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Actualités musicales

 
Détail d'une fontaine, un soir, en revenant du café Kittel.

 mardi 3 avril 2012

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Le discours sur la musique
religieuse (xviie-xviiie siècles) :
polémiques et controverses.

Journée d'études
3-4 avril 2012, Université de Poitiers
dir. Pierre Saby (U. Lyon-II) et Thierry Favier (U. Poitiers)

3 avril MATINÉE (salle des Actes) :
Domaine Français (1)

  • 9h30-9h45 : accueil des participants
  • 9h45 : Thierry Favier (U. de Poitiers), introduction.
  • 10h15 : Théodora Psychoyou (U. Paris IV-Sorbonne), « Mersenne, empirisme et théologie : cohérence et paradoxes d'une théorie musicale apologétique ».

11h : pause

  • 11h15 : Bernard Dompnier (U. Blaise Pascal, Clermont-Ferrand) : « Le chanoine Jean de Bordenave et la définition de 'bonnes pratiques' pour le chant et la musique au milieu du XVIIe siècle ».
  • 12h : Jean Duron (Centre de Musique Baroque de Versailles) : « Une querelle à la cathédrale de Sisteron sur l'usage de la musique figurée (1693-1701) ».

12h45-14h15 : déjeuner

3 avril APRÈS-MIDI (salle des séminaires) :
Domaine français (2)

  • 14h15 : Lucie Girard (Paris) : « De quelle manière et dans quelles dispositions le Clergé doit chanter l'Office Divin de Jean Santeul : exercice de style poétique ou manifeste polémique en rimes ? »
  • 15h : Mathieu Lours (Paris) : « À chœur ouvert : aménagements liturgiques et conflits capitulaires dans les cathédrales de France au XVIIIe siècle »
  • 15h45 : Thierry Favier (U. de Poitiers) : Contexte, arguments et enjeux des Observations sur la musique à grand orchestre (anon., 1786)

16h30 : pause

  • 16h45 : Thomas Leconte (Centre de Musique Baroque de Versailles) : « Une guerre de cent ans à la Musique du roi : les prérogatives des sous-maîtres de la Musique de la Chapelle face aux 'injustes prétentions' des surintendants de la Musique de la Chambre ».
  • 17h30 : Table ronde avec Bernard Dompnier (U. Blaise Pascal, Clermont-Ferrand), Jean Duron (Centre de Musique Baroque de Versailles), Pierre Saby (U. de Lyon II), Thierry Favier (U. de Poitiers, modérateur)

18h30 : fin de la journée

19h : Concert à l'hôtel Fumé par les étudiants du Centre d'Etudes Supérieures Musique et Danse de Poitou-Charentes (salle des Actes)

4 avril MATINÉE :
Domaine Italien

  • 9h-9h15 : accueil des participants (salles des Actes)
  • 9h15 : Annarosa Vannoni (Conservatorio di Musica "G.B. Martini", Bologne): « Al sacro tavolino di Benedetto XIV : musique sacrée, controverses et l'autorité d'un pape à Bologne dans la première moitié du XVIIIe siècle ».
  • 10h : Michela Berti (Rome) : « Solo per Santa Lucia messa di Francia si fanno con istrumenti per Licenza e Privilegio particolare di Nostro Signor. La musique pour les "Messe di Francia" à Rome face aux dispositions pontificales ».

