______________________________ Michiru Ôshima
en concert à Paris
La compositrice de Fullme tal Alchemist, Godzilla
et ICO pour la première fois en France. Elle
donnera un concert le 29 janvier 2012 à la salle
Adyar de Paris, le dimanche 29 janvier à 20 heures.
Depuis trente ans, Michiru Ôshima est une figure
emblématique de la musique d'image au Japon.
Célèbre pour la série Fullmetal
Alchemist (ainsi que le film FMA Conqueror of Shamballa),
elle signe de très nombreuses musiques pour la
télévision, le cinéma, l'animation
ou encore le jeu vidéo.
Michiru Ôshima est aussi bien compositrice
qu'arrangeuse, notamment dans la musique classique.
Dans l'animation, nous lui devons les musiques de The
Weathering Continent, The Tatami Galaxy, Beck, Casshan,
Arc the Lad, Queen Emeraldas, Sora no Woto ou encore
Nabari.
Au cinéma, elle signe la musique de nombreux
films dont trois spectaculaires Godzilla des années
2000.
Dans le jeu vidéo, elle signe des arrangements
pour Suikoden, Arc the Lad ou encore The Legend of Zelda:
Twilight Princess, mais c'est pour ses compositions
pour le jeu Ico, récemment réédité
en HD, qu'elle est célèbre auprès
des joueurs.
Wayô Recordsse dédie à la promotion
de la musique de jeu vidéo, d'Anime et de film
japonais en France. En collaboration étroite
avec les compositeurs et les labels japonais, Wayô
étudie les nombreuses possibilités d'évènements
et d'éditions en France.
dimanche
29 janvier 2012
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Musique de chambre anglaise à
Strasbourg
Dimanche 29 janvier 2012 11h
Musique de chambre « Made in UK», Auditorium de la Cité de la musique et de la danse,
Strasbourg
Tarifs 10 € / 5,5 €.
Les œuvres inscrites au programme étant toutes fort connues, il
serait oiseux de ma part d'épiloguer longuement sur celles-ci ; toutce que l'on peut dire c'est que les vrais chefs-d'œuvre gagnenttoujours à être réentendus et qu'en matière symphonique l'écoleallemande est, pour ainsi dire, sans rivale. […] La seconde partie duconcert était réservée au géant de Bayreuth. Ça a été admirable,comme toujours. Dès les premiers accords wagnériens, on sent une
patte si puissante, qu'on est comme étreint, et que les autresorchestrateurs paraissent fades. Si j'étais compositeur de musique,je ne voudrais pas entendre de Wagner trop souvent, de peur de neplus produire… […]
Alfred Mortier
PetitMonégasque, lundi 24 janvier 1898