'action, que reste-t-il du souffle de la création ? L'après se travaillerait-il mieux à partir des oeuvres ?

« La création comme résistance » – un tel intitulé n'est pas sans appeler questions, nuances et paradoxes. Quelles sont les formes de cette création ? Quel est son propos, son contenu ? À quoi, à qui résiste-t-elle ? Est-elle uniquement liée aux circonstances qui l'ont vue naître, vouée à la seule dénonciation d'injustices, d'inégalités et de mots d'ordre reconduits par les différents pouvoirs ? Ou se défend-elle seule ? Ces quelques interrogations mettent clairement au jour les liens complexes et parfois malaisés qu'entretiennent l'art et le politique. S'il est légitime de contester la surpolitisation des arts et des lettres qui, trop étroitement associés à une idéologie précise, risqueraient d'être subordonnés aux causes qu'ils endossent, force est de reconnaître la fréquente liaison des oeuvres culturelles aux problèmes sociopolitiques de leur époque. Entre le modèle sartrien de la littérature engagée et l'idée de l'autonomie absolue de l'oeuvre d'art, s'imposent bien sûr des voies de traverse, des échanges et des médiations, comme l'ont montré de nombreux critiques et chercheurs.

Au Québec, les études sur la création engagée se sont souvent attachées, à tort ou à raison, à des mouvements et à des moments clairement circonscrits de l'histoire collective. La critique a abondamment commenté le « sauvage besoin de libération » des signataires de Refus global, l'engagement néo-nationaliste de nombreux écrivains et artistes des années 1960 et les écrits féministes de La Barre du jour, délaissant la période contemporaine qui ne semblait guère favorable aux oeuvres militantes. « Il n'y a pas de révolution comme en 1960, il n'y a pas de manifeste comme en 1948, il n'y a pas d'école comme en 1895. Pour plusieurs, cette absence de symboles et de "grands auteurs" définit en creux la période qui s'ouvre vers 1980, » écrivent Michel Biron, François Dumont et Élisabeth Nardout-Lafarge dans Histoire de la littérature québécoise.

Or, depuis quelques années, les signes d'une repolitisation de la culture québécoise ne cessent de se multiplier. Dans les entours du mouvement « Occupy » et de la grève étudiante du printemps 2012, l'art et la littérature se sont souvent fait citoyens, contestataires, osant dénoncer les abus des pouvoirs économiques et politiques, et renouant ainsi avec la résistance culturelle. Sans nous limiter à ces seuls mouvements, nous souhaitons nous en inspirer afin de réfléchir aux différentes formes et manifestations de la création en temps de crise sociale, pour reprendre le titre de la rétrospective que l'École de la Montagne Rouge a présentée au Centre de design de l'UQAM à l'automne 2012

L'appel à communications (date limite 25 novembre 2013)

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