10h45 : pause

  • 11h : Angela Fiore (Université de Fribourg, Suisse) : « Segrete Ricreazioni: musical practice of neapolitan female institutions between customs and prohibitions during the Ancien Régime ».
  • 11h45 : Caroline Giron-Panel (Bibliothèque nationale de France) : « Euterpe, Aspasie et les sirènes : polémiques autour des pratiques musicales féminines dans les églises de Venise ».
  • 12h30 : conclusions : Cécile Davy-Rigaux (IRPMF-CNRS)

13h : fin

Ces deux journées d'étude font suite à celle que nous avons consacrée en mai 2011 à la presse française des XVIIe et XVIIIe siècles. La première journée visait à préciser la consistance critique et littéraire des articles de presse évoquant la musique religieuse et à montrer comment les différents périodiques se positionnaient par rapport aux institutions, aux musiciens et à leurs productions. Elle envisageait donc, à travers un media unique, des discours journalistiques aux finalités et aux objets très divers. Ces deux nouvelles journées adopteront le principe inverse et seront resserrées autour d'une thématique unique, celle du discours polémique, en fonction des différentes formes d'écrits qui le portent et des contextes dans lequel il est produit.

On s'intéressera en premier lieu aux objets de ces polémiques – critique des chantres ou des maîtres de musique, critique du chant d'église, problème de l'introduction des instruments dans les offices, cérémonies extraordinaire, statut du concert public, etc. – et aux enjeux qu'ils cristallisent. Au-delà des personnes, des corps, des cérémonies, des œuvres ou des répertoires visés, on s'attachera à dégager la nature de ces enjeux, à travers les références à la théorie musicale mais aussi aux pratiques, aux lieux et à leurs usages, à la tradition de l'Eglise et à ses interprétations ou aux différentes traditions philosophiques et morales.

Cette démarche invite à poser la question du statut des intervenants et des types d'écrits qu'ils choisissent ou qui s'imposent à eux, afin de mettre en évidence la part prise aussi bien par les psychologies individuelles que par les fonctionnements de corps. Le lien entre les intervenants et les écrits pourra être étendu aux formes même du discours. En considérant les sources manuscrites aussi bien qu'imprimées, on pourra analyser, par exemple, un large éventail de procédés rhétoriques, concernant le statut des autorités, les effets de légitimation ou la valeur donnée à l'exemple.

Au-delà de sa traduction écrite, le discours polémique témoigne d'une pratique sociale. Pour l'appréhender dans sa dynamique, on s'attachera à comparer ses conditions d'émergence et de développement. Une telle préoccupation génère un ensemble de questionnements qui touchent à la relation entre les intervenants et leur milieu social : pourquoi lancer une controverse ? Quelle chaîne relie les acteurs d'une même querelle ? Quels sont les réseaux mis en œuvre pour lancer une attaque ou lui répondre ? Quelles solidarités sont alors mises en jeu ? Peut-on distinguer entre simples relais, commanditaires ou francs-tireurs ? Plus largement, les prises de position relèvent-elles des lignes de partage qui traversent et organisent l'Église aux plans hiérarchique et spirituel ou bien tendent-elles à en brouiller la lecture ?

Enfin, on posera la question de l'impact de ces polémiques. Quelles modifications ont-elles entraîné dans les relations entre les protagonistes, ou entre ceux-ci et leur public ? Quelle influence ont-elles pu avoir sur les affaires religieuses, sur les pratiques musicales ou sur la création ? En quoi ont-elles modifié les modes de pensée ou les sensibilités ?

 mardi 3 avril 2012

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Tristan und Isolde à l'Opéra de Nice

tristan und isolde

 

3, 6, 8, 11 avril 2012
Opéra de Nice

Richard Wagner
Tristan und Isolde

Orchestre Philharmonique de Nice
Choeur de l'Opéra de Nice
Direction, Philippe Auguin

Isolde, Catherine Foster
Brangäne, Michelle De Young
Kurwenal, Jukka Rasilainen
Roi Marke, Matti Salminen
Melot, Clemens Unterreiner
Le jeune matelot et le berger, Stanislas de Barbeyrac
Le pilote, Richard Rittelmann

Tarifs : De 12 € à 78 €. Opéra Nice Côte d'Azur, 4-6 rue Saint-François de Paule, 06300 Nice. Renseignements / Réservations 04.92.17.40.79.
Réservation en ligne https://www.opera-nice.org
Mardi 3 à 19h30, vendredi 6 à 19h30, dimanche 8 à 14h30, mercredi 11 à 19h30

Nouvelle production, mise en scène et conception lumières Hans-Peter Lehmann, décors et costumes Olaf Zombeck. Tristan und Isolde, opéra en 3 actes de Richard Wagner sur son propore livret. Créé au Königliches Hof de Munich (théâtre de la cour), le 10 juin 1865, sous la direction de Hans von Bülow.

Un navire apporte au roi Mark la fiancée — Isolde — que son neveu Tristan a choisie pour lui... Mais Isolde aime Tristan...

 mardi 3 avril 2012

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Le patrimoine oui, mais quel
patrimoine ?

Colloque organisé par la Commission nationale française pour l´UNESCO, avec la collaboration du Centre français du patrimoine culturel immatériel - Maison des Cultures du Monde.

Mardi 3 et mercredi 4 avril 2012, UNESCO, 125 avenue de Suffren - salle IV, Paris 7e.

Entrée libre.

L'adoption par l'UNESCO, en 2003, d'une Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a eu, en France, une conséquence quasi immédiate, celle d'un élargissement considérable de la notion de patrimoine. Jusqu'alors le patrimoine s'entendait surtout comme celui que recouvrait la Convention de 1972 dite du patrimoine mondial : les monuments, les sites préhistoriques et naturels, les espaces urbains, auxquels s'ajoutèrent le patrimoine documentaire en 1996 et le patrimoine subaquatique en 2001. La définition extrêmement large et généreuse du patrimoine immatériel ouvrit la boîte de Pandore. Aux expressions du patrimoine oral et aux traditions spectaculaires et populaires, reléguées, jusqu'alors au domaine du folklore, s'ajoutait l'immense domaine des savoir-faire.

Cette extension, diversement accueillie par les ethnologues et anthropologues, a provoqué un engouement populaire, médiatique et par conséquent politique pour ce patrimoine à la portée de tout un chacun. Depuis, une mobilisation des individus, groupes et communautés (trois termes récurrents dans la Convention de 2003) s'accentue et fait pression pour faire reconnaître par l'Etat et la communauté internationale toutes sortes de patrimoines. Les colloques, communications et déclarations se multiplient sur ce thème.

L'objectif de ce colloque est de faire le point sur les implications de cette nouvelle donne. Quelques uns des thèmes qui seraient abordés (la liste est non limitative) pourraient être : Jusqu'où étendre le champ du patrimoine ? Quel patrimoine faut-il protéger, sauvegarder ? Peut-on, doit-on, tout protéger, tout sauvegarder ? Nous avons délibérément choisi pour ce colloque d'y inviter des personnalités de la société civile qui ont, dans leurs écrits, déjà abordé ces thèmes de réflexion sous des angles différents. La diversité de leurs approches mériterait d'être réunie en un ouvrage qui serait ainsi le témoignage de l'état de cette réflexion en France aujourd'hui.

1re séance (de 9h à 13h)

Présidée par Mme Wanda Diebolt, secrétaire générale de l´Agence universitaire de la francophonie

Avec :

M. Jean Davallon, professeur responsable Equipe Culture et Communication, Centre Norbert Elias – UMR 8562 : Comment se fabrique le patrimoine ?

M. Jérôme Fromageau, doyen de la faculté Jean Monnet Université Paris Sud : Droit et patrimoine (évolution de la notion)

M. Noé Wagener, attaché temporaire d'enseignement et de recherche à l'Institut d'études de droit public - Université Paris Sud : La relation entre les personnes publiques et la protection du patrimoine : approche juridique

M. Mounir Bouchenaki, conseiller auprès de l'UNESC0 et de l'ICCROM : Les patrimoines et l'UNESCO

Jean-Paul Demoule, professeur à l'Université de Paris 1, Institut universitaire de France, ancien président de l'INRAP : Patrimoine et archéologie

2e séance (de 15h à 18h)

Présidée par Mme Séverine Cachat, anthropologue, directrice du Centre français du patrimoine culturel immatériel – Maison des Cultures du Monde à Vitré

Avec :

M. Yvon Lamy, professeur émérite de sociologie à l´Université de Limoges : Le pouvoir de protéger : entre administration et association

M. Louis Tornatore, socio-anthropologie, Université de Lorraine, Metz, IIAC-LAHIC, Paris : Le patrimoine, de "re-présenter" à "faire attention"

M. Emmanuel Amougou Mball, sociologue, enseignant, chercheur UMR-CNRS 7218-LET/ LAVUE, Paris : Les processus de patrimonialisation et réflexivité

M. Michel Rautenberg, professeur de sociologie, Centre Max Weber, Université Jean Monnet, Saint-Etienne : Quelles patrimonialisations de l´urbain ?

M. Jean-Michel le Boulanger, maÎtre de conférences en patrimoine - université de Bretagne sud - vice-président du Conseil régional de Bretagne chargé de la culture : Patrimoines, identités et territoires, l'exemple de la Bretagne.

M. Michel Colardelle, conservateur général du patrimoine, directeur des Affaires culturelles de Guyane : Patrimoines des Outre mer français : fausse ou vraie spécificité ?

Mercredi 4 avril

3e séance (de 9h à 13h)

Présidée par Mme Anne-Sabine Sabater, conseillère pour la culture et la communication à la Commission nationale française pour l´UNESCO

Avec :

M. Georges Zouain, principal GAIA-heritage, PhD.Econ : Pour qui et pourquoi patrimonialiser ?

M. Cyril Isnard, investigador Auxiliar – Cidehus – Universidade de Evora : S'approprier la patrimonialisation. Pratiques d'acteurs ordinaires

M. Thierry Linck, directeur de recherche INRA Economie et patrimonialisation : la construction des appropriations du vivant et de l'immatériel

Mme Anne Ouallet, maître de conférence, Université Rennes 2, CNRS, ESO, UMR 6590 : Manifestations culturelles et patrimoine, expériences africaines

M. Joël Candau, professeur d'anthropologie à l'Université de Nice Sophia Antipolis : Patrimoines (ou matrimoines) olfactifs ?

Mme Aurélie Hervouet, doctorante en aménagement, UMR 5185. ADES, Bordeaux III : Patrimoine et habitat social

4e séance (de 15h à 18h)

Présidée par Chérif Khaznadar, président de la Maison des Cultures du Monde / Centre français du patrimoine culturel immatériel, président du Comité culture et communication et vice-président de la Commission nationale française pour l'Unesco

Avec :

M. Mathieu Gigot, doctorant en géographie, Université François Rabelais, Tours : Patrimoine en action(s) : un regard sur les politiques publiques patrimoniale

M. Jean-Michel Lucas/Kasimir Bisou, maître de conférences à l'université Rennes 2 : Ethique de l'universalité du patrimoine

Mme Marie Gravari-Barbas, directrice de l'IREST Paris 1 Panthéon Sorbonne, coordinatrice de la chaire UNESCO Unitwin Culture, tourisme et développement : Tourisme et patrimoine, le temps des synergies

Mme Véronique Zamant, doctorante en anthropologie et géographie urbaine à l'EHESS/LAA, Architecte DPLG-Urbaniste : Aux marges de la patrimonialisation

M. Denis Cerclet, maître de conférence, département d'anthropologie et membre du cercle de recherches et d'études anthropologiques, Université Lumière Lyon 2 : La patrimonialisation et après ?

Allocution de clôture du colloque : M. Jean Audouze, président de la Commission nationale française pour l'UNESCO

 mardi 3 avril 2012

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Francis Lalanne dans Monsieur
Ibrahim et les fleurs du Coran

Francis Lalanne incarnera le héros de la pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, qui relate l'enfance fictive de Momo, un jeune garçon juif, dans le Paris des années 1960.

La pièce d'Eric-Emmanuel Schmitt, sera à l'affiche à partir du 12 avril au Théâtre Rive Gauche à Paris. Ce monologue théâtral a été adapté au cinéma en 2003.

Devenu adulte, Moïse, dit Momo, raconte son enfance solitaire et son amitié avec le vieil épicier de la rue Bleue, Monsieur Ibrahim, un musulman d'inspiration soufie, qui distille entre deux boîtes de conserve ses sages conseils pleins d'amour.

Eric-Emmanuel Schmitt rappelle que les pacifistes se sont emparés de cette pièce il y a quelques années à Tel-Aviv et que le théâtre national d'Israël l'a présentée longuement un soir en hébreu, un soir en arabe.

Nous entrons dans une zone de turbulences et de haines encore plus fortes que lorsque ce texte fut créé en 1999, selon Eric-Emmanuel Schmitt, qui a pensé que avec sa sagesse souriante inspirée du soufisme de Monsieur Ibrahim manquait , ainsi que Momo, ce garçon qui manifeste la première et essentielle forme de la tolérance, la curiosité.

 

 mardi 3 avril 2012

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À l'agenda de musicologie.org

 Le Trio Fanny Hensel au théâtre de Ménilmontant. (Paris) Œuvres de  : Louise Bertin, Ludwig van Beethoven, Franz Schubert le 10 avril
 Il Tigrane d'Alessandro Scarlatti à l'Opéra de Nice les 1, 3, 5 juin
 73e Quincena Musical de Donostia-San Sebastián : 3 août au 2 septembre

 

 mardi 3 avril 2012

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Annonces de colloques

 The Art of War: American Popular Music and Sociopolitical Conflict, 1860-1945 (Call for Papers), 1-4 novembre 2012, New Orleans

 mardi 3 avril 2012

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Revue musicale musicale,
culturelle et citoyenne du 3 mars
2012

(FR3) Polémique autour du Bourdon de la cathédrale d'Orléans (reportage télé)
(Le Figaro) Le nouveau souffle de Buffet Crampon
(24 heures ch) L'Opéra de Lausanne s'apprête à briller
(France Tv) Le bluesman Tony Joe White quitte son bayou pour une tournée en France
(Le Figaro) La Chine revisite «Nixon» au Châtelet
(La Voix du Nord) Jean-Jacques Révillon collectionne le violon, dans tous ses états
(La Dépêche) Castelnaudary. Marylin, la voix d'or de Gérard Marty
(France TV) Le peuple de l'herbe en concert, le parti du son
(AFP/Le Point) Johnny Hallyday dévoile 20 nouvelles dates pour sa tournée 2012
(Romandie com) JoeyStarr, Arthur H et les Brigitte rejoignent Solidays 2012
(Frande TV) Art Mengo raconte «Ce petit chemin», son nouvel album
(AFP/Le Parisien) TVA sur le livre: professionnels et lecteurs navrés par la hausse des prix
(AFP/La Croix) Bécherel, village d'irréductibles libraires qui résistent à la crise
(New Press) Hachette Livre acquiert les droits dur l'oeuvre d'Enid Blyton
(AFP/NVI) Les Films de la semaine : Le Marsupilami, Titanic en 3D et Marilyn Monroe
(AFP/Le point) Ashton Kutcher va incarner Steve Jobs pour le grand écran
(AFP/DNA) La canne et le chapeau melon de Charlie Chaplin vendus 100.000 dollars aux enchères
(AFP/DNA) Record historique pour Adam Sandler et «Jack et Julie» aux Razzie awards
(AFP/Le Point) Retour heureux de Botero à Medellin pour une exposition sur le Christ
(AFP/La Croix) Albi rouvre son musée Toulouse-Lautrec, exceptionnel et réinventé
(AFP/Le Point) Avec la crise, les entreprises privilégient un mécénat plus ciblé


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